CHEMIN DE LA REUSSITE
Face à un monde matérialiste, ou certains luttent pour la domination et l’exploitation, les souffrances injustes s’imposent. Entre temps les autres sont en évolution rapide, certains cherchent à devenir fort ou à maintenir leurs forces d’une part et d’autres à la recherche de la richesse perdue ou luttant pour son maintien. L’histoire broyée par la misère, les guerres, les vulnérables voient le jour et orientent leurs efforts dans la recherche de la paix, de noningérence, de coopération égalitaire, le tribalisme d’un côté ou la naissance, race, origine, idéologie, affinité de naissance, histoire, langue, culture, jouent aussi un rôle.
Les projets scolaires, estudiantins, professionnel, social, familial, conjugaux sont affectés par les antivaleurs, l’amour de la vie perd son sens, le peuple sans travail, les leaders limités par les systèmes ou manque des moyens, l’envie de tous lâchers se multiplie. Un monde de combat. Comment gérer cela sur les plans spirituel et physique et les facteurs déterminant des difficultés? Voilà le bien-fondé de cette investigation. Mais avant tous nous somme appeler à comprendre d’abord si qu’est-ce qu’un chemin, une voie, le Seigneur et la réussite ?
A° s’agissant du Chemin : D’après le dictionnaire Larousse française, le
chemin est une direction à suivre, un itinéraire, ce qui conduit à atteindre un but (par exemple je suis le chemin, tu es le chemin)
B° Quant à la voie, elle est le synonyme de chemin dans le sens où elles signifieaussi l’itinéraire, un passage, elle vient du nom féminin en latin « via » tout ce qui mène, permet d’aller d’un endroit à un autre, voie d’accès à quelque chose, guide. Voie de réussite
C° en ce qui concerne le seigneur
C’est un nom masculin
En latin senior, -oris, plus âgé)
Sous l’Ancien Régime, personne noble de haut rang.
Personne qui occupe le premier rang dans quelque domaine : Les seigneurs de l’industrie.
Synonymes : baron – magnat – maître – prince – roi
- Littéraire. Maître : Il est le seigneur de ces lieux.
- Titre donné à Dieu et au Christ dans la littérature grecque et dans la liturgie chrétienne.
D° Par rapport à la réussite
La réussite est un nom féminin En italien riuscita
Qui signifie Succès, résultat favorable : par exemple la réussite d’une entreprise Réussite à un examen. Réussite sociale, réussite spirituelle
Synonyme : réalisation Contraire : échec
Notre voyage n’a pas été une réussite, ma vie chrétienne n’a pas connue des succès
- sur le plan spirituel
Face à un monde de combat, c’est le moment de persévérance ou la foi doit jouer son rôle, c’est le moment de créer l’aptitude à produire la richesse, de sauver tous les hommes, réaliser une œuvre qui dure, enrichit l’humanité et sa foi.
Alors il faut passer de phase passive de l’écoute à la phase active en recourra à une discipline très stricte pour les progrès et comprendre que pour manger le poisson alors il faut le pêché sur base d’une canne à pêcher et de fil. Car disait Sainte Thérèse de l’enfant Jésus que : « Dieu choisit ce qu’il y a de faible dans le monde pour confondre la force… ».
L’esprit de réussite voit le jour on évite de faire rire ou faire étonner, de se plaindre jamais, même quand on lui enlevait ce qui était à soi, ou bien lorsqu’on est accusé injustement, l’on doit se taire et ne pas s’excuser.
Pour arriver à ce niveau, l’on doit aimer le saint sacrement, se confesser avec un grand esprit de foi, donner l’aumône au pauvre, être obéissant et recevoir les bénédictions avec une grande dévotion, avoir la dévotion à la sainte Vierge Marie, ne jamais s’éloigner son âme du regard Jésus, lutter pour connaitre le monde et les misère dont il est rempli car l’on ne sait pas se défendre, mais s’élever au-dessus de ces misères de la vie, par connaissance des choses nouvelles que le monde nous apprend, en aimant le sacrement, parfois avec des retraites de prières, avoir l’amour du sacrifice en s’oublier pour un instant ses préoccupations personnelles c’est-à-dire dépouiller son moi pour se mettre à la place d’un autre car l’ouverture à l’autrui conditionne la charité que cette charité ne crée pas la dépendance.
On Evite de mettre son honneur en jeu, mais pousser pour réussir et reprendre la route en cas d’échec, on respecte son rôle et ceux des autres. Il faut des effort de discipline pendant le moment de réalisation, l’effort de concentration pour se remettre alors qu’on a tant de choses à penser, l’effort des mémoire pour retenir et retrouver ce qui peut aider réellement, en ayant le contrôle sur soi pour ne pas empiété les autres personnes « en faisant trop » soi-même. L’on doit avoir une recherche imaginative, demander les expériences des autres pour mettre en forme son idée qui aura librement jailli, écarter les inutiles, et prévoir les utiles, les faire découvrir, les amplifier et les intègre dans un tout harmonieux.
Comprendre que l’on devenu chrétien pour Jésus seul, non compter recevoir des louanges, la douce Reine du ciel veillera sur notre fragilité, elle va nous sourire du haut de son trône et s’apprêtera à faire cesser la tempête, nous devons enlevé tous les doutes, il faut de l’amour, c’est l’espérance d’être un jour…qui doit nous faire vivre notre dame des victoires en faisant le neuvaine lorsqu’on souffre beaucoup de lutte forcée et inexplicable, ne trouvant aucun secours sur la terre, la pauvre se tourne vers sa mère du ciel, et prier de tout cœur d’avoir pitié de nous. Avec le regard fixé vers la Vierge voilà l’on guérie. L’humiliation doit devenir notre partage mais la vraie gloire est celle qui durera éternellement, pour y parvenir, nous devons nous cacher et pratiquer la vertu que la main gauche ignore ce que fait la main droite. Car, nous sommes né(es) pour la gloire, et cherchons le moyen d’y parvenir. Toute est vanité. L’unique bien, c’est d’aimer Dieu de tout son cœur et d’être ici-bas pauvre d’esprit. Beaucoup lire, faire l’acte d’amour chaque jour, la fidélité aux plus petites choses « Du renoncement » de penser chaque fois en l’éternité, avoir toujours son crucifix, s’unir à la force divine, avoir le désir d’aimer le bon Dieu, de ne trouver de joie qu’en lui.
Pendant la communion répétons cette parole « O Jésus douceur ineffable, changez pour moi en amertume toutes les consolations de la terre le feu divin qui brule sans consumé, rencontre l’amertume là ou des âmes plus fortes rencontrent la joie, Jésus nous empêchera de tomber.
Voici un exemple : Le fils d’un habile Docteur rencontre sur son chemin une pierre qui le fasse tomber et que dans cette chute il se casse un membre ; aussitôt son père vient à lui, le relève avec amour, soigne ses blessures, employant à cela toutes les ressources de son art et bientôt son fils complètement guéri lui témoigne sa reconnaissance sans doute cet enfant à bien raison d’aimer son père Mais je vais encore faire une autre supposition.- Le père ayant su que sur la route de son fils se trouvait une pierre, s’empresse d’aller devant lui et la retire, sans être vu de personne. Certainement, ce fils, objet de sa prévoyante tendresse, ne sachant pas le malheur dont il est délivré par son père ne lui témoignera pas sa reconnaissance et l’aimera moins que s’il eut été guéri par lui mais s’il vient à connaitre le danger auquel, il vient d’échapper, ne l’aimera-t-il pas davantage ?
Il faut avoir passé par ce martyre pour bien comprendre Dieu, que la Sainte Vierge veuille sur nous pour que fut ternie au contact des choses de la terre, il est mieux de parler à Dieu que de parler de Dieu car la vie est ton navire et non pas ta demeure.
En réussissant nous avons aussi besoin de tous les plaisirs possible : promenade, match de football…mais nous devons être la maitresse et non l’esclave car le bon Dieu appel à lui la plus petite et les plus faible de toutes.
Ne jamais attendre le merci des créatures. Car l’on fait pour le bon Dieu
Tu pleures tant dans ton enfance que plus tard tu n’auras plus de larmes à verser.
- Sur le plan physique : Quelle est la personnalité des hommes qui aiment la réussite ?
D’abord ils Évitent l’échec dans leur vie. Ils sont poussés à poursuivre constamment la réussite dans leur vie. Elle s’identifie aux succès. Dès lors ils évitent l’échec sous toutes ses formes, même au prix de grands sacrifices pour soi ou pour les autres.
Ils grandissent avec l’idée d’avoir de succès dans leur vie. Ils identifient entièrement dans le rôle qu’ils jouent. Même si le rôle change au cours de leur vie, mais ils évaluent leur succès à la fonction présente.
Pour eux, l’échec est intolérable. Ils mettent toute leur énergie à réussir la tache ou le rôle qu’ils assument, ils entreprennent uniquement ce qui a une bonne chance de réussir et évite là où il y a du risques.
Pour eux, la réussite suppose l’efficacité. Faire les choses de la meilleure manière possible. Il travaille sur la qualité de l’organisation et de la planification pour réussir sur base des objectifs écrit et ils tiennent beaucoup à l’évaluation des résultats. Ils y sacrifient leur propre vie, mais ils attendent aussi des autres qu’ils soient prêts à faire de semblables sacrifices personnels. De leurs employés ils exigent un travail bien fait et ne tolèrent pas l’inefficacité et les pertes de temps apparentes dans le travail. Ils ont tendance à être assez intolérants pour toute forme d’incompétence chez les autres.
Car le facteur capital de la réussite est une bonne image de marque. Même si cela ne correspond pas à la vérité au fond du cœur.
Cette image doit être vendue cela fait qu’ils adoptent inconsciemment en public les sentiments qui leur paraissent propre à assurer le succès. Par conséquent ils sacrifient leurs propres sentiments naturels à l’image qu’ils désirent créer devant les autres. Ils ont tendance à ne pas avoir une vie privée et personnelle, mais se laissent prendre par leur rôle et par leurs entreprises. Ils ne manquent pourtant pas de sentiments personnels forts, mais celui-ci sont mis de côté pour être pris en compte à un autre moment. Au fond, ils ne veulent pas laisser leurs sentiments personnels entraver la réussite pour laquelle ils travaillent. Le résultat est qu’ils portent typiquement un masque, qui reflète leur rôle, mais ne permet pas de les connaitre personnellement. Ce masque, ils le portent inconsciemment, parce qu’ils se sont trop identifiés avec le rôle qu’ils jouent.
Ils choisissent une profession ou ils peuvent se mettre en vedette. Ils s’identifient tellement à leur travail qu’ils ont tendance à oublier les contributions des autres à sa réussite.
Il peut leur arriver de manipuler les autres au service de leur réussite personnelle.
Ils sont dynamiques. Ils cherchent toujours à faire quelque chose Même si il y a rien à faire, ils déplacent même des papiers ou en faisant les cent pas. C’est difficile pour eux de décider de ne rien faire, pour quelque raison que ce soit.
Le grand effort qu’ils font pour tout organiser est un don précieux pour leurs proches. Leur insistance sur la définition des objectifs, sur la description des taches et l’évaluation de la réussite ou de l’échec, incite leurs compagnons à travailler ensemble et à partager un même esprit. Ils ne se préoccupent pas beaucoup de détails, mais rappellent sans cesse à leurs collaborateurs le but du travail et les perspectives d’avenir.
La vivacité avec laquelle ils présentent un projet stimule l’activité des autres et crée un sentiment de satisfaction à travailler à quelque chose qui en vaut vraiment la peine. Leur enthousiasme est assez contagieux. Ils encouragent les autres à mieux soigner les apparences et les bonnes collaborations. Leur forte motivation maintient les gens en alerte et suscite des efforts accrus pour la tache commune.
Comme ils aiment attirer l’attention, ils veilleront à se présenter toujours bien, entre autres par la façon de s’habiller.
Pour eux que le travail soit fait. Par leur grand souci de réussir ils inspirent à tous ceux qui s’associent à eux le sentiment d’appartenir à une équipe gagnante.
Ils sont aussi de bons conseillers. Car ils sont très objectifs et savent aider les autres à organiser leur vie en fonction de certains objectifs qui en valent la peine. Ils interpellent les autres à discerner ce qui les fait vivre et à conformer concrètement leur vie à leurs attentes.
Ils veulent réussir c’est tous.
- quels sont les facteurs déterminants de la difficulté ou ayant une incidence sur la réussite ?
Prenons l’exemple d’une histoire pour bien comprendre car disait « le récit d’une réalisation vont mieux qu’une longue définition ». G. dobbelaere « 5 compagnons Marchaient sur une route. C’était des anciens soldats, mais ils avaient quitté leur régiment car ils ne pouvaient plus se battre à cause de leur état, après un temps, ils ont quitté leur pays car ne pouvaient plus vivre aisément. Le premier ayant perdu une jambe, on le nommait béquille, le second qui n’avait plus qu’un bras se servait d’un crochet de fer, on l’appelait donc croche, le troisième étant borgne, on le surnommait bigorne, le quatrième ne manquait rien, mais il était si vieux qu’il ne pouvait plus combattre, le cinquième était le plus petit de tous, on l’appelait mouche et celui qui jouait le tam-tam pour l’équipe et faisait danser tous les quatre
Comme les cinq compagnons marchaient toute la journée, ils faisaient beaucoup de chemin, c’est ainsi qu’au bout de trois mois, ils arrivèrent dans le pays du roi Mimol.
C’était un pays merveilleux. L’air y était si doux et le soleil si bon qu’on y récoltait les plus beaux fruits et bétails du monde : Viandes y étaient en grandes quantités comme des mannes, les danses en rythmes étaient dans la joie communautaire, fort, un pays industrialisé…tous ce qui n’en poussait pas ou bien celui que roi n’aimait pas, il ne cultivé pas.
Dans les champs, on pouvait voir les paysans occupés à tailler les arbres, à bêcher le sol, à soigner la vigne et tout le monde aurait pu être heureux…Hélas, il en était tout autrement
Le roi Mimol, en effet, qui était très vieux, avait laissé tout le pouvoir à ses ministres, Floribert, le ministre du travail, Albert, le ministre des finances, et Wivine, la ministre des prisons.
Ces ministres étaient très cruels, corruptibles, vagabo, sans souci du peuple et comme le roi n’avait pas d’héritiers, les habitants du pays avaient très peur qu’un jour les trois ministres ne disposent du pouvoir absolu pour exercer leur méchanceté.
Ils suppliaient souvent Mimol de se choisir un successeur, tant et si bien qu’un jour on entendit le héraut du royaume faire cette proclamation :
« AVIS le roi Mimol désireux d’assurer le succession au trône a ouvert un concours auquel tous sont admis.
Toutefois, les ministres ont demandé et obtenu que les épreuves soient tenues secrètes jusqu’au moment où les concurrents se présenterons. S’ils échouent dans ces épreuves, ils auront la tête tranchée »
Les habitants qui s’étaient d’abord réjouis gémirent de plus bel. Que serait assez fou pour s’engager dans une épreuve sans la connaitre à l’avance ?
C’est alors que les cinq compagnons s’avancèrent.
« Nous acceptons de concourir » tout le monde se récria. Ils allaient à une mort certaines ils ne se laissèrent pas intimider et le lendemain ils se présentèrent au palais du Roi.
- Nous venons concourir pour le compte de mouche. Si nous gagnons, il sera roi ;
- Si vous gagnez…Floribert. Venez donc subir la première épreuve
Ensemble ils allèrent jusqu’au moulin.
- C’est ici que l’on mound tout le grain du royaume et voici le bœuf Boum qui fait tourner la meule. La meule pèse trois mille six cent quatre-vingt-quatre livres.
Nous voulons d’abord éprouver votre force.
Faites tourner la meule.
- Qu’à cela ne tienne, dit béquille, je m’en charge.
- Toi, malheureux, toi qui n’a qu’une jambe
- Je n’ai qu’une jambe, il est vrai, mais à force de pousser dessus, elle est devenue plus forte que trois, six ou vingt jambes
Cher participants
Regardez donc
Alors s’attelant au moulin, Béquille commença la meule et à pousser si fort que bientôt la meule tourna. Personne ne pouvait en croire ses yeux et pourtant la meule tournait, tournait de plus en plus vite, tournait beaucoup plus vite même que lorsque le bœuf Boun poussait dessus.
Floribert, furieux, s’avouer vaincu, c’est alors qu’arriva le second ministre Albert.
Suivez-moi, leur dit-il.
Ensemble ils descendirent dans les caves du palais.
- C’est ici qu’est enfermé le trésor du royaume. Et voici le singe Mardochée qui toute la journée empile les pièces d’or, il est devenu tellement habile jusqu’à mille huit cent vingt qui dit mieux ?
- Toi, malheureux toi qui n’as qu’un bras je n’ai qu’un bras, il est vrai, mais à force de m’en servir, il est devenu plus habile que deux, quatre ou même dix bras. Tenez-vous allez voir donc ils ont surpassé
Face à la mauvaise foi des ministres la foule viendra au secours de cinq compagnons menacés.
La discipline collective à une place et l’aide des adultes a aussi une place dans nos réussites afin l’expérience vécue soi-même
Le désir du progrès vient quand l’histoire est vécue, pour devenir sienne
Pas de réussite sans l’épreuve, sans la souffrance
La tentation du Seigneur au désert Math 4,1-11, de l’apôtre Pierre après avoir reconnue Jésus comme le Christ et quand Jésus leur parlait de sa souffrance et aussitôt Pierre s’oppose en disant Seigneur « cela ne t’arrivera pas » Jésus lui est dit Satan, vies des bienheureux et des Saint mais aussi disait Sainte Thérèse de l’enfant Jésus quand tu reçu TU TROUVERAS les faux amis et de vrais ennemis, mais reçu quand même.
Souvent ceux qui évitent la souffrance PHYSIQUE OU MORALE sont des optimistes et des bons vivants qui trouvent que la vie ne devrait jamais être pénible. Ils évitent de voir la souffrance ou la détresse autour d’eux. Souvent ils n’achèvent pas ce qu’ils ont commencé à cause des difficultés et des ennuis rencontrés. Ils sont mal à l’aise avec des personnes ou des situations trop sérieuse ou conflictuelle, pour eux la vie doit être agréable et ils s’organisent pour cela, ils trouvent plaisir même dans les choses pénible, au bon milieu d’une dispute familiale, on peut les voir qui soudainement interrompent tout le monde et proposent une sortie générale, il passe à côté de toutes choses affligeante ou négatives. Il voit le bon côté de toutes choses, ils sont gentils superficiels, ils fuient tout ce qui est déplaisant, même si le fait de l’affronter pourrait faire grandir leur personnalité et leurs réalisations. Ce refus de la souffrance dévient une faiblesse pour eux à surmonter. Pour eux c’est le plaisir, le bon gout, plus il y en a, mieux ça vaut. Tout cela parce qu’on ait grandi dans une famille heureuse perdue par la suite. Ils cherchent perpétuellement ce qui est perdue. Pour eux vivre c’est se faire des projets, ils envisagent l’avenir meilleur à cause de leur projet. Par contre le présent les confronte avec des problèmes qu’ils ont tendance à éviter. Au lieu de s’atteler à la tache dure et aux détails de la mise en œuvre de leurs projets, ils se réfugient dans l’alcool, dans le découragement ou Ils cherchent le plaisir manquait. Les taches deviennent pénibles, ils sont tentés de l’abandonner.
Le fait d’affronter la souffrance pourrait faire grandir nos personnalités et nos réalisations car nos cibles sont les objectifs.
La réussite dans le chemin du Seigneur doit éviter les moyens d’auto-défense dans les agissements pour s’auto protéger, pour se sauver soi-même, pour assurer sa sécurité et son épanouissement par ses propres efforts.
Le chemin du Seigneur devient une réussite par la foi et dans la mise en pratique de la parole de Dieu, il devient un bon guide pour la réussite car elle est la vie « tu as les paroles de la vie éternelle » disait un psalmiste On se sent responsables de ce qui est demandé, on s’efforce d’éviter la moindre négligence de nos obligations. On tient à ce que toutes les règles soient observées, spécialement celles prescrites par Dieu, une vie centre sur de grandes exigences. On vit la peur, on doit se conformer aux ordres parce que Dieu est strict, ou tout doit être décidé par Dieu mais exécuter par nous-même par exemple après avoir prié, Marc quitte sa chambre pour aller chercher le travail avec détermination, tandis que Jeannine entend en vain le travail dans sa chambre elle manque d’assurance pour prendre des décisions c’est là où commence le danger et lorsque cet attachement à Dieu est une recherche de sécurité( contre les sorciers, la malédiction..) au lieu de la vivre. La parole devient un moyen d’auto-défense contre les attaques.
Quand on observe la parole à lettre on a tendance à devenir très dur de ceux qui ne respectent pas les normes au lieu de les approchés,
Georges vient appartenir au groupe pour avoir le soutient en cas de deuil, maladie…. Micheline cherche constamment le Seigneur son créateur.
Le chemin du seigneur ne doit pas nous conduit à voir partout des dangers imaginaires, parce que quand il y a rien de précis ou clair, on devient incertain et indécis. Roseline tellement est sous l’autorité du Seigneur et quand elles font des achats dans une boutique, elle hésiter beaucoup à faire son choix et se sent le besoin de demander l’opinion d’un autre, même d’un étranger, on ne sait pas prendre des initiatives, par peur du changement.
La réussite passe par l’évitement de l’échec au travers les objectifs, organisation, évaluation, détermination, par le souci de perfection, d’être présent dans la réalité de sa vie et dans la vie des autres, par le souci de spécialité, d’apprentissage continuel pour des nouvelles connaissances et compétences, par l’obéissance à la loi sans tombé au piège, par le souci de plutôt de surmonter la souffrance en utilisant la parole de Dieu, la foi et sa mise en pratique reste le guide par excellence pour mieux vivre, d’une façon harmonieuse avec force et sans conflit. Car réussir c’est recevoir la vie Eternelle et une vraie personnalité humaine, qui est profondément orientée vers Dieu et qui agit selon ses convictions religieuses.
Nous devons éviter les paroles telles que, je sais que ce n’est pas tout à fait chrétien, mais tout le monde le fait. Ne se laisse pas influencer par le milieu va trouver Jésus.
Nous même sommes artisans de la réussite de notre vie. Je voudrais te connaitre, Seigneur et me connaitre. Montre les points faibles de mon caractère afin de prévoir pour pouvoir.
Cette lutte passe par l’élimination de l’adversaire qui est le mal et par le service pour le bien commun moyennant un idéal. Car celui qui attend de savoir ce que font les autres pour agir ne peut pas réussir.
Une fois réussi on doit mettre sa force au service de ceux qu’on opprime et qui sont faibles, pauvres, malades… Il faut s’élever, franchir les mauvais et vaincre par les bonnes actions journalières et lutter contre tout ce qui déshonore, rabaisse ou rend lâche.
Une fois au service des opprimes, des faibles, des pauvres, des malades, celui-ci doit être impersonnelle basée sur une administration anonyme qui attache beaucoup moins d’importance aux relations personnelles du type parental mais fonder sur l’amour du bien commun sans la corruption et la politique dans l’administration, avec moins de favoritisme qui procurerait des avantages aux membres d’une famille ou d’un clan. C’est ainsi qu’un homme public ne doit pas chercher dans les services qu’il rend, à servir en priorité les citoyens de son clan ou de sa tribu. Ce sont ces pratiques que l’on appelle « favoritisme ». Dr A. Bols. Son application devient une source de conflit identitaire. Les individus mal intentionnés exploitent ce point pour diviser et régner, ce qui est à l’origine des différentes guerres identitaires (guerres communautaires ou religieuses)
Le favoritisme a un effet sur l’esprit public car il crée des antagonismes et des oppositions entre citoyens et bloque ainsi la machine. Il faut entretenir dans l’administration des liens moins personnels (anonyme) et qui se fondent sur des critères non ethniques».
C’est pourquoi, il faut faire quelque chose car, pour arriver au changement de sa condition, il faut partir de condition moins favorable pour son émergence,
Donc, l’effort de surpasser nos faiblesses ci-haut dans le cadre d’amélioration reste les vois et moyens capable de donner sourire pour continuer le chemin de la réussite.
Il faut une vie nouvelle, une vie qui assure une part des biens de la terre à tous et à chacun de membre de la société. « Car toute vie est une responsabilité, et nous sommes coupables, non seulement du mal que nous faisons, mais aussi du bien que nous ne faisons pas ». – Mgr Péguy.
C’est pourquoi, eut certainement en vue de rétablir entre les hommes et les sens de la vie l’ordre trouble par les comportements souillés, Jésus sauve et purifie nos consciences des œuvres maudites, et nous demande de se retirer du chemin qui conduit à la ruine et à la perdition car les hommes forment tous ensemble un seul corps, très étroitement uni, dont une seule personne qui est la tête son initiateur « Jésus-Christ »
Avec Jésus-Christ nous n’en serons pas plus pauvres.