Mise en place d’un Site Web Dynamique pour la gestion des stagiaires et leurs cotes»

EPIGRAPHE

DEDICACE

A vous mes parents Léon KANUSHIPI KAPUMBU et
Madeleine MILOLO KADIEBUE, parents d’affections, ayant façonné le ce fruit des peines douloureuses, ayant tracé le chemin d’auto prise en charge en nous, ayant ouvert nos yeux aux horizons intellectuels. C’est à vous que nous dédions ce travail.

SIGLES ET ABREVIATIONS

Sigle Signification
WWW
HTTP
URL
FTP
OSI
ISO
TCP/IP
PHP
HTML
CSS
WAMP
UML
MPM
PERT : World Wide Web
: HyperText Transfer Protocol
: Uniform Resource Locator
: File Transmission Protocol : Open system Interconected
: Organisation Standard International
: Transmission Control Protocol/Internet Protocol
: Personal Hypertext Preprocessor
: Hyper Text Markup Language
: Cascading Style Sheet
: Windows Apache Mysql PHP
: Unified Modeling Language
: Méthode de Potentiel Métra
: Program and Evaluation Review technic
VERONICA : Very East Rodent Oriented Network Information for
Computer Access WAIS :
IRC : Wide area information server
INTERNET : Internet Relay Chat
XML : Interconected Network
XHTML : eXtensible Markup Language
PNG : eXtensible HyperText Markup Language
WCAG : Portable Network Graphics
Web Content Accessibility Guidelines

REMERCIEMENT

A toi Eternel Dieu des armés, donateur de souffle de vie et don par excellence, pour ta protection en vers nous du jour le jour, à toi soit la gloire, l’honneur aux milieux des siècles et siècles.

A vous mes parents KANUSHIPI KAPUMBU Léon et ma dauphine MILOLO KADIEBUE Madeleine ayant accepté de nous faire instruire grâce à vos petites revenues, par cette volonté nous vous remercions sincèrement et nous ne vous oublierons jamais dans notre vie sur cette terre.

A tous les personnels enseignants de la faculté des sciences et techniques appliquées en générale et à ceux du département d’Informatique de gestion en particulier pour la meilleure formation assurer sur nous durant ces cinq ans d’études académiques, nous vous remercions d’avantage que le très haut vous bénisse.

A vous Chef de Travaux MUTOMBO NTUMBA Jean et Assistant KABONGO BANDOWE Pierre, respectivement Directeur et Codirecteur de cette présente œuvre scientifique. Pour vos remarques, suggestions et un bon encadrement qui ont façonnés notre aptitude scientifique et nous vous remercions sincèrement.

A tous mes frères et sœurs ayant accepté de privilégier mes études à l’occurrence Trésor MULAMBA, Léon KANUSHIPI, René KALALA, Olivier NTUMBA, Madeleine MILOLO, Nathalie TSHIBOLA, Nicole KUBIBUA,… nous vous remercions profondément, que Dieu vous bénisse pour le travail abattu à notre égard et nous assurons que nous somme de cœurs avec vous.

A tous nos camarades étudiants avec qui nous nous sommes partagés pennes et souffrances académiques, les compagnons de lutte durant cinq-ans d’études universitaires, à l’occurrence : Joseph MUAMBA, Sébastien LUKENGU, Jean Paul KANKONDE, Jean Paul BAKAJIKA, Jeannette MUNUAKUMPA, Rose AKINA, Ruth LUPETU, Suzanne MBUYI, Rachel KANKU, Angel KANYEMBA, la liste n’est pas exhaustive nous vous remercions profondément et vous souhaitant une bonne continuité de la vie académique, recherche scientifique et professionnelle.
A tous ceux qui ont contribués moralement, financièrement, matériellement de loin ou de près à l’aboutissement heureux de nos études et dont leurs noms ne sont pas cités dans ce rapport, qu’ils trouvent ici le sentiment de notre gratitude envers eux, que le très haut les comble.

INTRODUCTION GENERALE

Conformément au Programme national de l’Enseignement Supérieur et Universitaire, la coutume académique exige que, l’acquisition du titre de licencié soit conditionnée par la rédaction d’un Travail Scientifique sanctionnant la fin du deuxième cycle universitaire, ce travail en question est appelé « Mémoire ».

Au cours de ces dernières années, les Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication ont connu plusieurs avantages marqués par l’apparition du réseau Internet et par son accroissement exponentiel.
Cet accroissement d’Internet est marqué par l’entrée en scène de world wide web « WWW » qui est l’une de ses applications qui lui a rendu populaire actuellement. ( )

Le site Web est le guichet le plus largement ouvert à la population. Et il doit évoluer d’une part à offrir plus d’informations et de services en ligne, et d’autre part s’intégrer dans la gestion des activités internes du Département de stage et professionnalisation.

Vu dans bien de cas, les entreprises se servent du réseau informatique dans le monde entier pour le partage, la communication, la sécurité, le récolte des ressources et certains intérêts proposés par la mondialisation des activités, nous nous sommes inspirés de rédiger un mémoire de fin de cycle dont le sujet est intitulé « Mise en place d’un Site Web Dynamique pour la gestion des stagiaires et leurs cotes» dans le souci de répondre aux besoins des gestionnaires du Département de stage et pratique professionnelle à l’Université Pédagogique de Kananga « UPKAN » en
sigle.
Les bases de données sont désormais un élément
incontournable de tout système de traitement de l’information qui se doit d’être performant et évolutif.
Le Département de stage qui gère les affectations et les cotations de différents stagiaires comme tous les autres gestionnaires se heurtent à des normes difficultés par rapport à l’harmonisation rapide, fiable et cohérente des cotes des stagiaires.

C’est pourquoi, il est important pour cette coordination
de recourir à l’application informatique afin de rendre une gestion évolutive et performante dans le souci de produire un résultat harmonieux. Toutefois, les étudiants (stagiaires) rencontrent plusieurs problèmes lors de la délibération, notamment : l’omission et la perte des cotes de stage. Certains trouvent une suite favorable après les recours, d’autres non plus. (2)
Vu que, ce même problème se produit chaque année, nous nous sommes consentis à étudier minutieusement le système de gestion des stagiaires et leurs cotes, et proposer les pistes de solutions. Suite aux fléaux énumérés ci-haut, notre problématique se présente de la manière suivante :
 Le système de gestion des stagiaires et leurs cotes est-il informatisé ?
 Comment le Département de stage conserve les cotes et les transmet aux propriétaires sans difficultés ?
 Dans quelles conditions les gestionnaires du Département de stage accèdent à ses patrimoines ?
 Par quel mécanisme les organismes (écoles et entreprises) parviennent-ils à envoyer les rapports à la coordination de stage et professionnalisation ?
Conformément à la problématique proposée, nous disons que, le système de gestion des stagiaires et leurs cotes n’est pas informatisé. Alors, il faut ce qui suit :
 Mettre en place un site web dynamique, permettant la gestion des stagiaires et leurs cotes ;
 Proposer les pistes des solutions pour la sécurisation des cotes des stagiaires ;
 Permettre l’accès à distance aux patrimoines du département de stage et la publication des informations relatives aux bénéficiaires, après l’hébergement et référencement de ce site par l’Institution en place.
 Les organismes peuvent envoyer les rapports d’encadrement des stagiaires à la coordination de stage via l’application web que nous allons mettre en place.

Sans se contredire, les grands avantages qu’offre la nouvelle technologie de l’information et de la communication dans le monde entier sont nombreux, notamment :
 Le partage des ressources ;
 La sécurité des informations ;
 L’accès à distance aux ressources d’entreprise (télétravail) ;
 L’allégement de travail ;
 La réduction des employés dans les organisations ;
 Diminution de l’engouement lors du dépôt de rapport de stage et le retrait de billet de stage ;
 Etc.( )
Vu les avantages suscités ci-haut, nous nous sommes inspirés de traiter un sujet dans le domaine informatique intitulé : « Mise en place d’un Site Web Dynamique pour la gestion des stagiaires et leurs cotes» dans le souci de rendre la gestion des cotes des stagiaires transparente et fiable.
Pour la réalisation de notre travail, le choix est porté sur le processus unifié. En effet, le processus unifié est une solution de développement de logiciel adaptée à tout type de projet informatique. Ses traits distincts tiennent en (3) trois notions à savoir : piloter par le cas d’utilisation, centrer sur l’architecture, itératif et incrémental.( )

Le langage de modélisation que nous avons utilisé est UML (Unifier Modeling Language) qui est une partie intégrante de la démarche UP. Ses diagrammes sont largement utilisés dans chaque étape et phase de processus du développement.

En plus, ces techniques nous ont permis de récolter les données, à l’occurrence : technique d’interview, d’observation, webographie et documentaire.
Etant donné que, le champ d’investigation scientifique est illimité et évolutif dans son contenu et dans ses formes, toute question qui se poserait pour porter la solution, apparait comme une goutte d’eau dans l’immensité d’eau de la vérité scientifique.
En effet, l’état de la question s’engage dans une démarche à deux (2) dimensions : consistant d’une part, à prendre connaissance des travaux qui ont été réalisés sur le thème scientifique qui fait l’objet de la recherche et d’autre part, à se forcer de mettre la main sur des ouvrages qui font le point sur les grandes questions qui encadrent l’état de la question retenu.
Eu égard à ce qui précède, Adel RAISSI dans son Mémoire intitulé : « Conception et développement d’un site web de ecommerce pour le compte de LSAT_Nokia » présenté et défendu en vue de l’obtention du grade de master en nouvelles technologies de télécommunication et réseaux, à l’Université de Tunis « UTS », l’année académique 2012-2013, a démontré la possibilité de présenter les produits dans une boutique virtuelle à la disposition de tout le monde, de faire des transactions commerciales, de faciliter la tâche lors de payement en ligne et de suivre la livraison des produits.
Ainsi, notre Mémoire se démarque de celui du prédécesseur du fait qu’il parle de la « Mise en place d’un site web dynamique pour la gestion des stagiaires et leurs cotes », à l’Université Pédagogique de Kananga « UPKAN ». Et dont l’objectif principal est de mettre en place une application web, permettant l’enregistrement, la modification, la suppression et la restitution des cotes des stagiaires de l’UPKAN.
Toutefois, le domaine informatique est plus large et son champ d’investigation est illimité. Nous ne pensons plus traiter son entièreté. Mais, avec une miette de connaissance que nous avons dans ce domaine, nous nous limiterons à la création d’un site web dynamique (local) qui servira l’institution pour l’an 2020-2021.
Toute démarche scientifique, ne peut jamais manquer d’obstacles, tout au long de la rédaction de notre travail nous avons été buté à des divers difficultés telles que :

  • Le manque des certains documents pour mettre la main sur la matière concernée ;
  • Le manque de moyen financier pour la production de ce mémoire ; – Etc.
    Afin de bien nous laisser facilement entendre et comprendre par nos lecteurs, nous sommes obligés de bien morceler le corps de ce mémoire en chapitres, dont la hiérarchisation de ce dernier se présente comme suit :
     Le premier chapitre s’intitule « Généralités sur les nouvelles technologies de l’information et de communication NTIC ».  Le deuxième chapitre s’intitule : « Etude de l’existant »
     Le troisième chapitre s’intitule: « Cadrage d’un projet de mise en place d’un site web dynamique ».
     Le quatrième chapitre s’intitule: « Modélisation et Implémentation d’un système d’informations ».

CHAPITRE I. GENERALITES SUR LES NOUVELLES
TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION

Toute démarche scientifique doit toujours débuter par la clarification de certains concepts clés d’un sujet à traiter, ceci pour éviter une interprétation erronée ; c’est ainsi que, ce premier chapitre est consacré à l’explication de site web. En bref, l’idéale de ce chapitre est de fournir à nos lecteurs une culture générale sur le site web.

  1. Pré-Internet (Arpanet)( )
    L’Internet est le fruit d’une collaboration entre les militaires américains, des universitaires et des chercheurs. Son histoire ne remonte pas très loin puisque tout commence dans les années soixante aux Etats-Unis.

 Création de l’ARPA
En 1957, en pleine guerre froide, le ministère de la Défense américaine crée l’ARPA dans le but de développer la recherche scientifique à des fins militaires. ARPA : Advanced Research Project Agency (Agence pour les projets de recherche avancée). Le but était de permettre leurs communications de résister à un bombardement nucléaire, en remplaçant un système centralisé par de nombreuses machines reliées entre elles.

 Arpanet
Le point de départ d’Internet fut la naissance d’Arpanet en 1969, après plusieurs années d’études et de recherches. C’était un réseau de quatre mini-ordinateurs qui a été mis en service à l’université de Los Angeles en Californie (UCLA). Dans les années qui ont suivi, de plus en plus d’universités et d’instituts de recherche se sont joints à eux.

 Mise en place de protocoles
Lors de la Première Conférence Internationale sur les Communications Informatiques à Washington en 1972, est apparue la nécessité de mettre en place des protocoles de communication communs. Entre 1972 et 1974 sont réalisées les premières spécifications des protocoles Internet comme Telnet, FTP et TCP. En 1977, le format des messages électroniques est défini.

Les premières connexions internationales sont mises en place à partir de Londres et de la Norvège. En 1976, les laboratoires AT&T Bell Labs mettent au point le protocole UCP qui permet d’échanger fichiers et messages électroniques entre des utilisateurs Unix.(6)

 Usenet
En 1979 est créé Usenet un service de conférence électronique utilisant un réseau comme support. Son développement se poursuit dans les années 80 et les newsgroups (groupes de discussions) se multiplient à vive allure. Ces groupes de discussions, appelés aussi forums, permettent la discussion et l’échange d’opinions autour de thèmes très variés et très nombreux.

 La naissance d’Internet
Grâce au protocole TCP-IP (Transfert Control Protocol – Internet Protocol) les réseaux peuvent s’interconnecter : c’est la naissance d’Internet dont les militaires se détachent définitivement en créant leur propre réseau : Milnet. Arpanet est intégré au NSFNET (réseau de la National Science Foundation) en 1990. Ce réseau est le point de départ d’Internet.

 La croissance du réseau
De 1987 à 1991, grâce à des fournisseurs privés (les routeurs) les entreprises commencent à se raccorder à Internet. Au début, la navigation sur Internet se faisait uniquement par du texte (serveurs Gopher). Depuis 1989, date de la création de la norme HTTP mise au point au CERN de Genève, le principe de l’hyperlien offre aux utilisateurs une interface graphique conviviale connue sous le nom de Mosaïc. En 1990, les grands principes du Web sont inventés par un chercheur anglais nommé Tim Berners-Lee.

Depuis 1992, les fournisseurs d’accès permettent à des millions de particuliers de rejoindre Internet, rendu dorénavant facilement accessible par la création du World Wibe Web (toile d’araignée mondiale).( )

1.1. L’Internet (Interconected Network)
1.1.1. Définition
L’Internet (réseau des réseaux) est une collection à l’échelle mondiale des réseaux informatiques interconnectés. Il désigne un ensemble de réseaux informatiques privés ou publics interconnectés sur base des protocoles Internet, dont le plus connu est TCP/IP (Transmission Control Protocol/Internet Protocol). ( )

Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessibles au public des services variés comme le courrier électronique, la messagerie instantanée et le World Wide Web, en utilisant le protocole de communication IP (Internet Protocol). Son architecture technique qui repose sur une hiérarchie de réseaux, ce qui implique de facto une non-centralisation, lui vaut le surnom de réseau des réseaux.
A ne pas confondre avec le World Wide Web qui a popularisé Internet, mais qui n’est que l’une des applications d’Internet.

Pour simplifier : Internet est un ensemble d’ordinateurs plus ou moins Puissants reliés par des réseaux informatiques et communiquant entre eux avec un langage (TCP/IP) compris de toutes ces machines.(9)

Image : Présentation d’un réseau Internet.

Le réseau Internet est utilisé dans la communauté scientifique et documentaire comme un nouveau et puissant moyen de communication. Grâce aux protocoles TCP (transmission control protocole) /IP (Internet Protocol), Internet permet l’interconnexion d’un grand nombre de réseaux entre un grand nombre de pays.

L’Internet (International network), en français « l’interréseau », est un réseau de réseaux qui peuvent être aussi bien des réseaux locaux que des réseaux à longue distance. La participation de ces réseaux constitue ainsi un seul réseau virtuel à la disposition de l’utilisateur.

À l’origine, Internet permettait d’échanger du courrier via la messagerie électronique, de participer à des débats sur les sujets les plus divers et les plus techniques grâce aux listes de discussion et de transférer des fichiers. Très tôt, il a servi de support à l’interrogation de catalogues de bibliothèques ou de banques de données documentaires.

À côté de ces premiers services, de nouveaux services facilitant la coopération et l’accès à l’information sur réseau sont apparus, notamment les serveurs FTP, Telnet, Gopher, WAIS et, plus récemment, World Wide Web.

(9 ) YAPI AKOMIAN J, Initiation à l’Internet, Module 2, ENA, 2018. P.36-37
Ce dernier système a été un immense progrès, non seulement en gérant le texte, l’image fixe ou animée et le son, mais aussi en intégrant tous les autres serveurs d’informations et en rendant « transparentes » leurs particularités pour l’utilisateur. Les serveurs disponibles sur l’Internet sont très nombreux mais, l’information qu’on y trouve, si elle est très variée et en très grande quantité, est malheureusement parfois de qualité inégale.( )
Un Intranet est un réseau informatique utilisé à l’intérieur d’une entreprise ou de toute autre entité organisationnelle et qui utilise les mêmes protocoles qu’Internet (TCP, IP, HTTP, etc.).

C’est-à-dire, l’intranet est un réseau de télécommunication et de téléinformatique destiné à l’usage exclusif d’un organisme et utilisant les mêmes protocoles et techniques que l’internet.
L’Extranet est un réseau de télécommunication et de téléinformatique constitué d’un intranet étendu pour permettre la communication avec certains organismes extérieurs.

1.1.2. Les services et les protocoles Internet (11)
1.1.2.1. Le transfert de fichier(FTP)

Le FTP : File Transmission Protocol : Est un protocole de transfert des fichiers d’un ordinateur à l’autre. Le transfert de fichier est une opération informatique, sur laquelle repose les services de la télécommunication. Cette opération consiste à acheminer un fichier d’émetteur vers le récepteur. Le transfert de fichier peut se faire d’un ordinateur à un périphérique, de serveur à serveur, de client à serveur ou de client à client par l’intermédiaire d’un serveur de messagerie électronique comme (Skype, Windows Messenger, AIM, etc).
Le transfert de fichier entre un ordinateur et un périphérique connectés se fait à l’aide d’un protocole de communication par exemple USB (Universal Standard Bus : port standard universel) et pilote. Dans le service de transfert de fichier, chaque ordinateur peut se comporter comme client et serveur, comme dans un réseau Peer-to-Peer (P2P) (partage de fichiers).

Le protocole FTP (File Transfert Protocol) est un service orienté connexion fiable qui utilise le protocole TCP pour transférer des fichiers entre des systèmes qui le prennent en charge. L’objectif principal du protocole FTP est d’échanger des fichiers dans les deux sens (importation et exportation) entre un ordinateur serveur et des ordinateurs clients.

Lorsque vous importez des fichiers à partir d’un serveur, FTP établit d’abord une connexion de contrôle entre le client et le serveur, puis une seconde connexion qui permet de transférer les données d’un ordinateur à l’autre. Une fois le fichier transféré, la connexion de données est automatiquement interrompue. La commande de liaison est fermée dès que l’utilisateur met fin à la session en se déconnectant, après avoir terminé de copier et de transférer ses fichiers. FTP utilise deux ports l’un pour les commandes (Port 21) et l’autre pour les données (port 20). ( )
Le protocole TFTP (Trivial File Transfert Protocol) est un service non orienté connexion qui se sert du protocole UDP (User Datagram Protocol). Il est utilisé pour le démarrage des terminaux ou stations sans disque.
Ce protocole, conçu pour être léger et facile à mettre en œuvre, est dépourvu de la plupart des fonctionnalités de FTP. Il peut lire ou écrire des fichiers vers ou depuis un serveur distant, mais il ne permet pas d’afficher le contenu des répertoires ni d’assurer l’authentification des utilisateurs. Il est utile dans certains LAN, car il s’exécute plus rapidement que le protocole FTP. Son fonctionnement est par ailleurs fiable dans un environnement stable. Le service de transfert de fichier s’effectue dans la « couche application » de l’architecture TCP/IP. (13)
1.1.2.2. La connexion à distance (Telnet)

Telnet permet à un internaute (utilisateur d’Internet) de se connecter à distance à une machine comme si, elle se trouvait prête. Cela donne la naissance à un Télétravail, puisqu’il devient possible d’utiliser les machines se trouvant sur le lieu de travail à partir de chez soi. Telnet est aujourd’hui peut être abandonné, négligé au profit de la sécurité des données.
En effet, avec Telnet toutes les informations transmises transitent en clair sur le réseau, y compris les mots de passe, ce qui permet à un pirate simplement à l’écoute du réseau d’intercepter toutes les données sensibles qui transiteraient. Parce que, Hytelnet présente un répertoire des catalogues informatisés de bibliothèque d’Universités du monde entier et permet d’obtenir facilement les adresses Telnet de ces dernières

Mais, pour SSH (secure shell), toutes les données transmises sont cryptées et illisibles par toute autre que le destinataire. TELNET est une application qui permet à un utilisateur de se connecter à distance sur un ordinateur, pourvu que cet utilisateur y dispose d’un accès autorisé. Il permet de prendre un contrôle partiel sur la machine distante ( ). TELNET utilise le protocole TCP au port « 23 ».

1.1.2.3. L’accès à l’information (Gopher)
Gopher peut être considéré comme l’ancêtre du web, il s’agit d’un serveur d’information distribuée, hiérarchisée, diffusée sur Internet. On peut créer un serveur Gopher en plaçant sous répertoire les données que l’on souhaite rendre publiques et on crée un lien vers les autres serveurs d’informations.

À la différence de Telnet qui nécessite au préalable de connaître l’adresse électronique de l’ordinateur sur lequel on veut se connecter, Gopher est un programme de balayage qui intègre les adresses des différents sites Internet. Gopher est ainsi très facile d’utilisation et beaucoup plus convivial que Telnet qui oblige à utiliser des lignes de commande Unix.

Gopher est à la fois un système d’informations et un système de navigation sur réseau. Comme système d’informations, la structure de Gopher est arborescente et fonctionne à l’aide de menus ; l’utilisateur dispose de plusieurs commandes pour explorer les fichiers. Comme système de navigation, Gopher organise les serveurs d’informations pour faciliter la navigation et la découverte d’informations.

Le protocole utilisé est propre à Gopher. Bien que moins utilisé depuis le développement du Web, Gopher reste un serveur très répandu sur l’Internet grâce à sa souplesse d’utilisation et à son interface qui ne nécessite aucune interface graphique : un simple terminal télétype suffit pour consulter un serveur Gopher. L’inconvénient majeur de Gopher est sa structure fixe et arborescente qui peut être rapidement parcourue si l’application consultée est de petite taille ; dans le cas contraire l’accès à l’information pertinente n’est pas immédiatement garanti. ( )

1.1.2.4. La navigation ( ) (WAIS, Archie, Veronica)
WAIS, Archie et Veronica sont des programmes de recherche qui permettent à l’utilisateur d’accéder à des ressources sur l’Internet. Ce sont des outils très utiles quand on sait ce que l’on cherche, mais qu’on ne sait pas où le trouver. L’inconvénient est qu’aucun d’eux ne couvrant l’ensemble d’applications Internet disponibles, d’où il faut généralement les interroger tous les trois.

a. WAIS
Le WAIS (Wide area information server) existe depuis 1991 et est l’une des premières applications de la norme Z39.50. C’est un logiciel du domaine public qui fonctionne selon le modèle client/serveur. WAIS est un serveur d’informations conçu pour faciliter la recherche de documents. II indexe tous les termes des documents recensés pour créer un fichier inverse (index). C’est un outil de recherche utilisé pour effectuer des requêtes sur des index en texte intégral. L’utilisateur doit sélectionner un index et définir en langage dit « naturel les mots sur lesquels il désire effectuer sa recherche ; en réponse, WAIS affiche la liste des documents qui sont dans l’index contiennent les mots recherchés.

L’inconvénient majeur de WAIS est de ne pas fournir une description correcte d’une base de données et de ne proposer qu’un fichier source très succinct créé par l’administrateur de la base de données. WAIS peut être considéré comme ancêtre des moteurs de recherche. Il permet de naviguer à travers les bases des données disponibles sur le réseau Internet en posant des questions en langage naturel (il s’agit d’une recherche sur les mots clés que présente la question).( ) b. Archie
L’Archie est un outil, éventuellement accessible par Telnet, qui permet de retrouver des informations parmi l’ensemble de nombreux fichiers FTP d’archives. Archie indexe périodiquement les fichiers de tous les sites concernés. L’utilisateur doit définir l’objet de sa requête par des mots en anglais, qu’il est possible de tronquer. Les fichiers sélectionnés par Archie peuvent, le cas échéant, être téléchargés sur l’ordinateur du demandeur. Archie est un service très consulté car il permet de trouver rapidement l’information utile mais son inconvénient majeur est son indexation des noms de fichiers souvent insuffisante.

c. Veronica
Veronica (Very East rodent oriented network information for computer Access) a été créé en 1993. C’est un outil de recherche très utile sur Gopher : Veronica aide à la localisation de serveurs contenant une information précise, grâce à un index obtenu à partir des menus Gopher.( )

1.1.2.5. Le service de communication entre personnes
a. La messagerie électronique

Est un service très puissant qui permet d’envoyer du texte, qui peut être joint à un fichier (image, vidéo, son, etc) à toute personne ayant accès au réseau, par le biais de son adresse électronique. Cette application peut fonctionner en mode connecté ou non connecté : le courrier est déposé dans une boite aux lettres que le destinataire viendra consulter.

b. Le forum de discutions ou le new groupe ( )

Un forum ou un groupe de discussions est une technique d’échange de message entre groupe d’individus, quand on adresse un massage à un forum, celui-ci est lisible par tous ses membres, contrairement du mail où la discussion est réalisée entre émetteur et destinataire (récepteur).

c. Internet Relay Chat(IRC)
Est un service d’échange de message en temps réel (synchrone) entre plusieurs personnes utilisateurs du réseau Internet, qui correspond en fait à un service de conférence électronique improvisée qui s’articule au tour du monde.
d. La messagerie instantanée
La messagerie électronique est une forme de chat particulier entre deux personnes.
e. La liste de diffusion
C’est une utilisation spécifique du courrier électronique qui permet l’échange des e-mails entre un groupe d’utilisateurs possédant une adresse courriel et inscrits à cette liste. Tout message envoyé à la liste par un abonné est automatiquement reçu par chacun des autres abonnés. On s’abonne à une liste de diffusion pour se tenir au courant d’un sujet en particulier et pour participer à des échanges sur ce sujet.
1.1.3. Le service web
C’est aussi un service de consultation de documents sur Internet, le plus connu, plus récent et aujourd’hui plus utilisé, c’est le service d’Internet qui a contribué à sa popularité.
1.1.4. L’Internet et le client serveur
Premièrement, il faut connaitre que, les services d’Internet
sont conçus selon l’architecture client-serveur.

L’architecture client/serveur définit un style de fonctionnement coopératif entre un serveur et un client. Nous définissons un serveur comme étant, un ordinateur ou un programme informatique connecté en permanence d’Internet, qui met à la disposition des services pouvant être utilisés simultanément par plusieurs utilisateurs. Alors, le client est donc un ordinateur ou programme informatique qui utilise des services fournis par le serveur.

Chaque application client/serveur fonctionne suivant le même processus : c’est-à-dire, le client débute la transaction en envoyant la requête au serveur, contenant le port qui désigne un service particulier du serveur. Le serveur accepte la requête, la traite soit en utilisant ses propres données, soit en faisant recours vers d’autres serveurs additionnels. Le serveur renvoi le résultat au demandeur et lorsque la requête est accomplie, la transaction se termine. L’environnement client-serveur désigne un mode de transaction (souvent à travers un réseau) entre plusieurs programmes : l’un, qualifié de client, envoi des requêtes ; l’autre, qualifier de serveur, attendent les requêtes des clients et y répond. Les serveurs offrent ici un service au client par extension, le client désigne souvent l’ordinateur sur lequel est exécuté le logiciel client, et le serveur, l’ordinateur sur lequel est exécuté le logiciel serveur.

Image : Architecture client serveur
 Caractéristiques d’un programme serveur :
 Il attend une connexion entrante sur un ou plusieurs ports réseaux locaux ;
 A la connexion d’un client sur le port en écoute, il ouvre un stock local au système d’exploitation,
 A la suite de la connexion, le processus serveur communique avec le client suivant le protocole prévu par la couche application du modèle OSI (OSI signifie (Open Systems Interconnect, ce qui se traduit par Interconnexion de systèmes ouverts).
La couche application est le point de contact entre l’utilisateur et le réseau. C’est donc elle, qui va apporter à l’utilisateur les services de base offerts par le réseau.  Caractéristiques d’un programme client

 Il établit la connexion au serveur à la destination d’un ou plusieurs ports réseaux ;
 Lorsque la connexion est acceptée par le serveur, il communique comme le prévoit la couche application du modèle OSI.
L’organisation d’un environnement client-serveur diffère
selon les types d’architecture de réseau et le type de client.

a. Type d’architecture standard (21)

 Architecture pair à pair (Peer-to-Peer) est un environnement client-serveur où chaque programme connecté est susceptible de jouer tour à tour le rôle de client et celui de serveur ;
 Architecture à deux niveaux : ici la relation entre un client à un serveur se fait entre deux processus, deux logiciels ou deux machines. On peut parler d’une architecture à deux niveaux ou une architecture deux tiers (two-tiers), dans ce cas, le client demande une ressource au serveur qui la fournit directement à partir de ses propres ressources, sans sollicités d’autres machines.

b.

21
22

Image : Architecture client-serveur du type évolutif.

1.2. Le web ( )
1.2.1. Aperçu générale
Le web a été inventé plusieurs années après l’Internet, mais celui qui a contribué à l’explosion de l’utilisation de l’internet par le grand public, grâce à sa facilité d’emploi. Depuis, le web est fréquemment confondu avec l’Internet lorsqu’il est apparu en réalité, il est l’un des services Internet.

Par définition, la world wide web, littéralement « la toile d’araignée mondiale », communément appelé le web, parfois la toile ou le www, symbolisant le réseau maillé de serveur d’information, est un système hypertexte public fonctionnant sur l’Internet, qui permet la consultation d’informations, grâce à des liens crées entre les documents : les pages web. Les pages web permettent à la fois l’affichage de textes, d’images et des formulaires de saisie, mais peut également appeler et afficher différent autre type de document numérique : son, vidéo, application, etc. Sa consultation par les clients nécessite un logiciel de navigation (navigateur ou browser).
Le concept world wide web a été créé à partir de 1989 au CERN (centre européen de recherche nucléaire) par TimBerners-Lee, puis développé par lui-même et Robert cailliau en 1990 dans le but de concevoir un système permettant de naviguer simplement d’un espace à un autre d’Internet à l’aide des liens hypertextes et grâce à un navigateur. En 1993, un navigateur web graphique, nommé Mosaic, reposant sur le principe de la toile telle qu’ils ont été formulés par l’équipe du CERN de Tim-Berners-Lee, notamment le http est développé par Eric Bina et MARC Andrsen au NCSA. NCSA Mosaic jette les bases d’interface graphique de navigateur moderne, et cause un accroissement exponentiel de la popularité du web.

1.2.2. L’évolution du web ( )

Le web est caractérisé par une évolution constante du fond et de la forme des pages web. Dans sa conception initiale, le web dit « web 1.0 » comprenait des pages statistiques au contenu codé en html qui été rarement mise à jour, voir jamais. Ces pages sont noninteractives et ne disposent que des peu d’informations. Une première évolution fut réalisée par des solutions se basant sur un web dynamique appelé « web 1.5 » ce web dynamique est généralement basé sur l’association du langage de programmation PHP et des bases des données MySQL.

Lorsque l’internaute accède au site dynamisé, il les fait exécuter sur le serveur du langage PHP qui va chercher l’information dans la base des données pour la retranscrire dans la page html sur le poste utilisateur. Le web subit une nouvelle évolution avec l’apparition des nouvelles technologies comme le langage Ajax qui rend les pages interactives et fluides et les flux RSS, qui permet de rester informer des actualités d’une interface web. C’est l’avènement du web collaboratif.

Ce web dit « web 2.0 » rend l’internaute acteur. Ainsi, il lui est possible sur certains sites web de modifier, de rajouter ou d’effacer de contenu et d’échanger des informations par des techniques synchrones comme les messageries instantanées, la téléphonie sur l’interne, etc. Le web qu’est présentement en cours de développement est le « web 3.0. » ça sera l’arrivée du web sémantique où les informations ne seraient plus stockées, mais « comprises » par les ordinateurs afin d’apporter à l’utilisateur ce qu’il cherche réellement. Le web sémantique est ce que l’on pourrait appeler l’avènement d’outil, permettant de transformer automatiquement les données en informations, et les informations en savoir.

L’enjeu du web sémantique est donc de réussir à étiqueter de manière pertinente les contenus disponibles sur la toile, pour permettre un accès intelligent. Le principe repose sur l’intelligence collective des utilisateurs. A l’avenir l’internet ne sera plus qu’une immense base de données dont le mot d’ordre sera : diffuser l’information la plus pertinente de la manière plus rapide.

1.2.3. Les concepts du web

Les principes du web reposent sur l’exploration d’un milliard des pages web (fichiers html) contenant du texte mise en forme, des images, du son de vidéo, etc. L’exploration est rendu possible grâce à un logiciel appelé « navigateur » qui offre une interface d’accès aux différentes informations disponibles sur le web. Les pages web sont liées les unes aux autres par des liens hypertextes (ou hyperliens). En pratique, un lien hypertexte est un simple mot afficher sur un document permettant de passer à un autre document, lorsqu’on clique dessus. Le document lié peut être un fichier à transférer, un son, une animation ou une page web.

Un site web (site internet) est ainsi un ensemble logiquement structuré de pages web reliées entre elles et forment un tout (le site) dédié à une organisation donnée. La création et la mise à jour d’un site peut être confié soit à une personne, le webmaster, ou à une entreprise spécialisée, l’agence web. Pour être accessible sur internet, un site web doit être hébergé sur un serveur web. Le site web est habituellement architecturé au tour d’une page centrale, appelée « page d’accueil » et proposant des liens vers les autres pages du site. Pour chercher une information sans connaitre apriori le site susceptible de la fournir, il est nécessaire d’utiliser des outils de recherche.
Il existe deux types de système de recherche sur internet : 1. Le moteur de recherche
Un moteur de recherche est un logiciel informatique doté de la capacité d’effectuer une recherche (de parcourir) une réponse d’une requête dans les différents sites web, après la saisie un mot dans la barre d’adresse (ou de recherche) et la validation. S’il s’agit de la recherche d’un Moteur de recherche, il faut écrire dans sur la zone dans la barre d’adresse du navigateur l’adresse du moteur de recherche et validé. Par exemple pour le moteur de recherche Google : www.google.com.

S’il s’agit d’un mot, Saisissez votre ou vos mots clés dans la zone de saisie si vous voulez faire une recherche pour trouver des pages web.
La zone de saisie : marquez vos mots clés dans ce rectangle. Le point d’insertion (la barre clignotante) doit apparaître dans la zone de saisie sinon vous ne pourrez pas taper de mot clé. Cette règle est valable pour toutes les zones de saisie que vous rencontrez sur l’ordinateur. Cliquez sur le bouton pour lancer la recherche. Vous pouvez aussi appuyer sur la touche « Entrée » du clavier pour lancer la recherche.

  1. Les annuaires web

Un annuaire Web est un site Web répertoriant des sites Web. Les annuaires de recherche (dont le pionnier est Yahoo.com) permettent également des recherches par mots-clés, mais ils sont surtout construits sur le modèle d’une arborescence thématique (thèmes, sous-thèmes, rubriques, sous-rubriques.). Les sites qu’ils répertorient sont visités « manuellement »(et non de façon automatique comme par les robots des moteurs de recherche).

Bref, si les moteurs sont parfaits pour trouver une information précise, les annuaires sont parfaits si l’on recherche plutôt les « meilleurs » sites sur un thème donné.

Le World Wide Web, littéralement la « toile (d’araignée) mondiale », communément appelé le Web, le web parfois la Toile ou le WWW, est un système hypertexte public fonctionnant sur Internet qui permet de consulter, avec un navigateur, des pages accessibles sur des sites. Une ressource du web est une entité informatique (texte, image, forum Usenet, boîte aux lettres électronique, etc.) accessible indépendamment d’autres ressources. Une ressource en accès public est librement accessible depuis Internet. Une ressource locale est présente sur l’ordinateur utilisé, par opposition à une ressource distante (ou en ligne), accessible à travers un réseau. On ne peut accéder à une ressource distante qu’en respectant.

Un protocole de communication. Les fonctionnalités de chaque Protocole varient : réception, envoi, voire échange continu d’informations. HTTP (pour HyperText Transfer Protocol) est le protocole de communication communément utilisé pour transférer les ressources du Web. HTTPS est la variante sécurisée de ce protocole.

Une URL (pour Uniform Resource Locator) pointe sur une ressource. C’est une chaîne de caractères permettant d’indiquer un protocole de communication et un emplacement pour toute ressource du Web. (Exemple : http://www.univ-upkan.com). Un hyperlien (ou lien) est un élément dans une ressource associée à une URL. Les hyperliens du Web sont orientés : ils permettent d’aller d’une source à une destination. HTML (pour HyperText Markup Language) et XHTML (Extensible HyperText Markup Language) sont les langages informatiques permettant de décrire le contenu d’un document (titres, paragraphes, disposition des images, etc.) et d’y inclure des hyperliens. Un document HTML est un document décrit avec le langage HTML. Les documents HTML sont les ressources les plus consultées du Web.

Dans un mode de communication client-serveur, un serveur est un hôte sur lequel fonctionne un logiciel serveur auquel peuvent se connecter des logiciels clients fonctionnant sur des hôtes clients. Un serveur Web est un hôte sur lequel fonctionne un serveur HTTP (ou serveur Web). Un serveur Web héberge les ressources qu’il dessert.
Un navigateur Web est un logiciel client HTTP conçu pour accéder aux ressources du Web. Sa fonction de base est de permettre la consultation des documents HTML disponibles sur les serveurs HTTP. Le support d’autres types de ressource et d’autres protocoles de communication dépend du navigateur considéré. Une page Web est un document destiné à être consulté avec un navigateur Web. Une page Web est toujours constituée d’une ressource centrale (généralement un document HTML) et d’éventuelles ressources liées automatiquement accédées (typiquement des images).

 Exemple de la page web : stagiaire.html

Un éditeur HTML (ou éditeur Web) est un logiciel conçu pour faciliter l’écriture de documents HTML et de pages Web en général.
 Exemple d’un éditeur : Notepad++
Un site Web (ou site) est un ensemble de pages Web et d’éventuelles autres ressources, liées dans une structure cohérente, publiées par un propriétaire (une entreprise, une administration, une association, un particulier, etc.) et hébergées sur un ou plusieurs serveurs Web.
 Exemple d’un site web : www.coordinationstageupkan.com
 www : Le World Wide Web, littéralement la « toile (d’araignée) mondiale », communément appelé le Web, le web parfois la Toile ou le WWW, est un système hypertexte public fonctionnant sur Internet qui permet de consulter, avec un navigateur, des pages accessibles sur des sites.
 coordinationstageupkan : c’est le nom d’un dossier contenant les différentes pages d’un site web et ce dossier pour qu’il soit accessible et visible dans la barre d’adresse du navigateur, doit être conservé dans un système hypertexte public fonctionnant sur Internet dont le nom est WWW.
 .com : c’est une extension qui sert à identifier l’appartenance ou la provenance d’un site web.
Une adresse Web est une URL de page Web, généralement écrite sous une forme simplifiée limitée à un nom d’hôte. Une adresse de site Web est en fait l’adresse d’une page du site prévue pour accueillir les visiteurs. 27
Un hébergeur Web est une entreprise de services informatiques hébergeant (mettant en ligne) sur ses serveurs Web les ressources constituant les sites Web de ses clients.
Une agence Web est une entreprise de services informatiques réalisant des sites Web pour ses clients.
Un annuaire Web est un site Web répertoriant des sites Web.
Un portail Web est un site Web tentant de regrouper la plus large palette d’informations et de services possibles dans un site Web. Certains portails sont thématiques. Un service Web est une technologie client-serveur basée sur les protocoles du Web.(28)

27 Kurbalija J, Eduardo G, Op.cit., P.71
(28) YAPI AKOMIA J, Module 2, Initiation à l’Internet, Manuel ENA, 2018.
1.2.4. Les standards du web29
Le W3C (World Wide Web Consortium) est un organisme de standardisation à but non lucratif fondé en octobre 2004 par Tim Berners-Lee. Son objectif est de Promouvoir la compatibilité des technologies du World Wide Web en rédigeant et publiant des recommandations ou standards tels que :
 XML : eXtensible Markup Language
 XHTML : eXtensible HyperText Markup Language
 CSS : Cascading Style Sheet
 PNG : Portable Network Graphics
 WCAG : Web Content Accessibility Guidelines

Les Problématiques du standard du web sont les suivantes :
 Les standards du W3C ne sont que des recommandations,  Aucune obligation pour les fabricants de logiciels et matériels.  Les Conséquences pour le développeur web sont :
 Tous les navigateurs ne respectent pas pleinement les standards,
 Certains en font plus, d’autres moins,
 Difficultés pour créer un site Internet compatible de tous les navigateurs.(30)

1.3. L’URL (Uniform Resource Locator)
Une adresse URL (Uniform Resource Locator) est l’adresse d’une application disponible sur l’Internet.
 Par exemple : www.coordinationstage.com
La première partie de l’URL identifie le protocole de communication : WWW : World Wide Web; ce pourrait être également Gopher ou Telnet, etc.
La seconde partie de l’URL identifié est le serveur www.coordinationstage.com

L’URL ne désigne pas seulement un site Internet sur lequel on se trouve ; elle peut également donner les coordonnées électroniques d’un fichier en comportant des répertoires, sousrépertoires et fichiers. L’URL est l’élément indispensable qu’il faut connaître ou réussir à trouver pour accéder à une information sur l’Internet. Il est à noter qu’une URL répond à une syntaxe extrêmement rigoureuse et que, sous peine d’interrogation infructueuse, il est absolument indispensable de respecter les majuscules, les minuscules, les caractères spéciaux et les caractères de ponctuation.

29 www.commentçamarche.net 02 octobre 2020
(30)YAPI AKOMIA J, opcit
La syntaxe de base d’une url se présente comme suit :
http:// www.upkan.com /professionnalisation/stage.html
 http:// :c’est un protocole
 www.upkan.net: c’est le serveur
 professionnalisation/stage.html: Chemin d’accès à la ressource dans le disque du serveur.
L’URL permet donc d’adresser sans ambiguïté toute ressource accessible sur Internet. A ce niveau nous avons deux (2) types d’URL, à savoir : a. URL relatif
L’utilisation d’URL relatif permet de simplifier 1’ecriture des documents HTML. Un URL relatif consiste soit en un nom complet d’un fichier, soit, en un nom relatif au document ou 1’on se trouve. II faut entendre par le nom complet d’un fichier, son nom par rapport au répertoire racine du serveur Web. On peut utiliser un URL relatif dans un document pour référencer un autre document localisé sur le même serveur et accessible par le même protocole.
L’utilisation d’URL relatif permet de simplifier
1’ecriture des documents HTML. II est conseillé d’utiliser le nom complet du document (relativement au répertoire racine du serveur), car celui-ci restera valide même si le document où il est utilisé.

b. URL absolu
Un URL absolu est définie suivant le protocole d’accès aux
fichiers existants. Ce protocole est indiqué par le champ méthode.

1.4. Le langage HTML (Hyper Texte Markup Language)

 Brève historique32
Le terme markup se réfère aux marques, aux annotations manuscrites placées par l’auteur sur un document pour préciser à l’imprimeur comment il doit être présenté. Avec l’apparition des ordinateurs et des photos-composeuses, ces marques ont été intégrées dans le texte mais chaque matériel de photocomposition réclamait son propre langage « markup ».
Au début des années 80, le CGA (Graphics
Communications Association) a mis au point le premier langage markup généralisé baptisé GenCode. Au même moment, un comité de normalisation « ANSI » publiait le standard Generalized Markup Language (GML).

En décembre 1986, les deux comités ont unis leurs efforts pour définir le standard SGML (Standard Generalized Markup Language) accepté par l’ISO (International Standard Organization) sous le numéro 8879. Jusqu’à 1990 les principales applications Internet étaient le courrier électronique, listserv, telnet et FTP. En 1990 l’université de Mac Gill (Montréal) introduisit ARCHIE, un outil de recherche FTP pour l’Internet.
En 1991 l’université du Minessota proposa GOPHER. En 1992, Tim Berners-Lee un physicien du CERN, développa les protocoles du World Wide Web. Il créa le HTML, issu d’un sous ensemble du SGML en s’appuyant sur les travaux de Ted Nelson qui furent à l’origine du terme hypertexte (1965). C’est en 1993 que l’explosion de l’Internet eu lieu avec la sortie du navigateur (en anglais « browser ») MOSAIC du NCSA.
HTML est d’un langage de description (et non pas d’un langage de programmation) qui va nous permettre de décrire l’aspect d’un document, d’y inclure des informations variées (textes, images, sons, animations etc.) et d’établir des relations cohérentes entre ces informations grâce aux liens hypertextes. La description d’un document HTML passe par l’utilisation de BALISES (ou « TAGS » en anglais). Une balise est délimitée par les signes « < » et « > » entre lesquels figure le nom de la balise. Par exemple, la balise de retour à la ligne est
La plupart du temps, on utilise une balise de début et une balise de fin, qui définit les propriétés de l’intervalle. Le HTML est une norme qui formalise l’écriture d’un document avec des balises de formatage indiquant la façon dont doit être présenté le document et les liens qu’il établit avec d’autres documents. Le HTML n’est pas un langage de programmation, c’est un simple fichier texte contenant des balises permettant de mettre en forme le texte, les images …
L’allure d’un fichier HTML ou squelette d’un fichier HTML

@@@ @@@

 Commentaires
Les commentaires peuvent être placés n’importe où dans un document HTML à condition de ne pas être imbriqués. Ils sont placés entre les chaînes de caractère .
Exemple :


 DocType
DocType est une directive SGML permettant d’identifier un document comme étant de type HTML. Cette commande est facultative. La plupart des navigateurs n’en ont pas besoin même s’il est de bon ton pour un éditeur HTML de placer en tête de document une commande de type.

 HTML
C’est le premier marqueur ou tag que l’on trouve dans un document HTML. Tout le document qui sera écrit par la suite (texte ou marqueur) sera compris entre le tag et Exemple :
Document à écrire
En-tête L’en-tête du document est réservé aux méta-informations (les informations relatives au document) comme son titre. Ces métainformations doivent être placées entre les tags de début et de fin. Même si l’en-tête est optionnel, il est important de l’inclure dans un document pour éviter que le logiciel serveur n’ait à balayer tout le document pour y retrouver l’information recherchée.

Dans l’en-tête, on trouvera les 6 commandes suivantes :
 TITLE : affiche le titre du document
 ISINDEX : indique au logiciel client que le document est un écran permettant une saisie pour interroger un programme externe
 BASE : permet d’indiquer une adresse de base qui complétera tous les chemins relatifs
 LINK : Indique un lien entre le présent document et un autre.
 META : donne des informations sur le document au serveur Chaque document HTML, pour être correct, doit disposer d’un titre. Le titre apparaît le plus souvent dans la barre de titre du navigateur Web. Son but est de pouvoir identifier le document dans un ensemble plus large comme un index WAIS par exemple. Le titre d’un document HTML sert aussi lorsqu’un navigateur World Wide Web dispose d’une fonction “hotlist” ou “bookmark” pour fournir un accès rapide à vos documents favoris. Le titre est limité à 64 caractères y compris les espaces et ne doit normalement contenir que les 128 premiers caractères ASCII (pas de caractères accentués)
 Corps du document

Le corps du document, ce qui sera effectivement affiché par le navigateur Web, est balisé par les commandes : et Exemple :

Ceci est le premier essai

1.4.1. Le http (HyperText Transfer Protocol)

HTTP est un protocole de communication client-serveur pour le transfert de données sur Internet entre un navigateur Web
(le client) et un serveur Web
(Ex : Apache, nginx, lighthttpd, IIS, …).

1.5. Le site web
Le site web quant à lui est constitué de l’ensemble de pages créées par une structure ou un individu reliées entre elles par des liens hypertextes, stockées sur un serveur et accessibles via l’Internet. Chaque site web possède un identificateur appelé adresse URL, permettant de la retrouver sur le Web et d’identifier le type de protocole d’accès qui lui est associé.

1.5.1. Typologie de site web ( )
1.5.1.1. Selon le but
a. Le site vitrine (site plaquette ou site identique)

Site présentant des produits ou services d’une entreprise. C’est-à-dire le site vitrine a comme objectif de mettre en avant l’image de marque de la société, en présentant par exemple ses produits ou ses services.

b. Le Site d’informations

Site fournissant une information particulière à un type d’internautes et permettant éventuellement le paiement en ligne.

c. Le site marchand ou e-commerce
Il s’agit d’un site spécialisé dans la vente des produits en ligne.
d. Le site catalogue
Il s’agit d’un site visant à présenter les offres de
l’entreprise.

e. Le site institutionnel

Est un site présentant l’organisation et ses valeurs. Ce type de site décrit généralement l’activité de l’organisation, des chiffres clés et donne les informations nécessaires aux clients ou aux bénéficiaires. C’est le type de site que nous allons mettre en place ou en ligne.
f. Le site personnel (page perso)

Il s’agit d’un site réalisé par un particulier à titre de loisir, le plus souvent par la passion pour un sujet ou une discipline quelconque.

g. Le site communautaire
Est un site réunissant des internautes autour d’un intérêt commun.
h. Le site intranet

Il s’agit d’un site accessible à l’intérieur de l’entreprise ou d’une direction ayant pour objet la mise à disposition et le partage d’une information personnelle.

NB : La vie d’un site web a deux (2) principales facettes, chacune est décomposable en phases spécifiques : d’une part, la création, correspondant à la concrétisation d’une idée du site en ligne, référencé et visible. Et d’autre part, l’exploitation correspondant à la gestion quotidienne du site, son évolution et sa mise à jour.

1.5.1.2. Selon la fonctionnalité

a. Le site statique

Le site statique est constitué des pages HTML. Le concepteur du site réalise avec un éditeur HTML des pages web stockées sur le serveur web. Celui-ci renvoie ces pages à la demande au visiteur. Par la suite, ces pages ne pourront être modifiées que via un éditeur HTML, par le concepteur. Le contenu de ces pages est fixe comme un fichier Word, et n’est pas modifié par le serveur. Le site est donc dit « statique » car son contenu ne change que par une intervention humaine et non pas par des fonctions automatiques opérées par le serveur.

Le site statique ne présente pas souvent de séparation entre le fond et la forme de présentation du contenu mais sa mise en place nécessite un minimum de compétence en conception web (programmation et webdesign).

Le coup de réalisation d’un site web statique est beaucoup moins élevé que celui d’un site dynamique et son hébergement ne pose pas de contraintes particulières.

b. Le site dynamique

Le site web dynamique est un site Web dont les pages HTML se construisent lors de sa consultation par un internaute en sollicitant des bases de données filtrées par des outils logiciels de mise en forme. La plupart des portails documentaires sont des sites dynamiques. La mise à jour des sites dynamiques tant sur le fond que sur la forme est facilitée. Le site dynamique permet de plus d’intégrer des fonctions de personnalisation. Cette architecture peut en revanche se révéler coûteuse à mettre en place, délicate à piloter notamment au niveau de l’hébergement et peu performante au niveau du référencement.

La mise à jour des sites dynamiques est facilitée grâce aux outils d’administration et aussi une meilleure séparation entre le fond et la forme. Elle (mise à jour) ne nécessite pas une compétence technique particulière. Le coût de développement d’un site portail dynamique peut être élevé mais il est souvent amorti en raison des économies réalisées sur la mise à jour. Un site dynamique est constitué des codes HTML et les codes d’un langage de programmation (PHP, Pâton, etc.).

1.4.3.4. L’hébergement ( )

Afin de rendre disponible et visible un site Internet 24h/24, il est nécessaire que celui-ci soit hébergé sur un serveur connecté à Internet. Pour avoir un service de qualité, il est conseillé de recourir aux services d’un prestataire spécialisé qui veillera à la continuité de service du site à la sécurité des serveurs tant au niveau physique (vol, incendie…) qu’au niveau logique (piratage…).

Exemple :

Dès que les prestataires proposent plusieurs types d’hébergement qui répondent à des besoins spécifiques : gratuit, mutualisé, dédié. ( )

a. L’hébergement gratuit40

Les fournisseurs d’accès à Internet intègrent généralement dans leurs offres commerciales une formule d’hébergement de site web avec un espace de stockage limité. Il existe également un très grand nombre de sites proposant de l’hébergement gratuit. Il est important de regarder de près les conditions dans lesquelles ce service est proposé. En effet, l’hébergement gratuit du site implique en contrepartie l’affichage de publicités sur le site web ou sous la forme de « pop-up ». Pop-up : Un pop-up est une fenêtre qui s’ouvre automatiquement lorsqu’un internaute visite certains sites web. Ces fenêtres contiennent généralement de la publicité.

Compte tenu du modèle économique de l’entreprise, rien n’est garanti. Le site hébergé est parfois plus lent et sa disponibilité n’est pas garantie. Il est souvent impossible dans ces offres de pouvoir utiliser son nom de domaine. Le prestataire propose plutôt ce genre d’adresse Internet : www.coordinnationstage.com. Le site web peut alors être perçu comme « amateur » et « non professionnel ». De plus, les moteurs de recherche ne considéreront pas le site comme un site professionnel, mais plutôt comme un site personnel, ce qui risque de nuire à sa performance en matière de référencement naturel.

b. L’hébergement mutualisé (mutualized)
La mutualisation de l’hébergement est un système où le prestataire abrite les sites de plusieurs clients sur un même serveur. C’est une solution relativement économique qui permet aux clients d’avoir une prestation de qualité à un prix raisonnable. L’hébergement mutualisé ne permet pas au client d’avoir un accès direct à l’ensemble du serveur pour faire ses modifications, mais à l’espace qui lui est affecté. Certains prestataires qui réalisent des sites web revendent des offres packagées par des hébergeurs professionnels, d’autres possèdent un serveur propre sur lequel ils hébergent les sites de leur client.

c. L’hébergement dédié (dedicated)
L’hébergement dédié est un type d’hébergement où le prestataire met à disposition un ou plusieurs serveurs pour le site web d’une entreprise. Ce serveur peut être la propriété ou non (location) de l’entreprise. L’hébergement dédié est une solution relativement chère, mais elle garantit au client une prestation de très bonne qualité. Il permet d’utiliser la totalité des possibilités du serveur. Le site web hébergé ne partage pas la bande passante ou le disque dur avec d’autres sites.
 Les caractéristiques techniques ( )
 L’hébergement est caractérisé par différents critères techniques :
 Volume de stockage
 Système d’exploitation, Type de base de données et langage supportés (php, mysql, java…)
 Bande passante disponible
 Outil d’analyse de fréquentation
 Volume de transfert

   Ainsi que les services associés ou optionnels :  

 La gestion des interventions
 Les sauvegardes
 Les services de messagerie
 La gestion de la sécurité
 Dépôt de nom de domaine
 Le processus d’hébergement
Le client désirant héberger un site web ou une application informatique chez l’hébergeur, doit déposer une demande d’hébergement d’un site au bureau d’ordre d’hébergeur. Cette demande doit être adressez à Monsieur LE Président de l’hébergeur. Au cas où la demande est acceptée, l’hébergeur vous montre la procédure pour l’hébergement du site web.

1.4.3.5. Le référencement du site et promotion

Le référencement consiste à inscrire sa page ou son site web dans les bases de données des moteurs de recherche, et à chercher à améliorer la position du site dans les résultats du moteur (le « positionnement »), dans le but d’améliorer la visibilité d’un contenu. Le positionnement d’une publication dépend des algorithmes des moteurs de recherche et des médias sociaux. Les critères de sélection et de classement utilisés par ces programmes sont très complexes, rarement transparents, et évoluent sans cesse.
Il devient essentiel de s’y intéresser, notamment car la très grande majorité du public (en particulier les jeunes) s’informent aujourd’hui via les réseaux sociaux. Il existe principalement trois (3) formes de référencement, à savoir :
 Le référencement payant (ou SEA : Search Engine
Adverstising, et SMA pour les réseaux sociaux) : achat de motsclés sur des moteurs de recherche, bannières et liens sponsorisés (sur des moteurs de recherche ou d’autres sites web).
 Le référencement naturel (ou SEO : Search Engine Optimisation) : on cherche à améliorer l’indexation automatique des moteurs de recherche (attention portée sur les mots-clés, les métadonnées, le code HTML, l’ajout de contenus spécifiques, l’accessibilité, les adresses URL…).
 Le référencement social (ou SMO : Social Media
Optimisation) : on cherche à favoriser la diffusion de ses publications par l’action des internautes eux-mêmes (commentaires, partages, recommandations, intégrations, relais d’informations sur les réseaux sociaux…).

CHAPITRE II. ETUDE DE L’EXISTANT

Depuis la création du monde, chaque fait s’est toujours réalisé dans un espace géographiquement bien déterminé, c’est ainsi que, dans ce présent chapitre nous nous sommes inspiré de présenter le terrain de recherche, faire une étude minutieuse sur le système existant, relever ses défaillances, en suite suggérer les pistes de solution conformément aux besoins d’utilisateurs, en développant un nouveau système d’informations.

2.1. L’importance de l’étude de l’existant

L’objectif d’une étude préalable est double : D’une part, il s’agit de faire des choix structurants pour la future application : évaluer l’adéquation de la solution aux objectifs, choisir éventuellement entre plusieurs solutions, évaluer l’investissement (budget, temps), ajuster la solution à l’enveloppe si cela est nécessaire. D’autre part, il s’agit de fournir une base de référence pour la suite du projet : le rapport d’étude préalable peut donc être considéré comme un cahier des charges pour l’étude détaillée. Une étude préalable comprend trois étapes : « L’observation, La conception- l’organisation et L’appréciation ». C’est dans cette optique, que nous développons un site web dynamique pour répondre efficacement aux besoins des utilisateurs, grâce à la méthode UML (unified modeling language : langage de modélisation unifié) et aux moyens (matériels, humains, financiers) qui seront mis à notre disposition.

2.1.1. Historique de l’Université Pédagogique de Kananga
« UPKAN »( )
La création de l’ISP/Kananga remonte à l’année 1963 par l’ouverture d’une école supérieure pédagogique de Kananga, sous le guide de l’église presbytérienne au Congo « l’américain presbytérien Congo mission ». La nécessité de créer cette école dans la région de deux Kasaï était de former des professeurs qualifiés pour le cycle long du réseau d’enseignement protestant. La mission jugeait bon ainsi d’ouvrir en septembre 1963, une école normale, moyenne à KATUBUE (secteur de KAMUANDU) localité située à 50km de la ville de Kananga.
Suite à certains paramètres de faisabilité, le projet fut exécuté avec l’ouverture par les missionnaires d’une année préparatoire à KATUBUE, dont les sept étudiants avaient été soumis au jury de l’année 1963. Généralement, les conditions de KATUBUE étaient guère favorables pour le fonctionnement harmonieux d’un Institut d’Enseignement Supérieur, une mission fut créée en 1965 étudiant les modalités d’exécution d’un tel projet, elle conclut que, seuls les grands centres à l’Institut de Kananga pouvaient offrir un cadre favorable à l’implantation d’une telle école. La commission décide de remettre à la disposition de la jeune Institution d’Enseignement Supérieur un bâtiment à quatre étages à KELE-KELE.

En septembre 1965, l’école normale moyenne de Kananga ouvrait officiellement ses portes en occupant les bâtiments grands graduellement et les salles de classe. La même année, l’école normale moyenne devient Institut Supérieur et départements. En 1974, à côté du grand bâtiment fut construit et sert de bureau de la direction générale. En 1971 et 1972, l’institut supérieur et pédagogie a obtenu un crédit du fond des contreparties qui a permis d’acheter 19 maisons pour les logements des professeurs et la location. La demande de terrain introduite auprès des autorités régionales pour la construction d’un campus en 1969, produit ses effets le 05/09/1972 en accordant à l’ISP/Kananga.
Vu l’accroissement de l’ISP/Kananga en effectif d’étudiants, en personnel administratif et enseignant, en 2019 il a eu son statut d’Université Pédagogique de Kananga « UPKAN » en sigle et organise le troisième cycle.

2.1.2. La situation géographique ( )
L’Université Pédagogique de Kananga fonctionne dans trois (3) sites différents : un site à Kamayi, un autre à la SNEL et à Kele-Kele. L’UPKAN est située sur la nationale N°1, Avenue Lulua, Quartier Kele-Kele, C ommune de Katoka, ville de Kananga dans la province du Kasaï central et en République Démocratique du Congo. Elle est bornée :
 Au Nord, par l’Avenue Lulua, chemin de fer et quartier Kamulumba ;
 Au Sud, par l’Institut Technique Médical Msg Bakatushipa ;
 A l’Est, par l’hygiène publique ;
 A l’Ouest, par le marché central de Kananga.
2.1.3. Organisation fonctionnelle ( )
L’Université Pédagogique de Kananga est sous la direction d’un Recteur (Directeur Général), elle est composée de : Le Conseil d’Etablissement, le Comité de gestion, le Recteur, le Conseil de faculté/section, le conseil de Département

a. Le conseil d’Etablissement
Il a pour rôle, d’élaborer la politique générale de l’établissement. Il est présidé par le Recteur, il est également autorité budgétaire de l’établissement. b. Le comité de gestion
Il est chargé de la gestion quotidienne de l’Université Pédagogique de Kananga et de mise en application de décisions du conseil de l’institution, du conseil d’administration et du ministère de Tutelle.

c. Le Recteur
Il supervise et contrôle les activités de l’institution. A ce titre, il a plusieurs tâches à remplir, telle que :

  • Il assure l’exécution des décisions du conseil d’Etablissement, du comité de gestion ;
  • Il préside le conseil d’Etablissement et du comité de gestion ;
  • Il veille au respect du statut et règlements de l’établissement
  • Il exerce tout le pouvoir du comité de gestion en cas d’urgence ;
  • En cas d’urgence, il prend les mesures nécessaires qui relèvent de la compétence du conseil de l’Etablissement ; – Il ouvre et clôture les sessions des cours et des examens – Etc.
    d. Le conseil de Faculté
    Il est l’organe de gestion des filières d’études. Il organise les enseignements, les évaluations et les recherches. Il gère le personnel (enseignant, administratif technique et ouvrier) mis à sa disposition.
    e. Le conseil de Département
    Il est l’organe chargé de l’animation, de la coordination et de la supervision des activités d’enseignements, des recherches du Département. Le chef de Département dirige le Département assisté de deux secrétaires de Département.
    A ce titre, il anime, coordonne et supervise les enseignements, la recherche et les publications des travaux scientifiques du Département. Il assure par délégation, des pouvoirs, la sécurité des biens et des personnes mises à la disposition du Département.
    2.1.4. Organigramme général d’UPKAN.( )

Nous comprenons par organigramme, la présentation graphique (schématique) de la hiérarchie d’une entreprise ou organisation sous forme d’arborescence. Ainsi, sur cette présentation graphique d’UPKAN : le conseil de l’Etablissement, le comité de gestion et le recteur constituent le système décisionnel de l’institution. En outre, le secrétariat général administratif, académique et l’administration du budget forment le système de communication et assurent la médiation entre le système décisionnel et opérationnel. Et le système opérant est constitué des Facultés et Départements.

2.1.5. L’organigramme spécifique du Département de stage

Sur cette présentation, nous retenons ce qui suit : le Coordonnateur principal forme le sommet stratégique et forme la politique de cette coordination de stage. Les quatre (4) secrétaires représentant les quatre Facultés d’UPKAN à la coordination de stage et professionnalisation assurent la médiation entre le système opérationnel et le système décisionnel.

2.1.6. La mission d’UPKAN et son Département de stage( )

Conformément à l’ordonnance loi N°71/252 du 11 septembre 1971, en son article 2, l’Institut Supérieur Pédagogique de Kananga ex Ecole Normale Moyenne « ENM » avait pour mission :
✂ Former des formateurs destinés à former dans les classes inférieures de l’enseignement secondaire ;
✂ Former et perfectionner les inspecteurs de l’enseignement primaire et secondaire établis dans la sous –région de Kananga ;
✂ Promouvoir des études et la recherche dans le domaine de la pédagogie appliquée.

Ainsi, l’ordonnance N°81-147 du 03 octobre 1981, portant création de l’Université Pédagogique de Kananga « UPKAN » ex ISP/Kananga, a ainsi défini sa mission de la manière suivante :
✂ Doter le pays en fonction de ses besoins, les enseignants de très haut niveau de formation générale et spécialisée, des qualités morales et pédagogiques éprouvées.
✂ Stimuler chez les futurs enseignants une prise de conscience de son rôle d’encadreur, de la noblesse de sa mission et de la dignité de sa personne.
✂ Organiser la recherche dans le domaine de la pédagogie en vue de découvrir les méthodes susceptibles d’améliorer la qualité de l’enseignement primaire et secondaire.
✂ Vulgariser les résultats de ses recherches par la rédaction et la diffusion des manuels adoptés à ces niveaux d’enseignement.
2.2. L’analyse préalable
2.2.1. Le scenario principal (la communication)

  • L’étudiant se présente au coordonnateur principal ou à l’un de ses adjoints pour acheter le billet de stage;
  • Le coordonnateur principal ou l’un de ses adjoints instruit l’étudiant pour la possession du billet de stage ;
  • L’étudiant paie l’argent du billet de stage au coordonnateur principal ou à l’un de ses adjoints
  • Le coordonnateur principal ou ses adjoints perçoivent l’argent et identifient l’étudiant comme stagiaire à travers les éléments suivants : numéro, nom, post nom, prénom, sexe, promotion, option, département, faculté, professionnalisation, type de stage, lieu d’affectation, frais fixé pour le billet, frais perçus, date du début de stage, date de la fin de stage, durée de stage et remettent au stagiaire le reçu de paiement du billet de stage ;
  • Les adjoints rapportent au coordonnateur principal s’ils avaient identifié les stagiaires ;
  • Le coordonnateur livre le billet de stage, le canevas de rapport de stage et la fiche de suivi de stage au stagiaire ;
  • Le stagiaire se présentement à son département et prend connaissance de la mise en place de l’encadreur et inspecteur
  • Le département élabore la mise en place des encadreurs et inspecteurs de stage en trois (3) exemplaires et il envoi l’un au coordonnateur principal, il affiche l’autre à la valve et conserve l’autre ;
  • Le coordonnateur reçoit la mise en place des encadreurs et inspecteurs du stage
  • L’encadreur et l’inspecteur se présentent au coordonnateur principal ;
  • Le coordonnateur livre la fiche d’encadrement et d’inspection respectivement à l’encadreur et l’inspecteur selon la mise en place du département ;
  • L’encadreur et l’inspecteur retirent les fiches ;
  • Le stagiaire dépose son billet de stage à l’entreprise ou à l’école de stage ;
  • L’entreprise ou l’école les reçoit, l’encadre et les cotent ;
  • S’il s’agit de stage pédagogique, le stagiaire prépare ses documents pédagogiques et les présentent à son encadreur de stage ;
  • L’encadreur corrige les documents pédagogiques, le cote et le remet au propriétaire ;
  • Le stagiaire présente à l’inspecteur ses documents pédagogiques et enseigne les élèves ;
  • L’inspecteur inspecte le stagiaire, lui produit les remarques, le cote et lui remet ses documents pédagogiques et sa fiche de suivi de stage ;
  • Lorsque le stage termine, le stagiaire élabore son rapport de stage et les dépose au coordonnateur principal ou à ses adjoints soit à l’archiviste moyennant le frais de dépôt;
  • Ces derniers les reçoivent et livrent au stagiaire un reçu prouvent le dépôt de rapport de stage ;
  • Les entreprises et les écoles de stage élaborent les rapports d’encadrement de stagiaire et les envoient au coordonnateur principal ;
  • Le coordonnateur principal reçoit et classe ces rapports sur son bureau ;
  • Les encadreurs et les inspecteurs élaborent à leur tour le rapport d’encadrement et d’inspection ensuite les déposent au coordonnateur principal ;
  • Le coordonnateur principal les reçoit aussi et les classe sur son bureau ;
  • Le coordonnateur principal ordonne l’archiviste de classer les rapports de stage selon le type, promotion, département, faculté, nom du stagiaire et d’envoyer chaque type de rapport de stage à un département respectif ;
  • L’archiviste exécute l’ordre du coordonnateur principal ;
  • Le département reçoit les rapports de stage et les partage aux encadreurs qui sont identifiés par : matricule, nom, date d’engagement, étude faite, qualification, sexe, grade ;
  • Les encadreurs reçoivent les rapports de stage, les corrigent et les cotent ensuite, les déposent au département ;
  • Le département les reçoit encore et dresse une liste de cotation du rapport de stage et l’envoie à l’archiviste ;
  • L’archiviste le reçoit et le transmet au coordonnateur principal ;
  • Le coordonnateur reçoit tous ces rapport et les enregistre dans un registre libellé comme suit : non du stagiaire, promotion, option, département, faculté, cote d’inspection/6, côtes du conseillé/4, cotes de l’école/3, cotes d’encadreur/4, cote d’entreprise/3, côtes du rapport pédagogique/5, côtes du rapport administratif/5, total cotation/30, frais de dépôt de rapport de stage ; et il élabore les listes cotation définitive par promotion, département et faculté ensuite les envoie à leurs facultés respectives ;
  • La faculté reçoit ses listes de cotation, les multiplient, garde les unes et envoi d’autres à ses départements ;
  • Le département reçoit les fiches de cotation garde les unes et distribue d’autres aux présidents et secrétaires du jury de promotions respectives;
  • Après débat et délibération à huis-clos, sous la décision du jury, le secrétaire du jury communique le résultat aux étudiants ;
  • Les stagiaires prennent connaissance de leur cote de stage ;
  • Le secrétaire élabore le procès-verbal de la délibération et les dépose à la faculté suivi des grilles de la délibération ; – La faculté les reçoit et les classe dans ses archives.
    2.2. La collection des exigences (besoins) d’utilisateur
    Le système dont la coordination de stage et professionnalisation veut se doter doit être opérationnel, évolutif, convivial et offrant les informations nécessaires à temps réel. Pour ceci, le système à réaliser doit satisfaire les besoins des utilisateurs. C’est un ainsi, dans le cadre de notre travail nous présentons les besoins fonctionnels et non fonctionnels des utilisateurs dans un système existant.

a. Les besoins fonctionnels
Nous entendons par besoins fonctionnels du système, toute fonctionnalité du système, c’est-à-dire les besoins spécifiant un comportement d’entrée et de sortie des informations du système. C’est ainsi, pour le cas de notre système que nous avions enquêté, nous avons les besoins fonctionnels suivants :

 L’identification des stagiaires ;
 L’affectation des stagiaires ;
 La livraison des billets de stage, canevas de rapport de stage et autres documents ;
 La réception des cotes des stagiaires et les rapports de stage ;
 L’élaboration des fiches de cotation définitives
 Impression des fiches de cotation et les billets de stage  L’envoie des fiches de cotation dans les différentes facultés ;  Le classement des différents rapports.
b. Les besoins non fonctionnels
Il s’agit des besoins caractérisant le système en matière de la performance, de type de matériel ou de conception. Ces besoins peuvent concerner les contraintes d’implémentation (langage de programmation, type de SGBD, S E, etc). En bref, les besoins non fonctionnels sont ceux qui ne sont pas opérationnels (fonctionnels) dans un système ciblé ( ). C’est ainsi que, dans ce travail, le site web dynamique que nous mettons en place doit être extensible, c’est-à-dire, il y aura une possibilité d’ajouter ou de modifier des nouvelles fonctionnalités.
Ce pourquoi, notre site web dynamique que nous suggérons à la coordination de stage et professionnalisation doit permettre :

 L’impression des listes de cotation tout en respectant : le nom du stagiaire, la promotion, département et faculté ;
 La décentralisation de certaines activités de stage dans les trois sites d’UPKAN (site Kele-Kele, site de Kamayi et site de SNEL) ;
 La réception des rapports d’encadrement des stagiaires des différentes entreprises et écoles de stage via un site web ;
 La facilitation de communication entre les acteurs (stagiaire, coordonnateur principal, département, encadreur, inspecteur)
 Permettre l’accès aux patrimoines de la coordination de stage via le site web (télétravail)
 Enregistrer, supprimer, modifier les cotes des stagiaires ;
 Effectuer une recherche d’information du stagiaire dans un meilleur délai.

c. Le schéma directeur du système existant

2.3. L’étude d’opportunité
L’étude d’opportunité est une étude de faisabilité économique destinée à assurer de la viabilité d’un investissement d’un projet. Elle servira dès le départ l’autorisation d’un projet et évaluer l’atteinte des objectifs. Pour mieux présenter notre étude d’opportunité, une triple question doit être évoquée :
 Pourquoi développer un système de gestion des stagiaires et leurs côtes ?
 Comment procéder au développement de ce site
 Quels sont les moyens utilisés pour procéder au développement du site ?
Conformément à ce qui précède, nous développons un système de gestion des stagiaires et leurs côtes, dans le souci de produire un site web dynamique capable de répondre favorablement aux exigences (besoins) des utilisateurs. Ainsi pour atteindre l’objectif de production de ce logiciel (site web dynamique) nous allons utiliser la méthode UML, qu’est un langage de modélisation unifié et la méthode du réseau PERT sera belle et bien appliquée pour le cadrage de notre projet.

2.4. La présentation d’un cahier de charge pour la création de ce site web dynamique

Il est élaboré par un Webmaster (concepteur du site web) dès la création d’un site web, c’est-à-dire
après avoir fixé les objectifs attendu du projet. En effet, ce document doit narrer les besoins réels exprimés par les utilisateurs du site web. Obligatoirement, ce cahier doit être numérisé c’est-à-dire chiffré.
N° Libelle Durée d’exécution
Et acquisition des moyens L’estimation
01 Moyens matériels – Ordinateurs ;

  • Imprimantes, etc. 30 jours 1
    1
    02 Moyens logiciels – Système d’exploitation Windows 7 ;
  • L’éditeur Notepad++ ;
  • SGBD (myadmin ou SQL serveur, staruml ;
  • Interpréteur Wampserveur ;
  • Navigateur Google chrome ou Firefox ; – Photoscape. 15 jours 1
    1
    1
    1
    1
    1
    03 Moyens
    financiers – – 55 500 000$
    04 Moyens humains – Webmaster (Informaticien) ;
  • Utilisateur (bénéficiaires) ; – Codirecteur ; – Directeur. 1
    1ou plusieurs
    1
    1
    05 Besoins fonctionnels  L’identification des stagiaires ;
     L’affectation des stagiaires ;
     La livraison des billets de stage, canevas de rapport de stage et autres documents ;
     La réception des cotes des stagiaires et
    les rapports de stage ; 30 jours  L’élaboration des fiches de cotation définitives
     Impression des fiches de cotation et les billets de stage
     L’envoie des fiches de cotation dans les différentes facultés ;
     Le classement des différents rapports.
    06 Besoins fonctionnels non  L’impression des listes de cotation tout en respectant : le nom du stagiaire, la promotion, département et faculté ;
     La décentralisation de certaines activités de stage dans les trois sites d’UPKAN (site
    Kele-Kele, site de Kamayi et site de SNEL) ;
     La réception des rapports d’encadrement des stagiaires des différentes entreprises et écoles de stage via un site web ;
     La facilitation de communication entre les acteurs (stagiaire, coordonnateur principal, département, encadreur, inspecteur)
     Permettre l’accès aux patrimoines de la coordination de stage via le site web
    (télétravail)
     Enregistrer, supprimer, modifier les cotes des stagiaires ;
     Effectuer une recherche d’information du
    stagiaire dans un meilleur délai. 45 jours
    07 Objectifs projet du – Enregistrer : les stagiaires, les cotes,
  • Publier : la mise en place des intervenants idem - Envoyer : les cotes à la coordination de stage, le rapport administratif et autres
  • Modifier : nom et côtes du stagiaire ou le nom de l’encadreur, soit école/entreprise
  • Rechercher : les informations propres au stagiaire, encadreur.
  • Supprimer : les informations propres au stagiaire, encadreur.
  • Imprimer : les fiches de cotation par promotion, département et faculté et aussi le billet de stage, fiche d’encadrement et inspection, fiche de suivi du stagiaire, canevas de rapport de stage.
    08 Début d’un
    projet 20/12/2020 20/12/2020 – 20/09/2021 1ans
    09 Fin d’un projet 20/09/2021
    10 Risques d’un
    projet Les moyens matériels, financiers, logiciels, humains énumérés ci-haut doivent être obligatoirement mis à notre disposition pour la réussite de ce projet.
    1 à 2 jours
    5 jours.

43
2.4.1. La critique du système existant
a. Les points forts

  • Un personnel compétant ;
  • Une très bonne organisation pour l’encadrement et l’inspection des stagiaires ;
  • Une bonne infrastructure ;
    b. Les points faibles

Après avoir étudié minutieusement le système de gestion des cotes des stagiaires au Département de professionnalisation d’UPKAN, nous avons trouvé certaines défaillances telles que :
 Certaines organisations déposent les rapports d’encadrement
(cotes) des stagiaires en retard.
 La difficulté d’atteindre tous les stagiaires, les encadreurs et les inspecteurs lorsqu’il y a un communiqué officiel.
 La lenteur dans le traitement des données vu la capacité d’accueil.
 L’omission de certains noms des stagiaires et leurs côtes lors de l’élaboration des listes définitives.
 La lourdeur du travail.
 Manque d’un système informatique.
 L’Insuffisance de certaines fournitures du bureau (armoires, chaises, étagères etc.) ;
 L’engouement lors de l’achat de billet de stage et le dépôt de rapport de stage.
c. La suggestion des solutions

Vu certaines défaillances constatées dans la gestion des stagiaires et leurs côtes, nous suggérons mettre en place un site web dynamique permettant à (au, aux) :

  1. Coordonnateur principal
  • Imprimer les listes de cotation de stage par promotion, département et faculté grâce à une d’une simple requête.
  • D’accéder aux patrimoines de son bureau à partir de chez lui, effectuer la gestion des activités (identification des stagiaires, réception des cotes des stagiaires, enregistrement des côtes, livraison de billet de stage, etc.) internes à distance (Télétravail).
  • Publier les informations à l’égard des stagiaires, encadreur et inspecteur.
  1. Stagiaires :
  • Faciliter la communication entre les stagiaires, les encadreurs, les inspecteurs et la coordination de stage ;
  • Payer son billet de stage à partir de chez soi.
  1. Les entreprises et écoles de stage
  • Envoyer les cotes des stagiaires via ce site web.
  • Informer la coordination de stage du comportement des stagiaires dans l’entreprise ou école de stage.
  1. Comité de gestion d’UPKAN :
  • D’assurer l’hébergement de ce site web, pour matérialiser l’accès à distance;
  • Fournir un système informatique et les fournitures possibles du bureau à la coordination de stage pour la meilleure gestion des activités.
  • Organiser la formation pour l’utilisation de ce site et l’utilisation de système informatique qui sera doté.

d. L’étude de faisabilité
Vu les défaillances présentées par la coordination de stage et professionnalisation et vu la dimension des suggestions proposées pour réussir à matérialiser les propositions énumérées ci-haut, nous conditionnons cette matérialisation aux éléments suivants :

  • La présence d’un système informatique
  • La présence d’un Système d’exploitation Windows7 ou 10, notpad++, wampserveur, photoscape, google chrome ou Mozilla
    Firefox ;
  • La coordination de stage, les entreprises et écoles de stage doivent avoir une adresse e-mail;
  • La présence de frais d’hébergement de ce site web dynamique. NB : Au cas où ces éléments ou l’un d’eux manquent, il sera pratiquement impossible de mettre en place un site web dynamique dans cette Institution éducative.

2.5. La spécification du projet
Le site web dynamique que nous mettons en place doit faciliter au personnel de la coordination de stage et professionnalisation de réaliser les taches suivantes :

  • Enregistrer : les stagiaires, les cotes,
  • Publier : la mise en place des intervenants
  • Envoyer : les cotes à la coordination de stage, le rapport administratif et autres
  • Modifier : nom et côtes du stagiaire ou le nom de l’encadreur, soit école/entreprise
  • Rechercher : les informations propres au stagiaire, encadreur.
  • Supprimer : les informations propres au stagiaire, encadreur.
  • Imprimer : les fiches de cotation par promotion, département et faculté et aussi le billet de stage, fiche d’encadrement et inspection, fiche de suivi du stagiaire, canevas de rapport de stage.

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2.6. La conception globale d’un site web dynamique

Chapitre III. CADRAGE DU PROJET DE LA MISE EN PLACE D’UN SITE WEB DYNAMIQUE
L’idéale de ce chapitre est d’ordonner (planifier) les activités qui seront exécutées dans notre projet en terme des durées. Pour Permettre à nos lecteurs d’avoir une certaine culture sur ce qui est un projet informatique. Ensuite, dégager les dates les plus tôt et les dates les plus tard de chaque activité programmée dans le projet, tracer le graphe du réseau PERT de ce projet, déterminer la durée optimale (totale) du projet, identifier le chemin critique du projet et calculer les différentes marges de ce projet (marge totale, libre et certaine).
3.1. L’aperçu général d’un projet informatique ( )
3.1.1. Définition
Du mot latin « projectum » de « projicere », en résumé, le
mot «projet» voulait initialement dire « quelque chose qui vient avant que le reste ne soit fait » ou « jeter quelque chose vers l’avant » ; c’est ainsi que, le projet peut être défini comme étant un ensemble d’activités qui sont prises en charge, dans un délai donné et dans les limites de ressources imparties, par des personnes qui y sont affectées dans le but d’atteindre des objectifs définis. Cependant, le projet peut être appréhendé de plusieurs et selon différentes organisations :

 Selon la norme ISO 10006 (version 2003), « un projet est un processus unique qui consiste en un ensemble d’activités coordonnées et maîtrisées, comportant des dates de début et de fin, entrepris dans le but d’atteindre un objectif conforme à des exigences spécifiques, incluant des contraintes de délais, de coûts et de ressources». La définition d’un projet comporte deux notions clés : le projet est unique et le projet est temporaire.
 Selon Le PMBOK, référentiel du PMI, un projet est considéré comme une « entreprise temporaire décidée pour obtenir un produit ou un service unique ». L’unicité du produit entraîne l’unité des activités à mettre en œuvre.

 Selon L’AFITEP définit un projet comme un « ensemble d’actions à réaliser pour satisfaire un objectif défini, dans le cadre d’une mission précise, et pour la réalisation desquelles on a identifié non seulement un début, mais aussi une fin » ; et introduit une distinction entre les projets d’ingénierie qui visent l’obtention d’un résultat pour un client, et les projets produit débouchant sur un modèle qui fera ensuite l’objet d’une fabrication répétitive.

 Selon l’AFNOR, donne les deux définitions suivantes ( ) :
 « un projet est déterminé et mis en œuvre pour élaborer la réponse au besoin d’un utilisateur, d’un client ou d’une clientèle et il implique un objectif et des actions à entreprendre avec des ressources précises »
 « un projet est une démarche spécifique qui permet de structurer méthodiquement et progressivement une réalité à venir ».

Figure : Eléments d’un projet

Pour nous, un projet de développement informatique est un ensemble d’actions et d’interventions que des personnes ou une organisation humaine décide de mettre en œuvre dans une communauté définie, suivant des méthodes et des stratégies appropriées, en mobilisant des moyens, pour atteindre des résultats utiles pendant un temps bien déterminé. Un projet informatique est un ensemble d’activités qui sont prise en charge dans un délai donné et dans les limites des ressources imparties, dans le but d’atteindre les objectifs préalablement définis.( )

3.1.2. Les atouts d’un projet informatique ( )
Tout projet informatique digne de ce nom doit répondre à cinq (5) prérogatives (atouts ou privilèges) principales :
 Fonctionnel : il doit répondre à un besoin défini par le client;
 Technique : il doit respecter des spécifications et des contraintes ;
 Organisationnel : il doit respecter un mode de fonctionnement (rôles, culture, fonctions, résistance au changement) ;
 Délais : il doit respecter des échéances (planning) ;
 Coûts : il doit respecter le budget prévu pour le projet.

Figure : Les atouts d’un projet

3.1.3. Les caractéristiques d’un projet informatique ( )
Un projet informatique se caractérise par un ensemble de déterminants et ces différents déterminants sont de nature à préciser:

a. La nature du projet

Un système d’information présente souvent un degré élevé de complexité, dans la mesure où c’est un « ensemble organisé de ressources : matérielles, logicielles, personnelles, données, procédures… permettant d’acquérir, de traiter, stocker, communiquer des informations (sous formes données, textes, images, sons …) dans des Organisations». De plus, son caractère largement immatériel augmente la difficulté quand on veut en obtenir une description a priori. Cela n’est pas sans conséquence sur les projets, qui doivent prendre en compte ses diverses dimensions.
Alors, le triplet (objectif, moyens, délai) présente ainsi, dans le domaine système d’information, trois caractéristiques particulièrement marquées. D’abord, il y a interaction entre l’objectif d’une part et les moyens/délais d’autre part.
L’identification de l’objectif conduit à évaluer la charge de travail. Cela permet de décider d’une échéance cible théorique et des moyens à affecter. Si d’autres contraintes obligent à limiter le délai ou le budget, on ajuste l’objectif, par exemple selon le principe du « design-to-cost » (conception contrainte par le budget disponible) ou du « timeboxing» (conception et développement contraints par l’enveloppe temps).
Ensuite, l’objectif du projet n’est parfaitement défini qu’à la fin. La plasticité des technologies de l’information ouvre la porte à une multitude de choix, aussi bien pour le logiciel que pour l’organisation qui l’accompagne. Une description exhaustive des fonctions et des rôles est longue et coûteuse.
Les modèles n’en donnent qu’une vue partielle, ce qui explique qu’au fur et à mesure du projet, des options puissent être modifiées. Enfin, le développement d’un système d’information se déroule en général dans une Organisation, certains acteurs du projet étant directement concernés par le futur système d’information. La répartition du pouvoir et des ressources, la division du travail, les modes de coordination, les procédures opératoires, les statuts, peuvent être modifiés ( ). Les acteurs ne forment pas un groupe uni (commun, cohérant) vers la réalisation d’un même objectif et certains peuvent développer des stratégies individuelles ou de sous-groupes, pour soutenir ou contrer le projet.
b. La délimitation d’un projet

Tout projet doit forcément avoir un début et une fin, ce qui est déterminé par l’expression du besoin normalement formalisée par un cahier des charges et/ou un contrat.
c. Les risques d’un projet
Le risque est défini comme étant la possibilité qu’un projet ne s’exécute pas conformément aux prévisions de dates d’achèvement, de coût et de spécifications. La réalisation des risques peut porter sur les trois sommets du triangle projet : objectif non atteint, délai non respecté, surconsommation de moyens. Les trois principales sources d’échec d’un projet informatique sont : la définition des besoins, l’estimation des charges et la possibilité de nombreux aléas dans le déroulement du projet. Ainsi, pour palier le projet à ces risques, il faut avoir un chef de projet d’être en mesure d’effectuer avant le projet :
 L’Identification des risques ;
 L’Évaluation d’impact sur les coûts et le délai ;
 Définition d’actions de réduction des risques inacceptables ;
 Suivi des actions ;
 Capitalisation d’expérience.

d. La gestion du changement
La gestion du changement implique la planification et la réalisation d’un ensemble d’activités. C’est-à-dire, on identifie classiquement : « la communication, la formation, la documentation, l’organisation des sites, la migration, l’expérimentation ». A ce niveau, Le concept de résistance au changement a parfois été présenté comme un facteur explicatif de l’échec de certains systèmes d’information (projets
informatiques). Alors, l’utilisateur peut considérer la résistance comme un symptôme pouvant se manifester dès le début du projet jusque dans le fonctionnement opérationnel du nouveau système, et de s’interroger sur ses origines qui relèvent souvent de plusieurs facteurs à savoir :
 La résistance peut être due au système :

Il s’agit d’une problématique de « besoins ». C’est-à-dire ; Le système, en particulier le système informatique, apparaît insatisfaisant en termes techniques (temps de réponses, bugs…), fonctionnels (fonctions inadéquates, informations manquantes, erreurs, tâches lourdes…) ou ergonomiques (interfaces inadaptées au contexte métier, apprentissage difficile…). Pour éviter ce type de résistance, des actions sont mises en œuvre tout au long du projet pour s’assurer de l’adéquation du futur système d’où il faut : la participation des utilisateurs à l’analyse et à la conception, l’expérimentation sur des sites pilotes, la planification de la migration de l’ancien vers le nouveau système.
 La résistance peut être liée aux acteurs eux-mêmes
C’est-à-dire, il s’agit d’une problématique d’attitude individuelle. Deux interprétations peuvent être données. La première considère que, face au changement, il existe des comportements différents selon le profil psychologique (innovateur ou conservateur). Il s’agit alors de se rassurer et préparer ces utilisateurs, par des actions de communication, de formation et d’accompagnement.
La seconde estime que, les différences d’attitude sont contingentes à une situation donnée, c’est-à-dire que la résistance ou l’engagement dépend de la perception par l’individu du changement proposé, notamment la facilité d’utilisation et l’utilité du futur système. Il s’agit de faire évoluer les perceptions, par la formation et la documentation pour agir sur la facilité perçue, et par la communication et la participation à la conception pour développer la perception de l’utilité.
 La résistance peut être liée à l’organisation
Il s’agit d’une problématique d’impact collectif. C’est-àdire, le nouveau système modifie ou provoque la division du travail, la coordination, la collaboration ou coopération requise, les activités de contrôle…, ce qui peut entraîner des oppositions. Dans ce cas deux approches explicatives sont proposées :

  1. Selon la perspective dite « sociotechnique »
    Certains acteurs manifestent une résistance parce qu’ils pensent que le nouveau système dégradera leurs conditions de travail. Il s’agit, si l’on veut prévenir une telle résistance, de s’appuyer lors de l’analyse des processus sur des principes d’ergonomie (par exemple, appréciation du stress causé par certaines tâches) et d’organisation des postes (par exemple, degré de responsabilité et d’autonomie), et de favoriser une participation à l’analyse des processus et à l’organisation des sites.
  2. Selon la perspective dite « politique »
    Certains acteurs s’opposent parce qu’ils pensent que le nouveau système leur enlèvera du pouvoir. L’opposition peut provenir de différents niveaux hiérarchiques. Un cadre peut voir diminuer son pouvoir de décision et d’action, ou la taille du groupe placé sous sa responsabilité. Un opérationnel peut voir réduire sa « zone d’incertitude », liée à la détention de son savoir-faire ou d’informations clés.
    Certains projets de système d’information conduisent, pour atteindre des objectifs d’efficacité, à remettre en question des territoires. Cette situation doit être prise en compte, en particulier dans l’analyse des risques et l’élaboration d’une stratégie adéquate.
    La construction d’une vision d’un « bien commun », partagée par les acteurs en conflit, peut débloquer la situation : un engagement de la direction de l’entreprise et/ou la référence à des valeurs collectives sont des moyens d’y parvenir.

3.1.4. Principaux acteurs dans un projet Informatique
a. Le maitre d’ouvrage
Selon l’AFNOR, le maître d’ouvrage est « la personne physique ou, le plus souvent, personne morale qui sera le propriétaire de l’ouvrage. Il fixe les objectifs, l’enveloppe budgétaire et les délais souhaités pour le projet ». À ce titre, il « assure le paiement des dépenses liées à la réalisation ».
Le maître d’ouvrage représente « le client ». Partant d’une demande des futurs utilisateurs du système, il établit un cahier des charges qui peut servir de base à un appel d’offres. Après discussions sur une ou plusieurs propositions reçues, il passe le contrat avec un fournisseur qui jouera le rôle de maître d’œuvre. Celui-ci est responsable de la conduite du projet. Le maître d’ouvrage assure un suivi de l’avancement du projet, selon des modalités contractuellement définies.
À chaque fourniture contractuelle par le maître d’œuvre, il procède à la recette et prononce l’acceptation ou le refus. Il pilote la mise en œuvre du projet. Strictement parlant, l’ouvrage est le résultat concret d’un projet : construction, matériel, progiciel. Bref, c’est le « bailleur de fonds ».
Exemple : Pour le projet de la mise en place d’un site web dynamique pour la gestion des stagiaires et leurs côtes, notre maitre d’ouvrage c’est l’UPKAN.

b. Le maitre d’œuvre
Le maître d’œuvre est « la personne physique ou morale qui réalise l’ouvrage pour le compte du maître d’ouvrage et qui assure la responsabilité globale de la qualité technique, du délai et du coût ». L’œuvre est définie comme « le processus de réalisation de l’ouvrage, c’est-à-dire, la mise en place des moyens nécessaires à cette réalisation et à leur conduite ». Par conséquent, elle « est constituée de l’ensemble des tâches, regroupées ou non en lots de travaux ».
Exemple : NDAYE KANUSHIPI Simon est le maitre d’œuvre du projet de la mise en place d’un site web dynamique pour la gestion des stagiaires et leurs côtes à l’UPKAN (maitre d’ouvrage).

c. L’équipe du projet
L’équipe de projet rassemble différents acteurs, qui sont affectés (impliqués) au projet. D’après, l’Afnor, c’est « l’ensemble de personnes placées sous l’autorité directe (et quelquefois indirecte) du chef de projet ». Mais, on peut parfois considérer que l’équipe de projet s’étend à toutes les personnes participant à la réalisation du projet. On distingue ainsi trois différents types d’acteurs dans l’équipe de projet :
 Le chef de projet : Il est responsable devant le maître d’œuvre de l’avancement du Projet.
 Le concepteur : qui peut être tenu par un informaticien, et qui joue le rôle d’un organisateur ou un gestionnaire selon le stade d’avancement : sa responsabilité est de concevoir le futur système en se référant aux étapes étude préalable et étude détaillée.
 Le développeur : qui est tenu par un informaticien : sa responsabilité est d’écrire les Programmes ou de réaliser un prototype. Pour certains développements réalisés en Langage de 4ème génération, le rôle peut être tenu par un gestionnaire. La performance d’une équipe dépend de l’équilibre de ses positionnements appelés « rôles » parmi les membres. Au-delà
de la répartition des activités, chacun endosse en général un « rôle », et des rôles complémentaires favoriseront la synergie. Alors que des « rôles » non endossés manqueront dans la dynamique du groupe. C’est ainsi que, Meredith belbin a identifié neuf (9) types de « rôles » regroupés en trois Catégories, selon l’orientation majeure : vers les personnes, vers l’action et vers la Production intellectuelle :

  1. Les rôles orientés vers les personnes sont les suivants :
  • Le coordinateur a tendance à clarifier les buts et favoriser la prise de décision dans le groupe ;
  • Le coéquipier est attentif aux autres et les encourage ;
  • Le pourvoyeur de ressources, dispose d’un carnet d’adresses qu’il est prêt à ouvrir pour les membres du groupe.
  1. Les rôles orientés vers l’action sont les suivants :
  • l’organisateur a tendance à traduire les idées en tâches concrètes;
  • l’entraîneur aide l’équipe à conserver le cap vers les objectifs et maintient la Pression ;
  • le contrôleur vérifie les détails, il a le souci du respect du calendrier et des engagements.
  1. Les rôles orientés vers l’intellect sont les suivants :
  • l’innovateur propose de nouvelles idées, mais il peut être irréaliste peu communicateur.
  • l’évaluateur est au contraire réaliste et il aime analyser les problèmes Complexes.
  • le spécialiste possède des connaissances précises, utiles à l’équipe.
    Pour nous, l’équipe de projet c’est l’équipe d’encadrement. Et notre équipe d’encadrement est constitué du conseil de département, Chef de Travaux MUTOMBO NTUMBA Jean et l’Assistant KABONGO BANDOWE Pierre respectivement Directeur et Codirecteur de ce projet, le conseil du Département.
    d. Les utilisateurs
    Les utilisateurs ont pour rôle la mise en correspondance avec les fonctions permanentes du développement du produit réalisé. Ces derniers peuvent représenter différents niveaux : décideurs, gestionnaires ou utilisateurs finals. Quand on évoque l’intervention d’utilisateurs dans un projet, on emploie souvent le terme générique de « participation ». En réalité, la nature et les modalités de participation peuvent présenter une grande variété et servir différents buts. Dans une perspective de pilotage de projet, on considère que la participation peut avoir un effet sur la détermination des besoins, sur le processus de décision ou sur une évolution organisationnelle ( ).
    On peut alors distinguer 3 catégories des utilisateurs :
     L’utilisateur final est celui qui va utiliser les transactions et les éditions du futur système dans son travail au quotidien. C’est, par exemple, l’employé de l’UPKAN qui se sert de son terminal pour effectuer les opérations avec le stagiaire (étudiant). La responsabilité attachée à ce rôle est d’exprimer des besoins et des contraintes liées au travail courant.
     L’utilisateur gestionnaire est un opérationnel qui a des responsabilités d’encadrement. Il utilisera le futur système pour obtenir des informations permettant de prendre des décisions de gestion. Par exemple, le Coordonnateur attendra des informations des entreprises permettant d’élaborer les listes définitives des cotations. La responsabilité attachée à ce rôle est d’exprimer des besoins en informations favorisant la gestion à moyen terme de l’activité.
     L’utilisateur décideur a le pouvoir de modifier les règles du système de gestion, pour utiliser au mieux les possibilités technologiques. Sa responsabilité est de prendre des décisions sur l’évolution des règles de gestion.
    Ainsi la participation peut avoir pour objectif de transférer à l’équipe de projet une connaissance sur un domaine, un système de gestion, une organisation existante. La participation peut faciliter le processus de décision, en augmentant la visibilité des décideurs sur les enjeux et conséquences des décisions. Si les utilisateurs sont multiples, la prise de décisions passe par la construction d’un consensus.
    3.2. L’ordonnancement du projet ( )
    L’ordonnancement du projet, c’est l’organisation systématique des diverses phases d’un projet selon un plan, c’està-dire selon un ensemble de dispositions en vue de l’exécution d’un projet. Il s’agit d’un processus résolu de fixation d’objectifs ; de détermination des moyens et des ressources nécessaires pour atteindre les objectifs prédéfinis.
    La réalisation d’un projet nécessite souvent une succession de tâches auxquelles s’attachent certaines contraintes telles que : – De temps : délais à respecter pour l’exécution des tâches ;
  • D’antériorité : certaines tâches doivent s’exécuter avant d’autres;
  • De production : temps d’occupation du matériel ou des hommes qui l’utilisent.
    L’ordonnancement dans le cadre de la gestion d’un projet a pour objectif de répondre au mieux aux besoins exprimés par un client, au meilleur coût et dans les meilleurs délais, en tenant compte des différentes contraintes. L’ordonnancement se déroule généralement en trois étapes :

a. La planification (L’élaboration d’un calendrier)

Elle vise à déterminer les différentes opérations à réaliser, les dates correspondantes, et les moyens matériels et humains à y affecter.
b. L’Exécution
Elle vise la mise en œuvre des différentes opérations définies dans la phase de planification. c. Le contrôle
Il consiste à effectuer une comparaison entre planification et exécution, soit au niveau des coûts, soit au niveau des dates de réalisation.
3.2.1. Présentation des méthodes d’ordonnancement
Il existe généralement trois méthodes d’ordonnancement d’un projet Informatique à savoir :

  • Le diagramme de GANTT ;
  • Les réseaux PERT (Program and Evaluation Review Technic) ; – La MPM (Méthode des Potentiels Métra).
    A ce niveau, nous allons étudier partiellement les trois méthodes précitées et sélectionné l’une parmi elles qui fera une voie principale pour le cadrage de notre projet.
  1. Le diagramme de GANTT
    Le diagramme de Gantt, couramment utilisé en gestion de projet, est l’un des outils les plus efficaces pour représenter visuellement l’état d’avancement des différentes activités (tâches) qui constituent un projet. La colonne de gauche du diagramme énumère toutes les tâches à effectuer, tandis que la ligne d’en-tête représente les unités de temps les plus adaptées au projet (jours, semaines, mois etc.). Chaque tâche est matérialisée par une barre horizontale, dont la position et la longueur représentent la date de début, la durée et la date de fin. Ce diagramme permet donc de visualiser d’un seul coup d’œil : – Les différentes tâches à envisager ;
  • La date de début et de fin de chaque tâche ;
  • La durée escomptée de chaque tâche ;
  • Le chevauchement éventuel des tâches, et la durée de ce chevauchement
  • La date de début et de fin du projet dans son ensemble.
    En résumé, un diagramme de Gantt répertorie toutes les tâches à accomplir. Pour mener le projet à bien, et indique la date à laquelle ces tâches doivent être effectuées (le planning). Ce type de diagramme a été mis au point par un américain Henry Gantt. On représente au sein d’un tableau, en ligne les différentes tâches et en colonne les unités de temps (exprimées en mois, semaines, jours, heures…). La durée d’exécution d’une tâche est matérialisée par un trait au sein du diagramme.
     Les étapes pour la réalisation de diagramme de Gantt
    Les différentes étapes de réalisation d’un diagramme de Gantt sont les suivantes :
  • Première étape : On détermine les différentes tâches (ou opérations) à réaliser et leurs durées.
  • Deuxième étape : on définit les relations d’antériorité entre les tâches.
  • Troisième étape : on représente d’abord les tâches n’ayant aucune antériorité, puis les tâches dont les tâches antérieures ont déjà été représentées, et ainsi de suite.
     Les Avantages de cette méthode sont les suivants :
  • Déterminer la date de réalisation d’un projet.
  • Identifier les marges existantes sur certaines tâches (avec une date de début au plus tôt et une date au plus tard).
     L’Inconvénient pour cette méthode : Ne défait (débarrasse) pas tous les problèmes, en particulier si l’on doit planifier des fabrications qui viennent en concurrence pour l’utilisation de certaines ressources.
  1. La méthode MPM (METHODE DE POTENTIEL METRA)( )

Cette méthode a été développée par une équipe de chercheurs français. A l’identique de réseau PERT, cette outil permet de réduire la durée totale d’un projet. On étudie les délais sans prendre en compte les charges et les moyens disponibles. La méthode est une représentation graphique qui permet de bâtir un réseau. Ce réseau est constitué par des taches (ou étapes)

  • Tâche : Déroulement dans le temps d’une opération. La tâche est pénalisante car, elle demande toujours une certaine durée, des moyens (ou ressources) et coûte de l’argent. Contrairement au réseau PERT, ici elle est symbolisée par un rectangle dans lequel sera indiquée l’action à effectuer et le temps estimé de réalisation de cette tâche, la date de début et de fin.
  • Liaisons orientées : Elles représentent les contraintes d’antériorité des tâches.
    La méthode MPM comme le réseau PERT ont pour but de planifier la durée d’un projet, aussi nous devons mener des calculs sur le graphe afin d’en déduire des renseignements sur son exécution. Cette méthode prône les Principes suivants :
    a. Les tâches sont représentées par des sommets et les contraintes de succession par des arcs.
    b. Chaque tâche est renseignée par la date à laquelle elle peut commencer (date au plus tôt) et celle à laquelle elle doit se terminer (date au plus tard).
    c. chaque arc est associé à une valeur numérique, qui représente soit, une durée d’opération, soit un délai.
  1. Le réseau PERT (Program and Evaluation Review technic)
    ( )
    La méthode PERT, acronyme de « Programm and
    Evaluation Review Technic », est une technique d’ordonnancement des tâches utilisée pour gérer les projets. Cette méthode a été mise en œuvre par la marine américaine à la fin de l’années 1950. Au fil des évolutions, cet outil a intégré la méthode connue par le nom des « Chemins critiques » (Critical Path Method, CPM) développée un an plus tôt.
    Le PERT permet d’obtenir un ordonnancement optimum des tâches les unes par rapport aux autres pour minimiser la durée totale du projet. Le PERT permet également de connaître les marges existantes sur certaines tâches (différence entre la date au plus tard et la date au plus tôt). A chaque tâche est associée une durée ainsi que la liste de ses antécédents (tâches qu’il faut avoir terminées pour commencer la tâche en question). Grâce à cette technique, on est en mesure d’obtenir:
  2. Le chemin critique : ensemble de tâches dont la durée à un impact direct sur la date de fin du projet. En cas de retard sur l’une de ces tâches, la date de fin du projet sera décalée.
  3. La date au plus tôt : Date à laquelle chaque tâche est en mesure d’être commencée.
  4. La date au plus tard : Date à laquelle chaque tâche doit nécessairement avoir démarré pour respecter la date de fin de projet envisagée.
    Afin d’appliquer correctement la méthode PERT, il est conseillé de mettre en place les étapes suivantes :
    a. Connaître le livrable (résultat) intermédiaire à l’issu de chaque étape.
    b. Décrire très concrètement quelle est la tâche ou action à accomplir afin d’obtenir ce livrable. Cette définition de tâche doit comporter sa durée, les moyens nécessaires, les ressources et les contraintes à prendre en compte pour l’accomplir dans son intégralité.
    c. Identifier la connexion entre les différentes tâches. Ces connexions peuvent être du type « fin à début », « début à fin », « fin à fin » ou « début à début ». Deux tâches peuvent cependant se trouver complètement indépendantes au sein d’une analyse PERT.
    d. Construire le réseau PERT et identifier le chemin critique.
    e. Réaliser l’affectation de ressources à chacune des tâches.
    f. Faire le calcul des coûts induits par chaque tâche.
    A la différence actuelle, la représentation sous forme d’un planning de Gantt est plus souvent utilisée. Cette représentation a l’avantage d’être beaucoup plus lisible que le réseau PERT, car la durée des tâches est représentée par des barres plus ou moins longues, proportionnelles à leurs durées. De plus, ces durées se trouvent associées à une barre calendaire. Il est possible d’indiquer la relation entre les tâches à l’aide de flèches. Il existe sur le marché plusieurs logiciels de planification permettant de faire gagner du temps au chef de projet. De cette manière, le chef de projet pourra se consacrer à la définition des tâches, à leur durée, aux ressources associées. La représentation graphique, le calcul du chemin critique, le calendrier, la comptabilisation des ressources, etc., sont réalisés par le logiciel.
    Principes généraux du réseau PERT, si dans le vocabulaire de tous les jours, la notion de «projet» désigne assez globalement « une action future », cette notion renvoie par contre à une formulation beaucoup plus précise pour tous les acteurs impliqués dans le déroulement opérationnel d’un projet. Un graphe de dépendances est utilisé. Pour chaque tâche, sont indiquées une date de début et de fin au plus tôt et au plus tard. Le diagramme permet de déterminer le chemin critique qui conditionne la durée minimale du projet. Le but est de trouver la meilleure organisation possible pour qu’un projet soit terminé dans les meilleurs délais, et d’identifier les tâches critiques c’est-à-dire, les tâches qui ne doivent souffrir d’aucun retard sous peine de retarder l’ensemble du projet. Ainsi, les règles et notations de représentation sont :

Ainsi, Dans un graphe PERT : Chaque tâche est représentée par un arc, auquel on associe un chiffre en entre parenthèses qui représente la durée de la tâche. Entre les arcs figurent des cercles appelées « sommets » ou « événement » qui marquent l’aboutissement d’une ou plusieurs tâches. Ces cercles sont numérotés afin de suivre l’ordre de succession des divers évènements.

  1. Construction d’un réseau PERT ( )
    a. La détermination des tâches à réaliser
    Le recours au PERT suppose qu’on ait au préalablement l’identification des différentes tâches nécessaires à la réalisation d’un projet, leurs durées et leurs relations d’antériorité. Généralement ces informations sont synthétisées dans un tableau suivant :

Les taches à réaliser Les repères La durée en jours
L’enquête A 14
Analyse des données récoltées B 7
L’étude de l’existant C 14
La modélisation D 26
L’implémentation E 30
Le test du site web dynamique F 7
Maintenance de logiciel G 7

Dans ce tableau, nous retenons ce qui suit, la première colonne constitue les tâches à exécuter dans notre projet de mise en place d’un site web dynamique. Ces tâches sont au nombre de sept (7), la deuxième colonne constitue les références (légende) qui nous aideront à répertorier les tâches à exécuter dans le graphe Pert et la troisième colonne constitue la durée respective de chaque tâche à réaliser, cette durée est déterminée à terme des jours.
b. La détermination des tâches d’antériorités
Les tâches d’antériorités sont des tâches antérieures, c’est-à-dire, les tâches qui doivent être exécutées avant les tâches suivantes ( ). Elles sont répertoriées dans le tableau ci-dessous :
Légende Tâches à réaliser Tâches d’antériorité Tâches suivantes
A Enquête – C
B Analyse des données récoltées – D
C Etude existante A E
D Modélisation B F
E Implémentation C G
F Test D G
G Maintenance EF
Sur ce tableau nous retenons ce qui suit : parmi les tâches à réaliser, deux (2) tâches n’ont pas des tâches d’antériorité ; à savoir : l’enquête et l’analyse des données récoltées ; ces tâches seront identifiées dans le graphe PERT respectivement par la lettre A et B. Et les tâches suivantes nous aideront à bien tracer le graphe PERT pour éviter le croisement des arcs.

  1. La détermination des niveaux d’exécution des tâches
    Ainsi, pour déterminer les niveaux d’exécution des tâches à réaliser on procède comme suit :
    a. Déterminer les tâches sans antécédent (tâches de niveau 1) et les relier à l’étape de « Début » ;
    b. Identifier ensuite les tâches de niveau 2, c’est-à-dire, celles dont les antécédents sont exclusivement du niveau 1 et les positionner sur le graphique en fonction de ces derniers ;
    c. Continuer ainsi, jusqu’à ce que toutes les tâches aient pu être positionnées entre-elles et relier celles n’ayant pas de descendants à l’étape de « Fin ».
     Niveau 1 : A, B ;  Niveau 3 : E, F ;  Niveau 2 : C, D ;  Niveau 4 : G
    D’une manière générale, notre projet est constitué de sept (7) tâches qui sont reparties dans quatre (4) niveaux d’exécution. Pour plus d’explicité, les tâches seront repérées dans le graphe PERT par les lettres alphabétiques, confère le tableau précédent.
    Par Conventions de base d’un réseau PERT, Le PERT permet de représenter l’ensemble de tâches sur un graphe orienté, à partir duquel il sera possible d’identifier leurs dates au plus tôt et au plus tard et de calculer leurs marges. Un graphe orienté est un réseau composé d’une entrée et d’une sortie, ainsi que de points appelés « sommets » reliés entre eux par des flèches appelées « arcs». Les principales conventions d’un réseau PERT sont les suivantes :
     chaque tâche est symbolisée par un arc, auquel est associée une valeur numérique correspondant à sa durée.
     les sommets auxquels aboutissent les arcs correspondent donc à des étapes qui marquent l’aboutissement d’une ou plusieurs tâches.
     chaque étape est identifiée par un numéro d’ordre et renseignée sur la date à laquelle elle peut être atteinte au plus tôt (« date au plus tôt ») et au plus tard (« date au plus tard ») pour respecter le délai optimal de réalisation du projet.
    Le graphe possède une entrée (sommet sans antécédent) et une sortie (sommet sans descendant) qui correspondent respectivement aux étapes « Début des opérations » et « Fin des opérations ». Du fait de ses conventions, il est parfois nécessaire d’introduire des « tâches fictives » pour traduire correctement sur un graphe les relations d’antériorité de certaines tâches, notamment lorsque celles-ci partagent avec d’autres une partie de leurs antécédents.
  2. Le traçage d’un graphe du réseau PERT
    Pour tracer le graphe de réseau PERT, nous nous référons aux différentes tâches à réaliser dans ce projet et leurs durées, ainsi que les niveaux déterminés pour ces tâches. Pour plus de précision confère le tableau précèdent.
    2.1. Premier niveau
    Par convention un graphe doit avoir une étape de début et celle marquant la fin d’un réseau PERT. Et la première étape est l’étape de début d’un réseau PERT. Ainsi, les tâches de niveau 1 doivent être liées à l’étape de début grâce aux arcs et chaque arc doit porter le nom de la tâche à réaliser dans un projet suivi de sa durée de réalisation.
    Formalisme
    Par convention, l’étape 1 est considérée comme début et sa date au plus tôt est : 0. Alors, pour trouver la date au plus tôt de l’étape 2, il faut faire ce calcul : 0+14=14, où 0 est la date au plus tôt de l’étape 1 et 14 est la durée d’exécution de la tâche A. La
    logique reste la même pour l’étape 3 où nous avons : 0+7=7

2.2. Deuxième niveau
A ce niveau, il faut annexer les tâches du 2ème niveau aux tâches du 1er niveau toujours à l’aide des arcs.

Pour trouver la date au plus tôt de l’étape 4 et 5, nous avons fait ce calcul :

  • Etape 4 : 14+14=28, où 14 est la date au plus tôt de l’étape 2 et 2ème 14 est la durée de la tâche C
  • Etape 5 : 7+26=33, où 26 est la durée de la tâche D et 7 est la date au plus tôt de l’étape 3.
    2.3. Le troisième niveau
    La logique n’a pas changé, il faut ajouter les tâches de troisième niveau au graphe :

L’arc de la tâche E et celle de la tâche F se croisent à l’étape 6. A ce niveau, nous allons faire un calcul et la tâche qui aura la durée maximale par rapport à l’autre sera considérée et l’autre sera rejetée :
 Pour la tâche E : 28+30=58, où 28 est la date au plus tôt de l’étape 4 et 30 est la durée de la tâche E.
 Pour la tâche F : 33+7=40, où 33 est la date au plus tôt de l’étape 5 et 7 est la durée de la tâche F. Comme 40<58, nous considérons la durée de la tâche E

2.4. Quatrième niveau
A ce niveau, nous sommes obligés de mettre fin à notre graphe PERT en ajoutant l’étape finale. C’est-à-dire, aux tâches de l’étape 6 nous annexons l’étape 7 qui marque la fin de graphe PERT. Ici, le calcul est simple : Etape 7 : 58+7=65, où 58 est la date au plus tôt de l’étape 6 et 7 est la durée de la tâche G.

Comme le graphe de réseau PERT est déjà tracé, et toutes les dates au plus tôt de différentes étapes sont déjà connues, il faut maintenant calculer les dates au plus tard pour chaque étape du graphe. Pour le calcul de date au plus tard c’est-à-dire, nous débutons de l’étape finale (7) vers l’étape initiale (1). Par convention, la date au plus tôt de l’étape finale égale à la date au plus tard de l’étape finale.
Formalisme :

  • Etape 7 =65 ;
  • Etape 6 : 65-7=58 ;
  • Etape 5 : 58-7= 51 ;
  • Etape 4 : 58-30= 24 ;
  • Etape 3 : 51-26 = 25 ;
  • Etape 2 : 28-14 = 14 ;
  • Etape 1 a aussi deux tâches : A et B qui se croisent ici, nous allons faire le calcul et considérer la durée minimale entre ces deux tâches (A et B) : – Pour la tâche A : 14-14= 0 ; – Pour la tâche B : 25-7= 18.
    Pour tous ceux dont nous venons de parler, notre graphe du réseau PERT se présente de la manière suivante :

 La lecture d’un graphe PERT
Le graphe se lit de gauche à droite (de l’étape « DÉBUT » à celle de « FIN »). Chaque arc symbolise une tâche qui permet d’atteindre une nouvelle étape dans la réalisation du projet. Une nouvelle tâche ne peut commencer que lorsque toutes les tâches préalables à sa réalisation sont terminées. Chaque sommet correspond à une étape qui est identifiée par une cartouche où sont précisés : son « numéro d’ordre », la date à laquelle elle peut être atteinte au plus tôt (« date au plus tôt ») et la date à laquelle elle doit être atteinte au plus tard pour respecter le délai optimal de réalisation du projet (« date au plus tard »).

  1. Le calcul de la date au plus tôt des tâches dans le
    graphe du réseau PERT
    Elle correspond à la date à laquelle une étape peut être atteinte au plus tôt (rapidement). Elle s’obtient en ajoutant à la date au plus tôt de l’étape précédente, la durée de la tâche qui les sépare : Date au plus tôt « étape x » = Date au plus tôt « étape y » + Durée tâche « yx ». Où (y) est l’étape antérieure et (x) est l’étape concernée.
    Formalisme
  • Date au plus tôt A: 0+14=14
  • Date au plus tôt C : 14+14=28
  • Date au plus tôt E : 28+30=58
  • Date au plus tôt G : 58+7=65 40<58
  • Date au plus tôt B : 0+7 = 7
  • Date au plus tôt D : 7+26 =33
  • Date au plus tôt F : 33+7=40

Lorsque plusieurs arcs arrivent à un même sommet (c’est à dire que plusieurs tâches doivent être réalisées pour atteindre une étape donnée), il convient de faire ce calcul pour toutes les tâches menant à l’étape en question et de retenir comme « date au plus tôt » de l’étape le maximum des valeurs ainsi trouvée (en effet, l’étape ne sera vraiment atteinte que lorsque toutes les tâches y menant auront été accomplies) : Date au plus tôt « étape x » = Max. (Date plus tôt « étapes y » + Durée tâches « yx »).
C’est le cas de l’étape E et F, dont E=58 jours et F= 40 jours. La durée la plus maximale est de 58 jours, car 40<58
Dans cette formule, « y » représente l’ensemble de tâches immédiatement antérieures à « x ». La détermination des dates au plus tôt des différents sommets se fait donc par calculs successifs, à partir de l’étape initiale « Début » (dont, par convention, la date au plus tôt est fixée à 0). La durée minimale du projet correspond donc à la date au plus tôt de l’étape « Fin ».

  1. Le calcul de la date au plus tard des tâches dans le
    graphe du réseau PER
    Elle correspond à la date à laquelle une étape doit être atteinte au plus tard (tardivement, en retard) pour que la durée globale du projet reste minimum. Elle s’obtient en retirant de la date au plus tard de l’étape qui lui succède la durée de la tâche qui les relie : Date au plus tard « étape y» = Date plus tard «étape x» – Durée tâche « yx».

Formalisme

  • Date au plus tard G : 65-7=58
  • Date au plus tard E : 58-30 = 28
  • Date au plus tard C : 28-14 =14
  • Date au plus tard A : 14-14=0
  • Date au plus tard F : 58-7=51 0<18
  • Date au plus tard D : 51-26=25
  • Date au plus tard B : 25-7=18
    Lorsque plusieurs arcs partent d’un même sommet (c’est à dire que plusieurs tâches commencent à partir d’une même étape), il convient de faire ce calcul pour toutes les tâches (y compris s’il s’agit de tâches fictives) succédant à l’étape en question et de retenir comme « date au plus tard » de l’étape le minimum des valeurs ainsi trouvées : Date au plus tard « étape y » = Min. (date au plus tard « étapes x » – Durée tâches « yx »).
    Ceci est concrétisé à l’étape 1 : min [(14-14) et (25-7], comme 0<18 nous retenons (0) comme date au plus tard de l’étape 1.
    La détermination des dates au plus tard des différents sommets se fait donc à rebours du graphe, par calculs successifs, en partant de l’étape finale « Fin » (pour laquelle, par convention, on considère que la date au plus tard est égale à sa date au plus tôt).
  1. La détermination de chemin critique du projet
    Nous entendons par chemin critique, la succession des tâches pour lesquels aucun retard n’est possible sans remettre en cause la durée optimale du projet (tâches pour lesquelles date au plus tôt = date au plus tard).
    Le cumul des tâches composant la séquence la plus longue (A, C, E, G) permet de déterminer la date au plus tôt de réalisation du projet. Cette succession de tâches constituent le chemin critique. Pour plus d’éclaircissement, nous pouvons comprendre à partir des traits suivants :
  • A : représente la tâche d’enquête des données.
  • C : représente la tâche d’étude existante (préalable) du système.
  • E : représente la tâche d’implémentation de notre site web dynamique.
  • G : représente la tâche de la maintenance de notre site web.
  1. La détermination de la durée totale du projet
    Grace au graphe du réseau PERT tracé ci-haut, nous parvenons à affirmer que, la durée totale (optimale) de notre projet de Mise en place d’un site web dynamique pour la gestion des stagiaires et leurs côtes à l’Université Pédagogique de Kananga est de soixante-cinq (65) jours.
  2. La détermination de différentes marges d’une tâche dans
    un réseau PERT ( )
    On appelle « marge » d’une tâche, le retard qu’il est possible de tolérer dans la réalisation de celle-ci, sans que la durée optimale prévue du projet global en soit affectée. A ce niveau, il est possible de calculer trois types de marges :
  3. La marge totale d’une tâche
    Elle indique le retard maximal que l’on peut admettre dans la réalisation d’une tâche (sous réserve qu’elle ait commencé à sa date au plus tôt) sans allonger la durée optimale du projet. Elle se calcule en retirant la durée de la tâche en question à l’écart qu’il peut y avoir entre sa date au plus tôt de début et sa date au plus tard de fin :
    Marge totale tâche « yx » = Date au plus tard « étape x » – Date au plus tôt « étape y » – Durée tâche « yx ». où (x ) est la tâche concernée dans le graphe et (y)est la tâche d’antériorité de la tâche concernée toujours dans le graphe du réseau PERT.
    Formalismes concrets de notre projet de Mise en place d’un site web dynamique pour la gestion des stagiaires d’UPKAN :
  • Marge totale A : 14-0-14 = 0
  • Marge totale C : 28-14-14 = 0
  • Marge totale E : 58-28-30= 0
  • Marge totale G : 65-58-7 = 0
  • Marge totale F : 58-33-7= 18
  • Marge totale D : 51-7-26 = 18 – Marge totale B : 25-0-7=18 NB : Nous remarquons que l’ensemble de marges totales des tâches composant le chemin critique sont nécessairement nulles. Ceci est possible puisqu’il s’agit de tâches pour lesquels, par définition, aucun retard n’est possible sans remettre en cause la durée optimale prévue pour le projet.
    Sauf le cas particulier, un retard correspondant à la marge totale d’une tâche se traduit par une modification des dates au plus tôt des tâches qui lui succèdent et entraîne, généralement, l’apparition d’un second chemin critique. Il n’est donc pas possible de cumuler des retards correspondant à leur marge totale sur plusieurs tâches successives, sans remettre en cause la durée optimale prévue pour le projet.
  1. La marge libre d’une tâche
    Elle indique le retard que l’on peut admettre dans la réalisation d’une tâche (sous réserve qu’elle ait commencé à sa date au plus tôt) sans modifier les dates au plus tôt des tâches suivantes et sans allonger la durée optimale du projet. Elle se calcule en retirant la durée de la tâche en question à l’écart qu’il peut y avoir entre ses dates au plus tôt de début et de fin :
    Marge libre tâche « yx » = Date au plus tôt « étape x » – Date au plus tôt « étape y » – Durée tâche « yx ». Où (x) est l’étape concernée et (y) est l’étape d’antériorité de la tache concernée toujours dans le graphe du réseau PERT.
    Formalisme : considérons toujours notre projet.
  • Marge libre A : 14-0-14=0
  • Marge libre C : 28-14-14=0 – Marge libre E : 58-28-30=0
  • Marge libre G : 65-58-7=0
  • Marge libre F : 58-33-7=18
  • Marge libre D : 33-7-26=0
  • Marge libre B : 7-0-7=0
    A ce niveau nous nous exprimons que, Un retard correspondant à la marge libre d’une tâche reste sans conséquence sur les marges des tâches qui lui succèdent. Il est donc possible de cumuler des retards, s’inscrivant dans leur marge libre, pour plusieurs tâches successives, sans remettre en cause la durée optimale (totale) prévue pour le projet.
  1. La marge certaine d’une tâche
    Elle indique le retard que l’on peut admettre dans sa réalisation (quelle que soit sa date de début) sans allonger la durée optimale du projet. Elle se calcule en retirant la durée de la tâche en question à l’écart qu’il peut y avoir entre sa date au plus tard de début et sa date au plus tôt de fin :
    Marge certaine tâche « yx » = Max [0, (Date au plus tôt « étape x » – Date au plus tard « étape y » – Durée tâche « yx »)].
    D’après cette formule, la marge certaine est considérée comme nulle lorsque son calcul donne un nombre négatif.
    Considérons toujours notre graphe du réseau PERT :
     Marge certaine A : max [0, (14-0-14)] = 0
     Marge certaine C : max [0, (28-14-14)] = 0  Marge certaine E : max [0, (58-28-30)] = 0
     Marge certaine G : max [0, (65-58-7)] = 0
     Marge certaine F : max [0, (58-51-7)] = 0
     Marge certaine D : max [0, (33-25-26)] = -18
     Marge certaine B : max [0, (7-0-7)] = 0
    Un retard correspondant à la marge certaine d’une tâche reste sans conséquence sur les marges des tâches qui lui succèdent, même si elle commence à sa date au plus tard. Il est donc possible de cumuler des retards, s’inscrivant dans leur marge certaine, pour plusieurs tâches successives, même si elles commencent à leur date au plus tard, sans remettre en cause la durée optimale prévue pour le projet. On remarque que l’ensemble des marges des tâches composant le chemin critique sont nécessairement nulles, puisqu’il s’agit de tâches pour lesquels, par définition, aucun retard n’est possible sans remettre en cause la durée optimale prévue pour le projet.

Chapitre IV. MODELISATION DU SYSTEME D’INFORMATIONS
ET IMPLEMENTATION DU SITE
Dans ce chapitre, nous modélisons le système d’information grâce à la méthode UML « Unified modeling language » qui est un langage de modélisation unifié. Et nous mettons en place un site web dynamique grâce à un langage de programmation PHP.
4.1. La modélisation du système d’informations ( )
4.1.1. Définition
Un modèle est une abstraction de la réalité. L’abstraction est l’un des piliers de l’approche objet : il s’agit d’un processus qui consiste à identifier les caractéristiques intéressantes d’une entité, en vue d’une utilisation précise. L’abstraction désigne aussi le résultat de ce processus, c’est-à-dire l’ensemble de caractéristiques essentielles d’une entité, retenues par un observateur. Un modèle est une vue subjective mais pertinente de la réalité. Un modèle définit une frontière entre la réalité et la perspective de l’observateur. Ce n’est pas « la réalité », mais une vue très subjective de la réalité. Bien qu’un modèle ne représente pas une réalité absolue, un modèle reflète des aspects importants de la réalité, il en donne donc une vue juste et pertinente. Le caractère abstrait d’un modèle doit notamment permettre deux aspects : d’une part, faciliter la compréhension du système étudié c’est-à-dire, un modèle réduit la complexité du système étudié. D’autre part, simuler le système étudié c’est-à-dire, un modèle représente le système étudié et reproduit ses comportements.
4.1.2. La présentation de la méthode de modélisation « UML »

  1. Définition
    UML : Unified Modeling Language, c’est-à-dire langage de modélisation unifié. C’est un langage de modélisation qui a pour but de faciliter les transitions, lors de développement d’un projet, du besoin originel à la phase d’implémentation.
  2. Les objectifs de la méthode UML( )
    Le langage UML est la synthèse de tous les concepts et formalismes méthodologiques les plus utilisés, pouvant être utilisé grâce à sa simplicité et à son universalité, comme langage de modélisation pour la plus part des systèmes pouvant être développés. Alors, UML permet d’apporter des solutions, lors du développement d’un système informatisé :
     Décomposer le processus de développement en distinguant la phase d’analyse (aspects fonctionnels) de la phase de réalisation (aspects technologiques et structuraux) ;
     Décomposer le système en sous-systèmes plus facilement abordables : réduction de la complexité, répartition de travail, réutilisation des sous-systèmes ;
     Utiliser une technologie de haut niveau, proche de la réalité pour aborder le développement.
  3. Les étapes de modélisation en UML ( )
    La méthode UML utilise sept (7) étapes pour la modélisation d’un système d’information, à savoir :
     L’identification des acteurs ;
     L’identification de cas d’utilisation ;
     La réalisation de cas d’utilisation ;
     La description textuelle ;
     La description graphique ;
     La description de l’organisation de cas d’utilisation ;  La dynamique de globalisation.
  4. La description textuelle
    1.1. Le scenario nominal (secondaire)
  • Le stagiaire se présente chez le secrétaire ou au coordonnateur ;
  • Le coordonnateur ou secrétaire reçoit le stagiaire ;
  • Le stagiaire paye son billet de stage au secrétaire ou au coordonnateur ;
  • Le secrétaire livre le reçu de paiement de billet de stage au stagiaire et l’oriente au coordonnateur;
  • Le secrétaire rapporte au coordonnateur ;
  • Le coordonnateur reçoit le rapport;
  • Il classe le rapport reçu ;
  • Le coordonnateur identifie le stagiaire ;
  • Le coordonnateur livre le billet de stage au stagiaire ;
  • Le stagiaire prend le billet de stage ;
  • Le département élabore et envoi la mise en place de stage au département de stage ;
  • Le département affiche la mise en place ;
  • Le coordonnateur reçoit la mise en place ;
  • L’encadreur se présente au département de stage pour la fiche d’encadrement ;
  • Le coordonnateur livre la fiche d’encadrement à l’encadreur ;
  • Le stagiaire dépose le billet de stage dans l’entreprise ;
  • L’entreprise encadre et cote le stagiaire ;
  • L’inspecteur se présente au département de stage ;
  • Le coordonnateur livre la fiche d’inspection à l’inspecteur ;
  • Le stagiaire présente ses documents pédagogiques à l’encadreur ;
  • L’encadreur corrige les documents pédagogiques du stagiaire
  • L’encadreur restitue les documents pédagogiques au stagiaire ;
  • L’inspecteur inspecte et cote le stagiaire dans l’entreprise ;
  • Le stagiaire reçoit l’inspecteur et enseigne les élèves ;
  • Le stagiaire rapporte le coordonnateur ;
  • Le coordonnateur reçoit le rapport du stagiaire ;
  • Il livre le reçu de paiement de dépôt de rapport au stagiaire ;
  • Le coordonnateur ordonne l’archiviste d’envoyer le rapport de stage dans le département respectif ;
  • L’archiviste exécute l’ordre ;
  • Il classe le rapport de stage ;
  • Il envoi le rapport de stage au département respectif ;
  • Le département reçoit le rapport de stage ;
  • Le département partage le rapport de stage aux encadreurs ;
  • L’encadreur corrige et cote le rapport de stage ;
  • L’encadreur restitue le rapport de stage au département ;
  • Le département envoi la liste de cotation de rapport de stage à l’archiviste ;
  • L’archiviste reçoit le rapport ;
  • L’archiviste rapporte le coordonnateur ;
  • Le coordonnateur classe ce rapport ;
  • L’encadreur rapporte le coordonnateur ;
  • Le coordonnateur classe le rapport ;
  • L’entreprise rapporte le coordonnateur ;
  • Le coordonnateur classe le rapport ;
  • L’inspecteur rapporte le coordonnateur ;
  • Le coordonnateur classe le rapport ;
  • Le coordonnateur élabore les listes définitives de cotation de stage ;
  • Le coordonnateur envoi les listes de cotation de stage dans les différentes facultés ;
  • La faculté reçoit et multiplie les fiches de cotation ;
  • La faculté partage les fiches de cotation de stage à ses départements
  • Le département multiplie ces fiches ;
  • Le département distribue les fiches de cotation aux différents présidents du jury ;
  • Le président du jury prend la fiche ;
  • Le président du jury partage les fiches avec son secrétaire du jury ;
  • Le secrétaire du jury proclame le résultat aux stagiaires ;
  • Le stagiaire prend connaissance de se résultat ; – Le secrétaire du jury rapporte la faculté ; – La faculté classe le rapport.

1.2. L’enchainement alternatif et des erreurs

  • Si le stagiaire n’a pas payé le billet de stage ;
  • Il ne sera pas identifié et n’aura pas le billet de stage
  • L’enchainement s’arrête ;
  • Si le stagiaire, l’entreprise, l’encadreur, l’inspecteur n’ont pas rapporté le coordonnateur, le secrétaire du jury ne doit plus proclamer les étudiants
  1. L’identification des acteurs
    Les acteurs suivants ont été identifiés, il s’agit de : le stagiaire, le coordonnateur principal, le secrétaire, l’archiviste, L’encadreur, l’inspecteur, le département, la faculté, le président du jury, le secrétaire du jury, Entreprise.
  2. L’identification des acteurs et leurs cas d’utilisations
    N° Les acteurs Use case
    01 Stagiaire  Se présenter / au secrétaire ;
     Payer / l’argent du billet de stage ;
     Prendre / billet de stage et reçu ;
     Effectuer / le stage
     Préparer / les documents pédagogiques ;
     Présenter / les documents à l’encadreur ;
     Elaborer / le rapport de stage
     Déposer / le rapport de stage ;
     Savoir / ses cotes de stage.

02 Coordonnateur principal  Recevoir / l’étudiant et document
 Classer / les documents ;
 Identifier / le stagiaire
 Livrer / le billet de stage et les fiches ;
 Ordonner / l’archiviste ;
 Imprimer / les listes de cotation ;
 Envoyer / envoyer les fiches de cotations aux différentes facultés
03 Secrétaire  Recevoir / les étudiants ;
 Identifier / les stagiaires ;
 Rapporter / au coordonnateur principal ;
 Orienter / les stagiaire ;
 Classer / livrer le reçu de payement.
04 Archiviste  Recevoir / les rapports de stage ;
 Classer / les rapports de stage ;
 Envoyer / envoyer les rapports de stage ;  Rapporter / au coordonnateur principal.
05 Encadreur  Prendre / prendre la fiche d’encadrement ;
 Recevoir / les stagiaires et ses documents pédagogiques ;
 Corriger / les documents pédagogiques ;
 Coter / les stagiaires
 Rapporter / rapporter au coordonnateur.
03 Inspecteur  Prendre / la fiche d’inspection ;
 Inspecter / inspecter les stagiaires ;
 Conseiller / conseiller le stagiaire
 Coter / coter les stagiaires ;
 Rapporter / au coordonnateur principal.
07 Département  Elaborer / la mise en place ;
 Envoyer / la mise en place et les cotes ;
 Afficher / la mise en place ;
 Recevoir / les rapports de stage ;
 Multiplier / la fiche de cotation ;
 Distribuer / les fiches de cotation de stage aux présidents du jury.
08 Faculté  Recevoir / les fiches de cotation de stage ;
 Multiplier / les fiches de cotation de stage ;
 Partager / partager les fiche de cotation de stage à ses départements.
09 Président du jury  Recevoir / les fiches de cotation de stage ;
 Partager / les fiches de cotation de stage
avec son secrétaire du jury.
10 Secrétaire du jury  Recevoir / les fiches de cotation ;
 Proclamer/ le résultat du stage aux stagiaire ;
 Rapporter / la faculté et le département.
11 Entreprise  Recevoir / le stagiaire et son billet de stage ;
 Encadrer / le stagiaire ;
 Coter / le stagiaire ;
 Rapporter / au coordonnateur principal.

  1. La réalisation de cas d’utilisation
    Un diagramme UML est une représentation graphique, qui s’intéresse à un aspect précis du modèle. C’est une perspective du modèle. Chaque type de diagramme UML possède une structure (les types des éléments de modélisation qui le composent sont prédéfinis). Un type de diagramme UML véhicule une sémantique précise (un type de diagramme offre toujours la même vue d’un système)( ).
  2. Diagramme de cas d’utilisation « use case »
    Un cas d’utilisation est une action que l’acteur exerce (réalise) dans un système. Les cas d’utilisations permettent de structurer les besoins des utilisateurs et les objectifs correspondants d’un système ( ).
    La détermination et la compréhension des besoins sont souvent difficiles car, les intervenants sont noyés sous de trop grandes quantités d’informations : il faut clarifier et organiser les besoins des clients (les modéliser). Pour cela, les cas d’utilisation identifient les utilisateurs du système (acteurs) et leurs interactions avec le système. Ils permettent de classer les acteurs et structurer les objectifs du système. Une fois identifiés et structurés, ces besoins : définissent le contour du système à modéliser (ils précisent le but à atteindre), permettent d’identifier les fonctionnalités principales (critiques) du système. Ce diagramme se trouve dans la catégorie des diagrammes forment une vue statique.

Figure : Diagramme de cas d’utilisation

  1. Diagramme de séquence
    Le diagramme de séquence est une variante du diagramme de collaboration. Le diagramme de séquence permet de visualiser les messages par une lecture de haut en bas. L’axe vertical représente le temps, l’axe horizontal les objets qui collaborent. Une ligne verticale en pointillé est attachée à chaque objet et représente sa durée de vie. Les messages sont représentés comme dans le diagramme de collaboration. Ce diagramme est dans la vue dynamique.

77

DIAGRAMME DE SEQUENCE

78

  1. Diagrammes de classes

Par définition, le diagramme de classes exprime la structure statique du système en termes de classes et de relations entre ces classes.( )
L’intérêt du diagramme de classe est de modéliser les entités du système d’information. Le diagramme de classe permet de représenter l’ensemble d’informations finalisées qui sont gérées par le domaine. Ces informations sont structurées, c’est-à-dire qu’elles ont regroupées dans des classes. Le diagramme de classe met en évidence d’éventuelles relations entre ces classes. Le diagramme de classes comporte six (6) concepts à savoir: la classe, les attributs, l’identifiant, la relation, l’opération, la généralisation
/ spécialisation. Le diagramme de classe est dans la vue statique.

 La classe
Une classe est une description abstraite (condensée) d’un ensemble d’objets du domaine de l’application : elle définit leur structure, leur comportement et leurs relations. Pour nous, une classe est une entité (table).
NB : Le choix d’une classe est fait par rapport au nombre d’occurrences que doit contenir une classe. Ainsi, nous entendons par occurrence le nombre de présence d’une information que doit contenir une classe et une cardinalité est le nombre de fois qu’une classe doit participer dans une relation avec l’autre.
Les classes sont représentées par des rectangles compartimentés :
 Le 1er compartiment représente le nom de la classe
 Le 2ème compartiment représente les attributs de la classe  Le 3ème compartiment représente les opérations de la classe Formalisme :

DIAGRAMME DE CLASSE

Figure : Diagramme de classe
Dans ce diagramme de classe, nous lisons ce qui suit :  une seule faculté pour un ou plusieurs départements ;
 un seul département pour un ou plusieurs encadreurs ;
 un seul département pour une ou plusieurs promotions ;
 un seul département pour un ou plusieurs stagiaires ;  un registre de frais pour un ou plusieurs stagiaires ;  un registre de cotation pour un ou plusieurs stagiaires.

 Le dictionnaire de données

N° Code Signification (Signification)
frais
01 numsta Numéro stagiaire
02 nomsta Nom du stagiaire
03 pstnsta Post nom
04 promo promotion
05 argp Argent payé
06 mtf Motif
07 dtp Date de paiement
08 pe Pourcentage des enseignants
09 pdpt Pourcentage département
10 pfct Pourcentage des facultés
11 pcmtg Pourcentage comité de gestion
12 pcoors Pourcentage coordination de stage
13 pff Pourcentage frais de fonctionnement
14 pfch Pourcentage frais chancellerie
15 pourcentage Pourcentage
16 anac Année académique
stagiaire
01 nmsta Numéro stagiaire
02 nomsta Nom stagiaire
03 ptnsta Post nom stagiaire
04 pnsta Prénom stagiaire
05 sexe sexe
06 promo Promotion
07 dpt Département
08 fct Faculté
09 pnftion Professionnalisation
10 tpsta Type de stage
11 lsta Lieu stage
12 frf Frais fixé
13 frp Frais perçu
14 dsta Début stage
15 fsta Fin stage
16 dttsta Durée dotale stage
17 anac Année académique

cotations
01 num Numéro
02 nom Nom
03 ptn Post nom
04 pn Prénom
05 promo Promotion
06 dpt Département
07 fct Faculté
08 cinsp Cotation d’Inspecteur
09 cenc Cotation d’Encadreur
10 ccons Cotation de Conseiller
11 cetse Cotation de l’entreprise
12 cecole Cotation de l’école
13 crpsad Cotation rapport de stage administratif
14 crpsp Cotation rapport de stage pédagogique
15 fdp Frais de dépôt de rapport de stage
16 cttob Cotation totale obtenue
17 max Maximum
18 anac Année académique
promotion
01 num Numéro
02 nom Nom
03 dpt Département
04 fct Faculté
05 nbret Nombre des étudiants
06 cfpromo Chef de promotion
07 anac Année académique
encadreur
01 mtr Matricule
02 nom Nom
03 ptnenc Post nom encadreur
04 pnenc Prénom encadreur
05 sexe Sexe
06 datnais Date de naissance
07 dateng Date d’engagement
08 ttr Titre
09 gde Grade
10 dmn Domaine
11 dpt Département
12 tel Numéro téléphonique
13 adphy Adresse physique
14 fct Faculté
15 etciv Etat civil
16 anac Année académique
département
01 cod Code
02 nom Nom
03 nbrpromo Nombre promotion
04 nbrens Nombre enseignant
05 nbraudit Nombre d’auditoire
06 local Local (adresse physique)
07 anac Année académique
faculté
01 cod Code
02 nom Nom
03 nbrdpt Nombre de département
04 nbrens Nombre des enseignants
05 nbrpromo Nombre des promotions
06 nbraudit Nombre d’auditoires
07 optorg Options organisées
08 doyfac Doyen de la faculté
09 locale Locale (adresse physique)
10 anac Année académique

84

DIAGRAMME D’ACTIVITES ( )
Le diagramme d’activité est attaché à une catégorie de classe et décrit le déroulement des activités de cette catégorie. Le déroulement s’appelle « flot de contrôle ». Il indique la part prise par chaque objet dans l’exécution d’un travail. Il sera enrichi par les conditions de séquencement. Il pourra comporter des synchronisations pour représenter les déroulements parallèles. La notion de couloir d’activité va décrire les responsabilités en répartissant les activités entre les différents acteurs opérationnels. Ce diagramme est dans la vue dynamique

  1. DIAGRAMME DE DEPLOIEMENT
    Les diagrammes de déploiement montrent la disposition physique des différents matériels (les nœuds) qui entrent dans la composition d’un système et la répartition des instances de composants, processus et objets qui « vivent » sur ces matériels. Le diagramme de déploiement est donc très utile pour modéliser l’architecture physique d’un système. Ce diagramme est statique.

Commentaires sur ce diagramme :
 les nœuds sont des nodes (components) et chaque node a un nom précis ;
 Entre les nœuds il y a les objets explicitant le moyen de communication entre ces derniers ;
 Un ou plusieurs départements peuvent envoyer les requetés (demandes) à un seul serveur via un réseau wifi;
 Un serveur pour une base de données via un système de gestion de base de données « SGBD Repartie» ;
 Un serveur pour plusieurs facultés via le réseau wifi ;
 Un serveur pour plusieurs imprimantes ou plusieurs imprimantes HP.

4.2. L’IMPLEMENTATION DU SITE WEB DYNAMIQUE
L’implémentation est une opération qui consiste à mettre en place un logiciel informatique sûr capable de répondre efficacement aux besoins des utilisateurs. C’est ainsi, dans ce présent chapitre nous mettons en place un site web dynamique, capable de répondre aux besoins de la coordination de stage et professionnalisation de l’Université Pédagogique de Kananga « UPKAN » en sigle.
4.2.1. La présentation du langage de programmation
Pour l’élaboration de notre site web dynamique, nous avons utilisé le langage de programmation PHP. Le sigle PHP signifiait à l’origine (en 1995) Personal Home Page. Pour Rasmus Lerdorf, l’auteur de ce qui allait devenir le langage de script côté serveur incorporable dans tout document HTML que nous connaissons, il s’agissait alors d’ajouter quelques fonctionnalités à ses pages personnelles. PHP signifie aujourd’hui Personal Hypertext Preprocessor, car il renvoie à un navigateur un document HTML construit par le moteur de script Zend Engine 2 de PHP, dont nous allons voir le fonctionnement. Il permet de créer des pages web dynamiques et interactives.
Quel que soit le site web que l’on souhaite créer, HTML et CSS sont indispensables, mais ils ne suffisent pas pour réaliser des sites dynamiques. Il faut les compléter avec d’autres langages dynamiques tels que PHP et JAVA qui permettent de générer une page web. Le PHP est un langage de programmation, ce qui n’est pas le cas du HTML (on parle plutôt de langage de description, car il permet de décrire une page web).
Pour contenir la masse d’informations collectées, PHP s’appuie généralement sur une base de données, généralement MySQL et sur des serveurs Apache. PHP, MySQL et Apache forment d’ailleurs le trio ultradominant sur les serveurs Internet. PHP est utilisé aujourd’hui par plus des trois quarts des sites dynamiques de la planète et par les trois quarts des grandes entreprises françaises. Pour un serveur Windows, on parle de système WAMP
(Windows Apache, MYSQL, PHP).( )

4.2.2. La présentation de l’éditeur
Notre éditeur de code source c’est Notepad++
4.2.3. La présentation de l’interpréteur
Notre interpréteur c’est le Wampserveur (Windows, Apache, Mysql, PHP).
 Windows est un système d’exploitation conçu par l’entreprise Microsoft qui permet d’assurer le bon fonctionnement de l’ordinateur. C’est-à-dire le système d’exploitation Windows permet de rendre l’ordinateur exploitable, manipulable.
 Apache est un serveur configuré dans le wamp pour ouvrir automatiquement tout fichier ayant l’extension .html ou .php.
 MYSQL c’est un système de gestion de base de données qui permet de gérer la base de données.
 PHP Personal Hypertext Preprocessor : c’est un langage de programmation qui permet de créer les pages web dynamique.

4.3. La présentation de la base de données
Notre base de données s’appelle « bddcoordination », elle est constituée de sept (7) tables, à l’occurrence : classe_stagiaire, tablecotation, tabledepartement ; tableencadreur ; tablefaculte ; tablefrais et tablepromotion.

  1. La présentation de la table (classe) stagiaire
  2. La présentation de la table cotation
  3. La présentation de la table département
  4. La présentation de la table encadreur
  5. La présentation de la table promotion
  6. La présentation de la table faculté
  7. La présentation de la table frais

91

4.2.4.  PRESENTATION DE L’INTERFACE D’UN SITE WEB DYNAMIQUE 

 Commentaire sur l’interface du site
Cette interface constitue huit (8) menus parmi lesquels cinq constituent les images de notre milieu d’investigation d’information et trois autres menus permettent la manipulation de ce site. Le lien « www.coordinationstage.com » sert d’accéder aux informations de la base de données. Le lien « Envoyer » permet de télécharger un fichier dans un support de stockage informatique et l’envoyer à un destinataire, mais présentement il est impossible d’envoyer un fichier à un destinataire distant car, ce site n’est pas hébergé ! Le lien « Publier » offre la possibilité de publier une information.
4.2.5. Les codes sources

  1. Index.php




<b>GESTION DES STAGIAIRES ET LEURS COTES


REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET UNIVERSITAIRE

UNIVERSITE PEDAGOGIQUE DE KANANGA

BP. 282 KANANGA

BIENVENU A L’UNIVERSITE PEDAGOGIQUE DE KANANGA

www.coordinationstage.comENVOYERPUBLIER

www.coordinationstage.com

  1. miseenforme.css
    .entete
    {
    position:absolute; width:14%; text-align:center; border:solid red 6px;
    height:38%;
    top:1%;
    }
    .entete1
    {
    position:absolute; left:15%; border:solid red 5px; width:65%; text-align:center; color:blue; height:38%; top:1%;
    font-size:0.9.5em;
    }
    .entete2
    {
    position:absolute; left:80.5%; text-align:center; border:solid red 5px;
    width:16%; height:38%;
    top:1%;
    }
    .upkan
    {
    position:absolute; top:40%; text-align:center; border:solid red 5px;
    width:95%; height:7%; padding-left:1%;
    text-decoration:none;
    }
    .bdd
    {
    position:absolute; top:48%; text-align:center; border:solid red 5px;
    width:95%; heigth:67%;
    padding-left:1%;
    text-decoration:none;
    }
    .animation
    {
    position:absolute; top:51%; text-align:center; left:0.5%; border:solid red 5px;
    width:51%; height:96%; padding-left:1%;
    text-decoration:none;
    }
    .actualite
    {
    position:absolute; top:51%;
    text-align:left; left:53%; border:solid red 5px; width:38.5%; height:96%; padding-left:5%;
    text-decoration:none;
    }
    .piedsdepages
    {
    position:absolute; top:148%; text-align:center; border:solid red 5px;
    width:96%;
    height:5%;
    }

Sur ces codes sources nous retenons ce qui suit : il y a deux pages web qui interagissent entre eux, à l’occurrence, la page « index.php » renfermant les codes sources HTML constituent le formulaire présenté ci-haut. Et la page « miseenforme.css » contenant les codes sources CSS, cette dernière sert à définir les différents menus par rapport à leur position, taille, alignement et couleur.

CONCLUSION GENERALE

Nous voici arrivé au bout de la rédaction de notre Travail. Nous rappelons à nos lecteurs que, notre sujet est intitulé « Mise en place d’un site web dynamique pour la gestion des stagiaires et leurs cotes ». Cas de la coordination de stage et professionnalisation de l’UPKAN. Hormis l’introduction et la conclusion générale, notre mémoire est constitué de quatre chapitres :

Le premier chapitre est intitulé « Généralités sur les nouvelles technologies de l’information et de la communication ». L’idéale de ce chapitre est de fournir à nos leurs une culture générale sur le site web dynamique.
Le deuxième chapitre est intitulé « Etude de l’existant ». Dans ce chapitre, nous avons fait l’étude rigoureuse d’un système d’information existant. Ensuite, nous avons suggéré des solutions conformément aux faiblesses de système analysé.

Le troisième chapitre est intitulé « Cadrage du projet de la mise en place d’un site web dynamique ». Après l’acquisition d’une connaissance sur ce qui est projet informatique, grâce à la méthode du réseau PERT nous avons planifié les activités (tâches) que nous devrions réaliser dans notre projet. La durée optimale de notre projet est de (65) soixante-cinq jours, dont le chemin critique est constitué des tâches suivantes : A, C, E, G.

Le quatrième chapitre est intitulé « Modélisation et Implémentation » : sur ce dernier nous avons modélisé le système d’information en utilisant la méthode UML, après la modélisation du système d’informations nous retenons (7) sept classes en l’occurrence : stagiaire, encadreur, département, faculté, frais, cotation, promotion.
Après l’étape de la modélisation, nous avons utilisé le SGBD Myadmin pour la création de la base de données et le langage de programmation PHP nous a permis d’implémenter le site web dynamique qui est à mesure de :

  • Identifier les stagiaires et leurs cotes ;
  • Imprimer les fiches de cotation des stagiaires tout en respectant la promotion, département et faculté, grâce à une simple requête ;
  • Imprimer les notifications de stage ;
  • Supprimer et modifier les informations figurant dans la base de données en cas de nécessité.
  • Réceptionner les cotations des différentes entreprises de stage, après son hébergement.
    A tous ceux qui pourront nous lire de prêt ou de loin, tout œuvre humaine ne peut jamais manquer d’imperfections, alors vos remarques et suggestion nous aideront à améliorer dans le futur.  LES ANNEXES
  1. Approche pédagogique
    Fiche de préparation N°8

Nom : Simon NDAYE KANUSHIPI. Date : 28/06/2021 Ecole : Collège Saint Paul. Heure : 12h45-13h35 Classe : 6ème Secrétariat et Administration.
Sujet de la leçon : Le courrier électronique.
Références :
 AKOMIAN J-Y, Initiation à l’Internet, Module 2, ENA, 2018.
 BANDEL P-H, Initiation à l’informatique Module II, Genolier, 2017.
 KABONGO P, Notes de cours de laboratoire informatique IG3, inédites, UPKAN 2019.
Supports pédagogiques : TN, craies et les exemples
Matériel didactique : L’ordinateur
Objectifs opérationnels : A la fin de la leçon l’élève sera capable de (d’) :
 Définir un courrier électronique ;
 Envoyer un courrier à un destinataire ;  Lire un courrier dans sa boite e-mail ;
 Joindre un fichier à un courrier électronique.

Méthodes et minutage Matière à enseigner
MAP ±5’

Qu’est-ce qu’un réseau informatique ?

Quel est le but d’un réseau informatique ?

Quels sont les services Internet que vous connaissez ? 1. Introduction
a. Révision
Un réseau informatique est un ensemble des nœuds interconnectés entre eux grâce à des lignes physiques ou virtuelles et échangeant les informations.
Le but d’un réseau informatique est de permettre le partage des informations.
b. Motivation
Nous avons : la recherche d’information, la messagerie électronique, visioconférence, etc.

c. Annonce du sujet et inscription du sujet dans les journaux de classe des élèves.
Aujourd’hui nous étudions « Le
courrier électronique ».

MAP ±40’

Qu’est-ce qu’un courrier électronique ?

Comment peut-on envoyer un courrier à un correspondant ?

Que faut-il faire après la saisie de www.gmail.com dans la barre d’adresse ?

Par la suite on fait quoi ? Qu’est-ce qu’il faut faire après le remplissage de ces champs ?

  • adresse du destinataire ;
  • objet de la lettre
    (courrier) ;
  • corps du courrier.

Que faut-il faire pour lire un message dans une adresse e-mail ?

Que signifie joindre un fichier ?

Quelle est la procédure pour joindre un fichier à un courrier électronique ?

Alors pour joindre on fait quoi ?
2. Développement
a. Définition
Un courrier électronique est une lettre (un message) qui est envoyé via une adresse e-mail d’un émetteur à un récepteur.
b. Envoyer un courrier électronique
Pour envoyer un courrier électronique à un destinateur, il faut suivre la procédure suivante :

  • Lancer un navigateur Internet ;
  • Connecter votre compte (adresse électronique);
  • Saisir www.gmail.com dans la barre d’adresse du navigateur Internet, validé ;
  • Cliquer sur nouveau message dans la boite qui apparait ;
  • Dans la fenêtre qui apparait, remplir les champs suivants : adresse du destinataire, objet de la lettre
    (courrier), corps du courrier ; – Cliquer sur le bouton envoyer.

c. Lire un courrier dans sa boite
Pour lire un courrier dans sa boite, il faut cliquer sur le lien boite de réception dans votre boite e-mail, apparait les messages lus et non lus et cliquer sur le message non lu.
d. Joindre un fichier à un courrier
Joindre un fichier à un courrier signifie : attacher, greffer un fichier texte, image…, à un courrier électronique.
Pour joindre un fichier à un courrier électronique il faut :

  • Cliquer sur le lien nouveau message dans votre boite e-mail ;
  • Dans la fenêtre qui apparait, remplir les champs suivants : adresse du destinataire, objet de la lettre
    (courrier), corps du courrier ;
  • Cliquer sur le bouton joindre ou parcourir ;
    • Sélectionner le fichier dans votre disque dur ;
  • Cliquer sur ok ou ouvrir ; – Cliquer sur envoyer.
    MAP ±40’
    La CNSS/RDC, lance une offre d’emploi N°12 et a besoin d’un informaticien, dans la constitution de dossier il oblige les documents suivant :
  • Photocopie du diplôme d’étude ;
  • Lettre de motivation ;
  • Carte de lecteur ;
  • CV
    TD : Envoyez votre dossier complet dans son adresse e-mail : cnss@gmail.com Comment procédez pour envoyer votre dossier ? 3. Applications

Il faut suivre la procédure suivante : – Ouvrir mon adresse e-mail ;

  • Cliquer sur le lien nouveau message dans ma boite e-mail ;
  • Dans la fenêtre qui apparait, remplir les champs suivants : adresse du destinataire, objet de la lettre
    (courrier), corps du courrier ;
  • Cliquer sur le bouton joindre ou parcourir ;
  • Sélectionner le fichier dans votre disque dur ;
  • Cliquer sur ok ou ouvrir ; Cliquer sur envoyer.
  1. BIBLIOGRAPHIE
    2.1. Les dictionnaires
     Petit Larousse de poche, 5ème édition Kinshasa, 2010.
     Jargon Informatique.
     Petit Larousse Illustré, Paris, 2010.
    2.2. Les notes de cours
     BUAMBAKA S, Notes de cours de méthodes de conduite d’un projet informatique, L2 IG, Inédites, UPKAN, 2021.
     TSHIBAKA E, Notes de cours de questions spéciales sur la conception d’un système d’information L2 IG, Inédites, UPKAN, 2021.
     KABONGO P, Notes de cours de Génie logiciel, L1 IG, Inédites, UPKAN, 2021.
     KABUAYI J, Notes de cours d’administration réseau, L2 IG, Inédites, UPKAN, 2021.
     KATUJUDI J-M, Notes de cours de HTML, G2 IG, Inédites, ISP/KANANGA, 2018.
     NTANDA J, Notes de cours de réseau informatique, G2 IG, Inédites, ISP/KANANGA, 2018.
     YENDE R, Notes de cours de méthodes de conduite d’un projet informatique, L1 IG, Inédites, UNIKIN, 2019.
     YENDE R, Notes de cours d’administration réseau, L1 IG, Inédites, UNIKIN, 2019.
    2.3. Les ouvrages
     Acsiome M, Modélisation de la conception d’un système d’information, Masson, 1990
     AKOMIAN J-Y, Initiation à l’Internet, Module 2, ENA, 2018.
     BANDEL P-H, Initiation à l’informatique Module II, Genolier, 2017.
     CADLES J, et YEATES D, Projet de management et le système d’information, 3e édition, Prentice Hall, 2001.
     COMER D-E, TCP/IP, architecture, protocoles applications, Inter-Editions, 1992.
     DAVIDSON J. Introduction à TCP/IP, Masson, 1991.
     Edmond. M, Daniel. R et Daniel D, Techniques opérationnelles d’ordonnancement, 2ème Edition. EYROLLES, 1977.
     JEAN A, PHP 7 cours et exercices, Eyrolles 2006.
     KURBALIJA J, Eduardo G, Gouvernance de l’Internet, 4ème édition, 2005.
     MULLER P-A ; Gaertner N, Modélisation objet avec UML,
    Eyrolles, 2ème édition, 2000.
     MOREJON J, Principe et conception d’une base de données relationnelle, collection Ingénierie des systèmes d’informations, 4ème édition, 1992.
     NANCI D ; Espinasse E, Ingénierie de système d’information :
    Mérise 2ème génération, Vuibert 4ème éd, 2001.
     PEAN B, Introduction aux réseaux informatique, Miage, 2007.
     ROHAUT S, cours php version 4 et 5, Eyrolles 2009.
     ROQUES P, UML par la pratique, EYyrolles, 2003.
     Soutou C, UML2 pour les bases de données avec 20 exercices corrigés, Eyrolles, 2002.
     SWINNES G, Apprendre à programmer avec python, O’Reilly, 2005.

2.4. Webographie
 http://www.wikipedia.net
 www.google.com
 www.wikipedia.org
 www.comentçamarche.net
 www.wampserver.com
 www.ccim.be/ccim328/html/index.htm

TABLE DES MATIERES
EPIGRAPHE ………………………………………………………………………………………….. I
DEDICACE ……………………………………………………………………………………………. II SIGLES ET ABREVIATIONS …………………………………………………………….. III REMERCIEMENT ……………………………………………………………………………….. IV
INTRODUCTION GENERALE …………………………………………………………….. 1
CHAPITRE I. GENERALITES SUR LES NOUVELLES
TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA
COMMUNICATION ……………………………………………………………………………… 5
0.Pré-Internet (Arpanet)() ………………………………………………………………….. 5

  1. 1.L’Internet (Interconected Network) ……………………………………….. 6
    1.1.1.Définition …………………………………………………………………………………. 6
    1.1.2.Les services et les protocoles Internet () ……………………………. 8
    1.1.2.1.Le transfert de fichier(FTP) ……………………………………………… 8
    1.1.2.2.La connexion à distance (Telnet) ……………………………………. 9 1.1.2.3.L’accès à l’information (Gopher) …………………………………… 10 1.1.2.4.La navigation () (WAIS, Archie, Veronica) ……………………. 11
    1.1.2.5.Le service de communication entre personnes …………. 12 a.La messagerie électronique ………………………………………………………. 12
    b.Le forum de discutions ou le new groupe () ……………………………. 12
    c.Internet Relay Chat(IRC) …………………………………………………………….. 12
    d.La messagerie instantanée ……………………………………………………….. 12
    e.La liste de diffusion…………………………………………………………………….. 12 1.1.3.Le service web ……………………………………………………………………….. 12
    1.1.4.L’Internet et le client serveur ……………………………………………. 13
    a.Type d’architecture standard () ………………………………………………… 14
    b.Type d’architecture évolué ………………………………………………………… 14
    1.2.Le web
    ………………………………………………………………………………………………………..15
    1.2.1.Aperçu générale ……………………………………………………………………. 15
    1.2.2.L’évolution du web () ……………………………………………………………… 16
    1.2.3.Les concepts du web ……………………………………………………………. 16
    1.2.4.Les standards du web …………………………………………………………. 20
    1.3.L’URL (Uniform Resource Locator) ……………………………………….. 20
  2. 4.Le langage HTML (Hyper Texte Markup Language) ………….. 21
    1.4.1.Le http (HyperText Transfer Protocol) ………………………………… 24
    1.5.Le site web …………………………………………………………………………………. 24 1.5.1.Typologie de site web () ………………………………………………………… 24
    1.5.1.1.Selon le but ………………………………………………………………………… 24
    a.Le site vitrine (site plaquette ou site identique) ………………….. 24
    b.Le Site d’informations ………………………………………………………………… 25
    c.Le site marchand ou e-commerce …………………………………………….. 25
    d.Le site catalogue ………………………………………………………………………….. 25
    e.Le site institutionnel …………………………………………………………………… 25
    f.Le site personnel (page perso) ……………………………………………………. 25
    g.Le site communautaire ………………………………………………………………. 25
    h.Le site intranet …………………………………………………………………………….. 25
    1.5.1.2.Selon la fonctionnalité ……………………………………………………. 25 a.Le site statique …………………………………………………………………………….. 25
    b.Le site dynamique ……………………………………………………………………….. 26
    1.4.3.4. L’hébergement () ………………………………………………………………… 26
    a. L’hébergement gratuit ……………………………………………… 27
    b. L’hébergement mutualisé (mutualized) ………………………. 27
    c. L’hébergement dédié (dedicated) ……………………………….. 28 1.4.3.5. Le référencement du site et promotion ……………………… 28 CHAPITRE II. ETUDE DE L’EXISTANT ……………………………………….. 30
    2.1.L’importance de l’étude de l’existant …………………………………. 30
    2.1.1.Historique de l’Université Pédagogique de Kananga
    « UPKAN »(…………………………………………………………………………………………………………..3
    0
    2.1.2.La situation géographique () ………………………………………………. 31 2.1.3.Organisation fonctionnelle () ……………………………………………… 32
    2.1.4.Organigramme général d’UPKAN.() …………………………………… 33
    2.1.5.L’organigramme spécifique du Département de stage . 33 2.1.6.La mission d’UPKAN et son Département de stage()…….. 34
  3. 2.L’analyse préalable …………………………………………………………………. 34
    2.2.1.Le scenario principal (la communication) ……………………… 34
    2.2.La collection des exigences (besoins) d’utilisateur
    37_Toc84261558
    a.Les besoins fonctionnels ……………………………………………………………. 37
    b.Les besoins non fonctionnels ……………………………………………………. 37
    c.Le schéma directeur du système existant ……………………………… 38
    2.3.L’étude d’opportunité ……………………………………………………………. 38
    2.4.La présentation d’un cahier de charge pour la création
    de ce site web dynamique ……………………………………………………………… 40
    2.4.1.La critique du système existant ……………………………………….. 43 a.Les points forts …………………………………………………………………………….. 43
    b.Les points faibles …………………………………………………………………………. 43
    c.La suggestion des solutions ………………………………………………………. 43
    d.L’étude de faisabilité ………………………………………………………………….. 44 2.5.La spécification du projet ……………………………………………………… 44
  4. 6.La conception globale d’un site web dynamique …………….. 45 Chapitre III. CADRAGE DU PROJET DE LA MISE EN PLACE
    D’UN SITE WEB DYNAMIQUE ………………………………………………………… 46
  5. 1.L’aperçu général d’un projet informatique () ………………………. 46
    3.1.1.Définition ………………………………………………………………………………… 46
    3.1.2.Les atouts d’un projet informatique () ……………………………… 47 3.1.3.Les caractéristiques d’un projet informatique () …………… 48
    a.La nature du projet …………………………………………………………………….. 48
    b.La délimitation d’un projet ………………………………………………………… 49
    c.Les risques d’un projet………………………………………………………………… 49
    d.La gestion du changement ………………………………………………………… 49
    3.1.4.Principaux acteurs dans un projet Informatique ………….. 51
    a.Le maitre d’ouvrage ……………………………………………………………………. 51
    b.Le maitre d’œuvre ………………………………………………………………………… 52
    c.L’équipe du projet ………………………………………………………………………… 52
    d.Les utilisateurs …………………………………………………………………………….. 53 3.2.L’ordonnancement du projet () ………………………………………………. 54
    3.2.1.Présentation des méthodes d’ordonnancement ……………. 55
    1.Le diagramme de GANTT …………………………………………………………… 55
    2.La méthode MPM (METHODE DE POTENTIEL METRA)() …….. 56
    3.Le réseau PERT (Program and Evaluation Review technic) ()
    57
    1.Construction d’un réseau PERT () ……………………………………………… 59
    2.Le traçage d’un graphe du réseau PERT ………………………………. 61 3.Le calcul de la date au plus tôt des tâches dans le graphe
    du réseau PERT ……………………………………………………………………………….. 64
    4.Le calcul de la date au plus tard des tâches dans le
    graphe du réseau PER ……………………………………………………………………. 65
    5.La détermination de chemin critique du projet ………………….. 65 6.La détermination de la durée totale du projet ……………………. 66 7.La détermination de différentes marges d’une tâche dans
    un réseau PERT () ……………………………………………………………………………… 66
    1.La marge totale d’une tâche ……………………………………………………… 66 2.La marge libre d’une tâche ………………………………………………………. 67
    3.La marge certaine d’une tâche ………………………………………………… 67
    Chapitre IV. MODELISATION DU SYSTEME D’INFORMATIONS
    ET IMPLEMENTATION DU SITE …………………………………………………….. 69
    4.1.La modélisation du système d’informations () ………………….. 69
    4.1.1.Définition ……………………………………………………………………………….. 69
    4.1.2.La présentation de la méthode de modélisation
    « UML »………………………………………………………………………………………………………………
    ………………69
    1.Définition……………………………………………………………………………………………………
    ……………..69
    2.Les objectifs de la méthode UML() ……………………………………………. 69
    3.Les étapes de modélisation en UML () ……………………………………… 70
    1.La description textuelle …………………………………………………………….. 70
    1.1.Le scenario nominal (secondaire) ………………………………………… 70
    1.2.L’enchainement alternatif et des erreurs …………………………. 72
    2.L’identification des acteurs ……………………………………………………… 72
    3.L’identification des acteurs et leurs cas d’utilisations ……. 72
    4.La réalisation de cas d’utilisation …………………………………………. 74
    1.Diagramme de cas d’utilisation « use case » ………………………… 74
    2.Diagramme de séquence…………………………………………………………….. 76 DIAGRAMME DE SEQUENCE ………………………………………………………….. 77
    3.Diagrammes de classes ……………………………………………………………… 79 DIAGRAMME D’ACTIVITES () …………………………………………………………… 84
    4.DIAGRAMME DE DEPLOIEMENT ………………………………………………. 85
    4.2.L’IMPLEMENTATION DU SITE WEB DYNAMIQUE ………………. 86
    4.2.1.La présentation du langage de programmation ………….. 86
    4.2.2.La présentation de l’éditeur ……………………………………………… 86
    4.2.3.La présentation de l’interpréteur…………………………………….. 86
    4.3.La présentation de la base de données …………………………….. 87
    4.3.1.Les interfaces (formulaires) du site web ………………………… 90
    4.3.2.Les codes sources. ………………………………………………………………… 90
    CONCLUSION GENERALE ……………………………………………………………….. 95 LES ANNEXES …………………………………………………………………………………… 96 1.Approche pédagogique ………………………………………………………………… 96
    2.BIBLIOGRAPHIE……………………………………………………………………………. 99
    TABLE DES MATIERES …………………………………………………………………. 101