conception et réalisation d’une application web pour la gestion d’une pharmacie. Cas de shalina

conception et réalisation d’une application web pour la gestion d’une pharmacie. Cas de shalina

MBAYA DIANDA Jean bosco

Epigraphe

« Nul ne tiendra devant toi, tant que tu vivras.je serai avec toi, comme j’ai été avec Moise ; je ne te délaisserai point, je ne t’abandonnerai point. »

Josué 1 : 5

 

« N’oublie pas que je t’ai recommandé d’être courageux et fort. Ne tremble pas, ne te laisse pas abattre, car moi, le Seigneur ton Dieu, je serai avec toi partout où tu iras. »

Josué 1 : 9

                                                       Dédicace

 

A mon père DIANDA MUSEKU Joseph et ma mère KAMWANYA KALAMBAY Marie Thérèse, de votre amour, affection, confiance et fidélité de me faire valoriser dans la société, et Dans la poursuite du temps à la vie professionnelle.

A ma Grand-mère KALEGAYI WA DIANDA.

A mon oncle KABAMBA MAKANGA BILL d’avoir m’aidé moralement et financièrement durant notre parcours universitaire.

A ma future chère épouse et mes enfants.

Je dédie ce travail.

 

MBAYA DIANDA Jean bosco

                                                       Remerciements

 

Nos remerciements s’adressent à Dieu, le tout puissant, le maitre de temps et de circonstances, la source de toute l’intelligence, sans qui ce moment merveilleux n’arrivait pas. Ce travail de fin de cycle n’aurait jamais été transformé en réalité sans sa bénédiction.

Nos sincères remerciements à l’ensemble de corps professoral. Ensuite, nous exprimons notre reconnaissance au directeur du travail Professeur Saint-Jean DJUNGU, et son collaborateur Assistant Jonathan Lena, Qui en dépit de leurs multiples occupations nous ont encadré pour nous faire bénéficier de cette connaissance scientifique.

Nos sincères remerciements aux responsables de l’entreprise shalina de marché de la liberté, en particulier au pharmacien Rithon MWAMPETI.

A tous mes frères et sœurs, KASONGA DIANDA Patrick, MUTANDA DIANDA Richard, KALAMBAY DIANDA Oscar, KALENGAY DIANDA Aimée, MBELU DIANDA Laurène, TSHENDENDA DIANDA mervedie. Qui ne m’ont pas laissé par leurs conseils.

A mes amies et connaissances, LABAYA Gracia, CIBANGU  Jean, BUKASA Christian, LUHATA Cedrick, BONDO Yannick, MULUMBA Fabien, KABUYA Alexis, KADIMA Aaron, Colin IWELE, MASENGU KABUYA Giselle, MASUEKO Rabby, Miriam TSHIBOLA, Naomie PEMBA, Clara LUKADI, Dorcas SANGO, Jemima MWANGAZA , Jovannie MPUTU, et tant d’autres.

A vous mes très chers collègues et compagnons de lutte, MBENGA Dieu merci, MUNZEDI Ruphin, TCHAMALA Manassé, NDUMBI Christian, MAYINGA Hénoch, WAKA Elie, NZANZALE Grady, BONGONDA Elie, MUBAKE Fortune, KAYEMBE Medy, HOMBO Héritier.

Nous remercions infiniment tous nos amis, connaissance et toute personne ayant contribuée de près et de loin à la réussite de ce travail.

 

 

 

                             Quelques abréviations utilisées

 

  1. UNIKIN : Université de Kinshasa
  2. RDC : République Démocratique du Congo
  3. MERISE : Méthode d’Etude et de Réalisation Informatique pour le Système
  4. MCC : Modèle Conceptuel de Communication
  5. MCD : Modèle Conceptuel de Données
  6. MOD : Modèle Organisationnel de Données
  7. MCT : Modèle Conceptuel de Traitement
  8. MOT : Modèle Organisationnel de Traitement
  9. MLD : Modèle Logique de Données
  10. MPD         : Modèle Physique de Données
  11. E-A : Entité-Association
  12. BD : Base de Données
  13. DB : Data Base
  14. SI : Système Information
  15. SIO : Système Information Organisationnel
  16. SII : Système d’Information Informatisé
  17. SGBD : Système de Gestion de Base de Données
  18. SGBR : Système de Gestion de Base de données Relationnelles
  19. SGBDOO : Système de Gestion de Base de Données Orienté Objet
  20. FN   : Forme Normale
  21. SE : Système d’Exploitation
  22. MYSQL : My Structured Query Language
  23. SQL : Structured Query Language
  24. HTML : Hyper Text Markup Language
  25. CSS : Cascading Style Sheets
  26. PHP : Personal Home Page

 

                        Liste de figures et tableaux utilisées

 Figures

Figure I.1     : Organigramme de l’entreprise Shalina

Figure I.2     : Organigramme spécifique

Figure I.3     : Présentation des moyens humains

Figure I.4     : Circulation des produits depuis le fournisseur

Figure II.5    : Graphe de couverture minimale

Figure II.6    : Modèle conceptuel de données

Figure II.7    : Modèle conceptuel de données

Figure II.8    : Modèle organisationnel de données

Figure II.9    : Modèle organisationnel de traitement

Figure II.10  : Modèle logique de données

Figure III.11 : Système de gestion de base de données

Figure III.12 : SGBD Hiérarchique

Figure III.13 : SGBD Relationnel

Figure III.14 : SGBDOO

Figure III.15 : Présentation de relations entre tables

Figure III.16 : Présentation de l’environnement Visuel studio code

Figure III.17 : Présentation de Wampserver

Figure IV.18 : Présentation de formulaire d’ouverture

Figure IV.19 : Présentation de formulaire d’authentification

Figure IV.20 : Présentation de formulaire login

Figure IV.21 : Présentation de formulaire d’accueil administration

Figure IV.22 : Présentation de formulaire de stock produit

Figure IV.23 : Présentation de formulaire de menu principal

Figure IV.24 : Présentation de formulaire d’accueil client

Figure IV.25 : Présentation de formulaire d’accueil produit

Figure IV.26 : Présentation de formulaire de commande

Figure IV.27 : Présentation de formulaire d’état de sortie

 

 Tableau

Tableau I.1   : Description de documents.

Tableau I.2   : Présentation de moyens matériels

Tableau I.3  : Description de moyens matériels

Tableau II.4 : Tableau de dictionnaire de données

 

 

                                    INTRODUCTION GENERAL

 

1. Généralités

Actuellement dans le monde, vu l’évolution de la technologie de l’information, l’informatique est devenu un élément indispensable pour l’évolution de l’univers dont l’homme a toujours cherché à mieux donner et cela à travers plusieurs inventions des différentes machines depuis l’antiquité.

Aujourd’hui l’homme est parvenu au-delà de sa conception à créer le traitement automatique et rationnel des informations à l’aide des programmes enregistrés dans une machine.

Ainsi jusqu’à présent, la machine (ordinateur) reste le moyen le plus sûr pour le traitement et la sauvegarde de l’information. Cette invention a permis d’informatiser le système de gestion des données des entreprises, ce qui est la partie essentielle dans leur développement aujourd’hui. Les pharmacies hospitalières et celles de dispensaires publiques font partie des établissements que l’informatique pourra beaucoup aider.

D’où c’est avec ce même moyen de traitement que nous allons concevoir et réaliser une application web pour la gestion de pharmacie.

En effet, la croissance du nombre des médicaments hospitaliers nécessite la mise en place d’une gestion rationnelle, efficace et rapide. Et jusqu’à ce jour la gestion manuelle est encore la plus dominante.

Nous remarquons ainsi la mauvaise organisation du travail dans la pharmacie lors de la recherche d’une information ou lors de la création des statistiques, l’information n’est pas toujours précise et disponible, d’où la nécessité d’introduire l’informatique dans la pharmacie.

Vu cet état de fait, notre projet a pour objet de concevoir et mettre en œuvre une application web interactive, fiable, conviviale, et facile à intégrer dans l’environnement de travail des pharmacies.

2. Présentation du sujet

Notre sujet s’intitule « Conception et réalisation d’une application web pour la gestion d’une pharmacie »

 

3. Choix et intérêt du sujet

3.1 Choix du sujet

Le choix porte sur ce sujet revêt d’une importance capitale. Ce travail nous permettra d’apporter une certaine amélioration dans le fonctionnement du service concerné, afin de réduire certaines erreurs ayant trait à la gestion de la pharmacie. C’est-à-dire, suivre toute procédure effectuée enfin de pouvoir édité automatiquement le résultat.

3.2 Intérêt du sujet

Ce travail peut y avoir plusieurs intérêts, mais nous en cherchons de quoi en tiré profit.

3.2.1 Intérêt personnel

Ce sujet nous a permis d’approfondir les méthodes et techniques de recherche étudié.

3.2.2 Intérêt académique et scientifique

Le travail scientifique est une activité obligatoire à la fin du cycle terminal pour tout étudiant à la recherche du grade académique.

Ce travail a été pour nous l’occasion d’approfondir les théories acquises sur la gestion des services et pourra aider d’autres chercheurs qui traiteront ce sujet sous d’autres dimensions et vont s’en inspirer, et éventuellement nous compléter pour une meilleure évolution scientifique. En tout état de cause, ce travail restera, nous osons l’espérer, une référence académique pour les générations futures.

3.2.3 Intérêt Social

Notre enquête aidera l’entreprise SHALINA ainsi qu’autres entreprises commerciales d’identifier leurs points forts et leurs points faibles dans la gestion de leurs services.

4. Problématique et hypothèse

4.1 Problématique

La problématique est l’ensemble des questions précises et concises que l’on pose au sujet de la recherche. De ce fait, notre préoccupation majeure et d’analyser la gestion de pharmacie.

De notre investigation, nous avons relevé la problématique ci-après :

  • L’ordinateur pourrait-il prendre en charge la gestion journalière, semestrielle,

trimestrielle et annuelle ?

  • Peut-on établir une liste de produits journalière ?
  • Comment pourrions-nous éviter les attroupements des clients pour les commandes et livraisons des produits ?
  • Peut-on calculer automatiquement les prix des médicaments selon le type d’achat ?
  • Peut-on enregistrer et imprimer automatiquement des factures pour les clients ?

 

4.2 Hypothèse

De tout ce qui précède dans la problématique, nous proposons une solution informatisée pour pallier les problèmes qui se trouvent au sein de l’entreprise SHALINA.

La réalisation d’une application web pour la gestion de pharmacie au sein de l’entreprise SHALINA pourrait être une meilleure solution et permettra :

  • D’éviter les attroupements des clients lors des livraisons ou des commandes ;
  • D’établir la liste de produits journalières ;
  • De Calculer automatiquement les prix des médicaments selon le type d’achat ;
  • D’enregistrer et imprimer automatiquement des factures pour les clients ;
  • D’obtenir les statistiques des ventes périodiques, journalières, mensuelles, trimestrielles et annuelles.

Les performances du système que nous proposons constituent une garantie pour la gestion des (ventes, produits, stocks).

5. Délimitation du sujet

Notre travail a été délimité juste pour mieux situer l’objet de notre étude.

5.1 Délimitation dans le temps

Dans le temps, nous avons mené nos recherches à partir de l’année 2021 jusqu’en 2022.

 

 

5.2 Délimitation dans l’espace

Notre étude n’a pas couvert toutes les dépôts pharmaceutiques SHALINA, vu le temps imparti, ainsi donc nous avons préféré de fréquenté le dépôt pharmaceutique SHALINA qui est situé sur l’avenue action n°9 et n°10 dans la commune de la Gombe.

6. Méthodes et techniques utilisées

Tout travail scientifique demande l’utilisation des procédés méthodologiques pour atteindre un objectif visé.

Les méthodes et techniques sont choisies en fonction de plusieurs facteurs notamment les moyens dont disposent le chercheur, Le contenu et l’étendue de son travail et surtout du sujet abordé.

6.1 Méthodes

La méthode est un système ou l’ensemble de procédés utilisés dont le but d’obtenir un certain résultat dans les domaines scientifiques ou techniques.

En vue d’une bonne étude de notre travail nous avons utilisés les méthodes ci-après :

6.1.1 Méthode Analytique

Cette méthode nous a aidés à analyser en détail les systèmes et les réalités journalières au sein de l’entreprise SHALINA.

6.1.2 Méthode Historique

Cette méthode nous a permis d’obtenir les informations passées pour représenter l’entreprise SHALINA.

6.1.3 Méthode Merise

Méthode Merise constitue l’une des méthodes les plus employées pour l’analyse, la conception et la gestion de projets informatiques d’entreprises.

Le développement ou l’analyse se font sur une suite d’activités requise selon une méthode ou une démarche afin d’aboutir à sa réalisation complète.

La méthode MERISE qui signifie méthode d’étude et de réalisation informatique pour les systèmes, est une méthode de modélisation de données et de traitements orientés bases de données relationnelles. Elle est aussi une méthode d’analyse et de réalisation des systèmes d’information qui est élaboré en plusieurs étapes : schéma directeur, étude préalable, étude détaillé et la réalisation.

La méthode MERISE se caractérise par :

  • Une approche systémique en ayant une de l’entreprise en termes de systèmes ;
  • Une séparation des données (le côté statique) et des traitements (le côté dynamique) ;
  • Une approche par niveaux.

6.2 Techniques

La technique de la recherche est une arme, un outil, un instrument dont se servent les chercheurs en vue de leurs permettre d’appliquer et d’expliquer les méthodes qu’ils auront préablement choisies.

Ainsi nous avons utilisé les techniques ci-après :

6.2.1 Technique d’interview (entretient)

Cette technique nous a permis d’entrer en contact de manière personnelle avec les responsables de la pharmacie SHALINA pour la collecte des informations relatives par rapport à notre sujet.

6.2.2 Technique d’observation

Cette technique nous a permis de suivre personnellement les phénomènes qui font l’objet des études, nous avons procédé à une observation attentive de leur mode de fonctionnement, analysé les documents dont la pharmacie se sert pour la conservation des données.

Cette observation nous a permis de comprendre leur mode de fonctionnement manuel et de nous imaginer une automatisation sans toutefois changer radicalement leurs habitudes de travail.

6.2.3 Technique de documentation

Cette technique nous a permis de consultés différents livres, tutoriels, mémoires, travails de fin de cycle ainsi que des sites web. Au cours du développement les problèmes surviennent vite, nous avons fait recours aux forums de discussion pour poser nos questions.

7. Difficultés rencontrés

Dans tout travail scientifique, les difficultés sont toujours certaines car le chercheur est celui qui livre les données, ne s’entendent presque toujours pas.

 

Ainsi pour notre recherche, nous avons eu comme difficultés :

  • Le temps imparti insuffisant ;
  • Les difficultés d’accès aux données en rapport avec notre sujet.

8. Subdivision du travail

Pour bien mener à réaliser notre étude, le travail est subdivisé de la manière suivante :

  • Après une introduction générale, nous avons parlé de l’étude d’opportunité au chapitre I ;
  • Au chapitre II, nous avons parlé sur la conception de système informatique organisationnel ;
  • Au chapitre III, nous avons parlé aussi sur la conception de système informatique informatisé ;
  • Le chapitre IV a porté sur la réalisation du logiciel et nous avons terminé notre travail par une conclusion générale et quelques suggestions.

 

 

CHAPITRE I : ETUDE D’OPPORTUNITE

 

I.1 Analyse de l’existant

I.1.1 Présentation de l’entreprise SHALINA
I.1.1.1 Historique

Le dépôt pharmaceutique SHALINA a été créé après l’indépendance par Monsieur SHIRAZVIRJI un médecin français, engagé à promouvoir des soins et traiter les patients pour l’amélioration de santé du peuple congolais.

SHALINA pharmacie est un leader du marché dans la fabrication des produits de santé de qualité abordables et disponibles dans toute l’Afrique. L’histoire de SHALINA a commencée en République démocratique du Congo (RDC). Lorsque SHALINA a commencée, un vide énorme existait où mène les médicaments essentiels n’étaient pas disponible à n’importe quel prix. Voyant cette lacune flagrante sur le marché, SHALINA à travailler dur pour développer sa gamme des produits qui couvre aujourd’hui plus de 250 produits pharmaceutiques, notamment une gamme des produits de consommation dans les segments d’hygiène, des soins dentaires, des soins de la douleur et des soins de la peau, une gamme des produits génériques et de marque.

SHALINA est la société pharmaceutique numéro un en République Démocratique du Congo (RDC) et elle a maintenant 19 points  de distribution  à travers toute l’étendue de la RDC couvrant les principales provinces notamment, la ville province de Kinshasa, la province de Lubumbashi, Bukavu, Butembo, Bunia, Goma, Uvira, Likasi, Kolwezi, Lomami, Kisangani, Matadi, Kikwit, Mbandaka et la province de Bumba.

I.1.1.2   Situation Géographique

 

L’entreprise SHALINA se situe dans la commune de Masina sur l’avenue bolenge N°13092 dans le district de tshangu à Kinshasa

Heure d’ouverture : lundi au vendredi : 8h – 15h, samedi : 8h – 13h et Dimanche : fermé

 

 

I.1.2 Objectifs et activités de l’entreprise SHALINA
I.1.2.1 Objectifs

L’objectif de toute entreprise étant qu’entité est unité économique est de satisfaire un besoin et portant d’assurer la survie par la réalisation d’un profit. L’entreprise est une organisation à laquelle participe différents groupe d’intérêts poursuivant chacun les objectifs différents parfois contradictoires.

Il existe dans chaque entreprise une stratégie qui est un ensemble des politiques de base à long terme de l’entreprise par l’objectif il faut attendre ce que l’entreprise peut devenir ou ce que qu’elle veut accomplir c’est-à-dire son poursuit. D’où l’entreprise SHALINA étant qu’organisation poursuit plusieurs objectifs qui lui sont propres notamment ; le profit, la survie, la puissance, le bien social du personnel, le contrôle d’une part de marché donné.

I.1.2.2 Activités

Le dépôt pharmaceutique SHALINA a comme activités :

  • Vente des produits pharmaceutiques ;
  • Fabrication des produits pharmaceutiques ;  Distributions des produits pharmaceutiques ;  Livraison des produits pharmaceutiques.

 

 

I.1.3 Organigramme général de l’entreprise SHALINA

 

 

 

 

Figure I.1 : Organigramme de l’entreprise SHALINA

 

Source/ Pharmacien SHALINA

 

 

 

 

 

 

 

I.1.4 Organigramme spécifique

 

 

 

Figure I.2 : Organigramme spécifique

 

I.1.5 Etudes de structures et des postes

Un poste de travail est défini comme une entité qui exerce une activité au sein d’un service où de département.

D’où l’étude porte sur :

 Le but à quoi servir le poste, quelles sont ses relations avec les autres postes,

C’est à ce niveau qu’on détermine la dénomination du poste, la position dans l’organigramme, du lieu de travail, etc.

 Manager général

Celle-ci dirige et coordonne les activités de tous les autres services, il est le garant de l’entreprise.

Cette fonction organise et surveille toutes les opérations pharmaceutiques de l’entreprise et les personnels concernées et elle à quatre directions : direction de comptabilité général, direction de dépôt pharmaceutique, direction de marketing et la direction des affaires règlementaires.

  • Direction de comptabilité générale

Elle s’occupe de toute la situation comptable et fiscale de l’entreprise.

  • Direction de dépôt pharmaceutique

Celle-ci gère tous les produits de l’entreprise, elle a trois sous cellule à savoir :

(Pharmacien responsable, Pharmacien assistant et le personnel)

  • Pharmacien responsable : le pharmacien responsable a de nombreuses responsabilités telles que la qualité, la pharmacovigilance et la promotion des produits de santé, car c’est à lui que revient la responsabilité de vérifier le bon usage des médicaments auprès de la population.
  • Pharmacien assistant : il a pour rôle de réceptionner les médicaments à la livraison, procéder à la vérification des dates de péremption, classer les médicaments sur les rayons selon l’ordre adopté, délivrer et dispenser les médicaments et préparer les réquisitions.
  • Personnel : en qualité d’expert en produits pharmaceutiques, il doit être à l’écoute de ses clients, répondre à toutes leurs questions concernant le traitement médical, leur ordonnance et leurs médicaments.

 

Le pharmacien responsable et le pharmacien assistant sont en relation avec la cellule de personnel d’appoint, ensuite le personnel d’appoint à ces sous cellules à savoir : la facturation et la manutention.

  • Le personnel d’appoint : ces sont des agents d’exécution, c’est-à-dire qu’ils ont comme tache d’aider en apportant leur appui pour permettre aux agents de bien accomplir leurs taches. Elle a deux sous cellules :
  • La facturation : La facturation est totalement informatisée grâce à un logiciel lav. L’entreprise a mis à la disposition de ses services les ordinateurs performants pour assurer un service rapide et fiable bénéficiant directement à sa clientèle.
  • La manutention, qui a pour mission principales d’effectuer des opérations de manutention à savoir stocker, ranger ou encore déplacer des marchandises et produits à l’intérieur d’un entrepôt.
  • Direction de marketing

Cette direction a une cellule qui est :

 Equipe de marketing

Elle a pour mission :

  • D’élaborer un plan marketing ;
  • De définir la stratégie commerciale de l’entreprise ;
  • D’analyser les ventes et définir les objectifs à atteindre ;
  • De déterminer les moyens commerciaux et stratégiques à mettre en place.

 

  • Direction des affaires règlementaires

Cette direction réalise toutes les activités liées à l’enregistrement et au maintien des autorisations de mise sur le marché de médicament et à leur accès au marché dans le respect de la règlementation.

I.1.5 Etudes de documents

Dans le travail de recherche scientifique l’étude des documents a une grande importance car elle permet l’analyse des documents utilisés au sein d’une entreprise. Cette étape est très importante dans notre étude, car par l’étude des documents nous pouvons directement déterminer si le système de traitement est informatisé ou manuel. On y rencontre comme document :

  • Facture,
  • Bon de commandes,
  • Bon de livraisons,
  • Registre des entrées-sorties.

 

 Descriptions de documents

 

DESIGNATION                      ROLE
1 Facture Une pièce comptable utilisée pour détailler la quantité, la nature et le prix des services consommés par le client au sein de la pharmacie.
2 Bon de commandes Sert à confirmer une commande, une fois signé, il engage le fournisseur à livrer les produits commandés, et l’acheteur à réceptionner la commande ainsi qu’à la payer.
3 Bon de livraisons il accompagne la livraison de la marchandise
4 Registre des entrées et sorties utiliser pour l’enregistrement des entrées et des sorties dans le stock.

 

Tableau I.1 : Description de documents

 

 

I.1.6 Présentation de moyens utilisés

a. Moyens humains

 

Cette analyse représente ainsi l’ensemble de toutes les facultés dont dispose un corps humain pour pouvoir réaliser un travail.

 

POSTES NOMBRE DE PERSONNES NIVEAU D’ETUDE
Caisse                    1 Gradué
Facture                    1 Licencié
Livraison                    1 Gradué

 

Tableau I.2 Présentation des moyens humains

 

b. Moyens matériels

 

Cette analyse est aussi nécessaire pour mieux comprendre avec quels matériels se fait le traitement des informations.

Dans    la         pharmacie       plus     précisément    dans le         service            de        traitement       et d’approvisionnement, les matériels utilisés sont :

  • Ordinateurs fixes ;
  • Imprimantes ;
  • Photocopieuses ;
  • Ecrans ;
  • Climatiseurs ;
  • Des stylos, des papiers duplicateurs, agrafes, agrafeuse ; ficelles ;
  • Et autres ;

 

 

 

 

 Descriptions de matériels

DESIGNATION MARQUE QUANTITE          ROLE
Ordinateur fixe       HP logiciel lav                4  Utiliser pour la gérer le système de la pharmacie.
 

Imprimante

 

HP/ laser jet

               10 Utiliser pour faire l’impression des documents au sein de l’entreprise
 

Photocopieuse

 

HP

                  4 Utiliser pour photocopier les documents
 

Ecrans

 

LG

 

2

Utiliser pour les publicités de produits
Stylos     SHALINA       Plusieurs
Climatiseur        LG          4

 

Tableau I.3 : descriptions de matériels

I.1.8 Modèle conceptuel de communication

a. Introduction

Le modèle conceptuel de communication(MCC) appelé aussi modèle des acteurs ou modèle de flux représente au niveau conceptuel, les échanges ou le flux d’information entre les acteurs.

Le MCC est utilisé dans l’étude de l’existant (la modélisation des habitudes de travail dans l’organisation concernée). Les étapes pour construire un modèle conceptuel de communication sont :

  • Délimiter le domaine étudié ;
  • Réduire la complexité par subdivision en sous problème ;
  • Identification des acteurs internes et externes ;
  • Modélisation des échanges de l’information entre les différents acteurs.
    • Acteur : l’acteur présente une unité active (fait quelque chose) intervenant dans le fonctionnement d’un système, c’est un rôle plutôt qu’une personne physique.
    • Flux d’information : le flux d’information constitue l’ensemble d’informations circulant dans l’entreprise ou l’ensemble d’informations échangées entre département et environnement extérieur. Dans la pratique le flux d’information est représenté sous forme de document ou autre support d’information.

b. Le flux entre services

 

 

 

Figure I.3 : Flux entre services

 

  1. Personnels-Administration
  2. Administration-Approvisionnement
  3. Approvisionnement-Administration
  4. Administration-Personnels
  5. Personnels-Ventes

 

 

 

 

C. Narration de la circulation des informations

En cas de pénurie pour ce qui concerne le stock, le personnel signal au département d’administration et ce dernier fait une demande au service d’approvisionnement. La demande sera portée sur le nom et la quantité des produits qui manquent, ensuite le service d’approvisionnement envoie les nombres de produits pharmaceutiques fournis au département d’administration. Et enfin ce même département envoie les produits pharmaceutiques nécessaires au personnel pour la bonne vente des médicaments.

I.1.9 ETUDE DU SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS

 

L’analyse de schéma de circulation des informations (circuit) est l’une des méthodes utilisées pour représenter ou analyser les flux d’information entre services. C’est la partie la plus essentielle au niveau de l’analyse de l’existant. Voici de quelle manière les informations sont échangées au sein de l’entreprise SHALINA entre poste de travail :

 

 

Figure I.3 Circulation des produits depuis le fournisseur

(Dépôt légal) jusqu’à la salle de vente.

Tout produit qui vient du dépôt légal (fournisseur) passe obligatoirement par le service d’acquisition, ce dernier l’achemine vers le service de traitement avant de le stocker dans le magasin. Le médicament une fois traité (contrôlé) est envoyé au Gérant de la pharmacie (vendeur du jour) qui l’apprête à la salle de vente. Le service de traitement envoie les résultats de son travail, c’est-à-dire le fichier qui décrit la totalité des bons produits reçus et leurs nombres ; et le service de communication qui propose aux clients dans la salle de vente.

I.2 CRITIOUE DE L’EXISTANT

I.2.1 Introduction

Le but de la critique de l’existant est de recenser les points forts et faibles du système existant ; dans ce cas l’analyste procède à une critique objective du système existant.

  • Les points forts : Du point de vue social, les objectifs poursuivis par l’entreprise sont bons en apportant au peuple congolais un meilleur soin de santé.
  • Les points faibles : l’anomalie que nous avons constatée dans l’entreprise est que tous les ordinateurs fonctionnent en monoposte, donc s’il faut partager un dossier, il faut effectuer un déplacement physique vers le bureau suscitant le besoin de la ressource, le manque de l’internet au sein de l’entreprise.
I.2.2 Critique du schéma de circulation des informations

Le schéma de circulation des informations est complexe compte tenu des services qui nécessitent l’intégration d’outils informatiques.

I.2.3 Critique des documents

Dans le cadre d’utilisations des documents, le dépôt pharmaceutique shalina utilise des documents complets pour sa gestion, car tout leur système est informatisé.

Dans ce point de vue, nous n’aurons pas à donner les points négatifs sur l’utilisation des documents, de notre part nous avons pu constater que l’entreprise à bien structuré ces documents, des toutes les façons nous pouvons leurs augmenter une idée selon laquelle l’entreprise doit concevoir un document qui va gérer toute sa clientèle avant d’appliquer la méthode informatique que nous allons leurs ajouter.

I.2 .4 Critique des moyens

A. Critique sur les moyens humains

Les postes étant souvent surchargés, les personnes responsables ont du mal à s’acquitter de leurs taches en temps voulu ce qui freine la bonne marche de l’entreprise.

Le gestionnaire des stocks et son assistant regroupent aussi la fonction achat (lancement de commandes) que la fonction approvisionnement à laquelle s’ajoutent le suivi et réception des commandes ainsi que le calcul des frais variables .il s’occupe aussi des frais variables et d’approvisionnement des autres pays du district.

B. Critique sur les moyens matériels

Le problème que nous avons noté au niveau de la pharmacie est le manque d’entretien de matériels. Nous proposons que l’entreprise puisse engager une personne pour la bonne suivie des matériels.

I.3 PROPOSITION DES SOLUTIONS ET CHOIX DE LA MEILLEURE

                                                       SOLUTION

I.3.1 Proposition des solutions
  1. Solution manuelle

Dans notre cas, la solution manuelle ne pas intéressante, car l’entreprise a un système de gestion informatisée, tous ces documents sont informatisés grâce à un système Microsoft lav.

B. Solution informatique sans modification de structure

Cette solution permet de confier à l’ordinateur tout ce qui se faisait manuellement en suivant la structure de l’entreprise. D’où le cas de notre travail, l’entreprise à un système totalement informatisé, nous nous inspirons de leurs mode de traitements des données.

C. Solution informatique avec modification de structure

Cette solution permet de confier à l’ordinateur tout ce qui se faisait manuellement après une validation de l’étude. Cette solution présente des avantages mais aussi des désavantages.

  • Avantages
    • Fiabilités des données et résultats ;
    • Rapidité dans le traitement des informations ;
    • Une consultation rapide ;
    • Sécurité des informations ;
    • Souplesse dans l’exécution des tâches.
  • Inconvénients
    • Solution couteuse dans l’acquisition des matériels ;
    • Maintenance des matériels et logiciels couteux

 

I.3.2 CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION

 

Vues les solutions proposées ci haut et étant donné que l’évolution technologique du traitement de l’information nous oriente à rendre plus performant le traitement de données, nous optons la solution informatique sans modification de la structure.

La dite solution consiste en la création d’une application assurant la liste non exhaustive de fonctionnalités suivantes :

  • D’éviter les attroupements des clients lors des livraisons ou des commandes ;
  • D’obtenir les listes des ventes journalières ;
  • Calculer automatiquement les prix des médicaments selon le type d’achat ;
  • Enregistrer et imprimer automatiquement des factures pour les clients ;
  • Fournir des statistiques des ventes effectuées quotidiennement et mensuellement ;

 

 

CHAPITRE II : CONCEPTION DU SYSTEME D’INFORMATION

                                                     ORGANISATIONNEL (SIO)

 

II.1 Modèle Conceptuel des Données (MCD)

II.1.1 Introduction

Le Modèle Conceptuel des Données (MCD) est un diagramme entitéassociation qui permet de modéliser le système d’information sans prendre en compte des détails liés à sa mise en œuvre physique. C’est-à-dire ses aspects physiques et organisationnels.

Le MCD a pour but de décrire de façons formelles les données qui seront utilisées par le système d’information. Il s’agit de représenter les données facilement compréhensible, le formalisme adopté par la méthode MERISE pour réaliser notre travail est basé sur les concepts « Entité-Association ». En plus à ce niveau conceptuel, on répond à la question quoi faire ?

Quelques concepts de bases

 Recensement des entités et relations

Pour le cas de notre travail, nous avons recensé les entités suivantes :

  • Client ;
  • Ordonnance ;
  • Pharmacien ; – Produit ;
  • Fournisseur ;

Les relations recensées sont :

  • Amener : relie le client et l’ordonnance
  • Recevoir : relie le pharmacien et l’ordonnance
  • Acheter : relie le client et le produit
  • Vendre : relie le pharmacien et le produit
  • Fournir : relie le fournisseur et le produit
II.1.2 Dictionnaire des données

Le dictionnaire de données est un document qui permet de recenser, de classer et de trier les informations (les données) collectées lors de l’étude des documents.

 

Entités (objet)

 

Attribut

 

Type

 

Taille

 

Pharmacien

Id_pharmacien

Nom_pharmacien

Postnom_pharmacien

Prenom_pharmacien

Téléphone

Email

Entier

Ch de caractère

Ch de caractère

Ch de caractère

Ch de caractère

Ch de caractère

50

50

50

50

20

50

 

Client

Id_client

Nom_client

Postnom_client

Prénom_client

Age

Sexe

Téléphone

 

 

Entier

Ch de caractère

Ch de caractère

Ch de caractère

Ch de caractère

Chaine             de

caractères

Chaine             de

caractères

 

50

50

50

40

10

10

20

50

Ordonnance Id_ordonnance Entier 50
Libelle Ch de caractère 50
 

Produit

 

 

Id_produit

Stock_produit

Quantité_produit

Prix_produit

Date

Type_produit

 

Entier

Ch de caractère

Entier

Ch de caractère

Date

Ch de caractère

 

 

 

50

40

50

50

 

50

 

 

Fournisseur

 

 

 

Id_fournisseur

Nom_fournisseur

Adresse

Téléphone

Email

 

 

Entier

Ch de caractère

Ch de caractère

Ch de caractère Ch de caractère

 

 

50

50

40

20

50

 

 

 

Tableau II.4 : Tableau de Dictionnaire de données

 

II.1.3 Graphe de couverture minimale

 

En présentant tous les attributs et toutes les dépendances fonctionnelles directes entre eux, nous obtenons un réseau appelé « Graphe de couverture minimale ».

Dans notre exemple sur les clients, l’ordonnance et les produits. Ce graphe est donné

sur la figure suivante

 

 

Nom_client           adresse_client                             quantité

 

Figure II.5 : Graphe de couverture minimale

 

II.1.4 Schéma Entité-Association

Le modèle Entité-Association permet de décrire un domaine d’application sous la forme d’ensemble d’entités, dotées de propriétés et en association les unes avec les autres, et ces, sans référence aux notions techniques de tables, colonnes ou index.

  • Entité : c’est un objet concret ou abstrait pourvu d’existence propre et conforme au choix de gestion d’une entreprise. C’est la représentation d’un élément matériel ou immatériel ayant un rôle dans le système que l’on désir décrire

 

  • Relation : une relation entre objets est une association ou un lien perçu dans le réel entre deux ou plusieurs entités. Elle relation est dépourvue d’existence propre.

 

 

 

 

 

Présentation du modèle conceptuel de données (MCD)

 

 

 

Figure II.7 : Modèle conceptuel de données

 

 

 

 

 

 

 

II.2 Modèle Conceptuel des Traitements (MCT)

II.2.1 Introduction

Le Modèle conceptuel de traitement (MCT) est un modèle permettant de représenter de façon schématique l’activité d’un système d’information sans faire référence à des choix organisationnels ou des moyens d’exécutions. C’est-à-dire qu’il permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit pas quand, comment et où ?

Le MCT a pour Objectif de faire la traduction en action des règles de gestion d’un système d’information(SI). Il met en lumière les traitements effectués sur les données indépendamment de toute contrainte à l’organisation.

 

Quelques Concepts de base

  • Processus : le processus constitue un sous-ensemble de l’activité de l’entreprise dont les points d’entrée et sortie sont stables et indépendants de choix d’organisation.
  • Evénement : c’est un stimulus qui provoque une réaction. Il existe les évènements externes (qui déclenchent l’opération) et les évènements internes (qui sont déclenchées par une opération).
  • Synchronisation : l’exécution d’une opération est toujours conditionnée par un ou plusieurs évènements. La synchronisation d’une opération correspond à la condition d’exécution de l’opération. Cette condition correspond se présente sous forme de condition booléenne d’évènement.
  • Opération : une opération est un ensemble d’actions déclencheuses des résultats.
  • Règles ou conditions d’émission de résultat : les règles d’émission de résultat sont de règles qui conditionnent l’émission de résultat par une opération.

 

 

 

 

II.2.2 Présentation du Modèle Conceptuel des Traitements

 

 

Figure II.8 : Modèle conceptuel de traitement

 

II.3 Modèle Organisationnel des Données (MOD)

Le MOD est un modèle qui consiste à préciser les données du (MCD) modèle conceptuel des données qui seront informatisées. Dans le cas où toutes les données de ce modèle sont informatisables, on dit que le MOD est identique au MCD.

 

II.3.1 Formalité

La modélisation organisationnelle des données va prendre en compte des éléments relevant de l’utilisation des ressources de mémorisation :

  • Choix des informations à mémoriser informatiquement.
  • Quantification des informations à mémoriser (volume et durée de vie).
  • Répartition des données informatisée entre unités opérationnelles.

 

  1. Choix des informations à mémoriser : Il s’agit de distinguer, à partir des informations formalisées sur le MCD, celles qui devront être mémorisées informatiquement dans le système d’information informatisé (SII), et les autres.

 

  1. Répartition des données et droits d’accès : On va analyser au niveau du MOD la répartition concrète des données entre les unités opérationnelles de l’entreprise. Dans le cas des données non informatisées, il faudra préciser leur localisation. Dans le cas des données informatisées, on va préciser les droits des différents utilisateurs (les acteurs du MOT). Ces droits peuvent être : lecture, écriture, création et suppression.
  2. Quantification des informations à mémoriser : La quantification prend en compte deux notions : le volume et la durée de vie
    • Le volume : taille et nombre de chaque élément.
    • La durée de vie : statistiques sur le nombre minimum, maximum et moyen d’occurrences concrètes pour chaque entité et chaque association.

 

II.3.2 Présentation du modèle organisationnel des données

 

Dans notre cas, le modèle conceptuel de données(MOD) est égal au modèle organisationnel de données (MOD). Car il n’y a aucune modification des entités, des attributs ni des relations. D’où le MCD=MOD global.

 

Figure II.9 : Modèle Organisationnel de données

 

II.4 Modèle Organisationnel des Traitements

 

Le MOT s’attache à décrire les propriétés des traitements non traitées par le MCD, c’est-à-dire :

  • Le temps ;  Les ressources ;
  • Le lieu.

Le MOT consiste donc à représenter le MCT dans un tableau dont les colonnes sont la durée, le lieu, les responsables et ressources nécessaires à une action.

Le MOT a pour objectifs :

  • Etudier et décrire le fonctionnement du système d’information(SI) ;
  • Répartir l’utilisation des données et des traitements par type de site et type d’acteur ;
  • Représenter la mise en œuvre organisationnelle des activités.
II.4.1 Formalité

Le modèle organisationnel de traitement (MOT) décrit l’organisation applique aux traitements en donnant les informations sures :

  • La chronologie des phases du traitement ;
  • La répartition organisationnelle des phases ;
  • La circulation des informations entre les postes de travail ;
  • Les ressources humaines et techniques utilisées par la phase modélisée. Le MOT s’appuie sur le formalisme du MCT. Il prend en compte les aspects organisationnels des traitements, C’est-à-dire :
  • Les postes de travail (Qui exécute le traitement ?)
  • Le temps (Quand une opération est-elle déclenchée ?)
  • La nature du traitement (comment le traitement est-il réalisé ?)
  • La périodicité des traitements : journalier, hebdomadaire, mensuel, trimestriel, semestriel, annuel.

 

 

 

II.4.2 Présentation du modèle organisationnel des Traitements

Figure II.10 : Modèle Organisationnel de traitement

 

 

CHAPITRE III : CONCEPTION DU SYSTEME D’INFORMATION

                                                        INFORMATISE (SII)

III.1 Modèle logique des données (MLD)

 

Le MLD a pour but d’organiser les données du MCD (Modèle conceptuel des données) soit comme une Base de données(BD) du type relation (les données sont organisées sous formes de tableaux constitués des lignes et des colonnes), soit du type réseau (les données sont organisées sous formes de graphe), soit du type hiérarchique (les données sont organisées sous formes de l’arbre).

Le MLD est obtenu à partir du MCD si on a un MCD établit alors on peut le traduire en diffèrent système logiques.

III.1.1 Prise en compte des besoins des utilisateurs

a. Requêtes

Les requêtes sont les traitements (manipulations ou interrogations ou des questions des données) que l’on peut effectuer sur les bases de données.

Ces requêtes sont :

  • La requête sélection : Une requête Sélection vous permet de ne récupérer que les données souhaitées et vous aide à combiner les données de plusieurs sources de données.
  • La requête Suppression : Pour créer une requête Suppression, cliquez sur l’onglet Créer. Dans le groupe Requêtes, cliquez sur Création de requête.
  • La requête de Création de table : Une requête Création de table récupère les données d’une ou plusieurs tables, puis charge le jeu de résultats dans une nouvelle table.
  • La requête Ajout : Une requête Ajout sélectionne les enregistrements provenant d’une ou plusieurs sources de données et copie les enregistrements sélectionnés dans une table existante.
  • La requête de Mise à jour

 

 

 

La requête d’état de sortie de produits commandés :

  1. Etats

Un état est un document présentant des informations organisées pour leur visualisation ou leur impression. Il n’y a pas de modification ni de mise à jour possible des informations. « Un état est un document imprimé qui liste le contenu d’une ou plusieurs liées ou le résultat d’une requête ».

 

III.1.2 Choix de type de base de données

III.1.2.2 Définition

Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB, database) est un ensemble structuré de données archivées dans des mémoires accessibles à l’ordinateur pour satisfaire un ou plusieurs utilisateurs simultanément en un temps opportun.

Nous définissions la base de données comme étant un ensemble de données structurés, stockés sur un support pour satisfaire aux besoins des utilisateurs. La détermination de la base de données réponde aux trois critères suivants : l’exhaustivité, la non-redondance et la structure.

  • L’exhaustivité implique la présence dans la base de données, de tous renseignements qui ont trait aux applications en question ;
  • La non-redondance implique l’adaptation du mode de stockage des renseignements donné une fois et une seule ;
  • La structure implique l’adaptation du mode de stockage des renseignements aux traitements qui les exploiteront et le mettrons à jour, ainsi qu’au coût de stockage dans l’ordinateur.

NB : la non-redondance absolue est souvent difficile à réaliser.

 

 

 

III.1.2.3 Types de Base de données

 

Il existe de nombreux types de base de données pour une organisation spécifique dépend de la manière dont l’organisation souhaite utiliser les données. Nous énumérons quelques types de base de données :

  • Base de données relationnelle : stocke les informations décomposées et organisées dans des matrices appelées relations ou tables.
  • Base de données hiérarchique : lie les enregistrements dans une structure arborescente ou chaque enregistrement n’a qu’un seul possesseur.
  • Base de données réseau : est une base de données hiérarchique mais permet en plus d’établir des relations transverses.
  • Base de données orientées objet : Stocke les informations groupées sous forme de collection d’objets persistants.
  • Etc ;

NB : Pour la modélisation et la conception de notre application web pour la gestion d’une pharmacie, le choix a été porté sur la base de données relationnelle

 

III.1.3 Règles de passage du MCD global au MLD brut

 

Le passage du MCD au MLD suit les règles suivantes :

  • Les entités (objets) deviennent les tables ;
  • Les propriétés deviennent des attributs ;
  • L’identifiant devient la clé primaire de la table ;
  • Pour les cardinalités du type « père-fils », l’objet fils hérite l’identifiant de l’objet père c’est-à-dire la clé primaire de la table père devient la clé étrangère dans la table fils ;
  • En cas des cardinalités des types « père-père » dans le MCD ; en MLD la relation ou association devient une table qui a comme clé primaire la concaténation de ces deux identifiants, y compris les propriétés de l’association ou relation ;
  • En cas des cardinalités des types « fils-fils », le choix de l’héritage dépendra du concepteur.

 

III.1.4 Vérification et normalisation

 

La normalisation est une technique qui consiste à rendre une base de données plus cohérente et lisible en éliminant les anomalies de la mise à jour ainsi que les redondances qui peuvent apparaitre dans une basse de données.  Cette normalisation se fait au moyen des règles de vérification dites formes Normales.

On distingue en général 6 formes normales mais dans notre travail, nous nous limiterons qu’au 3éme formes normales.

  • Première forme normale (1FN) : Une table est en 1FN si et seulement tous les attributs sont élément et si cette table possède au moins une clé primaire.
  • Deuxième forme normale (2FN) : Une table est en 2FN si elle déjà en 1FN et si tous les attributs sont en DF élémentaire avec la totalité de la clé.
  • Troisième forme normale (3FN) : Une table est en 3FN si elle est déjà en 2FN et si tous ses attributs sont en DF directe avec la clé.

NB : Pour notre cas toutes les tables sont en première forme normale.

L’objet de la normalisation est de diminuer le plus de redondances possibles en respectant les règles suivantes :

  • Supprimer les propriétés sans signification ;
  • Supprimer les attributs (propriété) répétifs ;
  • Tout identifiant d’un objet doit avoir la valeur nulle ou monovaluée.

Les règles de normalisation précitées dans la théorie doivent aussi être respectées.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

III.1.5 Présentation du modèle logique de données validé

 

 

Figure III.11 : Modèle logique de données

 

III.2 Modèle physique de données (MPD)

 

Le modèle physique de données(MPD) est l’étape ultime dans le processus de gestion des données de la méthode MERISE. Toute l’analyse ayant été réalisée en amont, l’essentiel du travail de réflexion ayant été encadré par le modèle conceptuel, de présenter la structure de la base de données. Il peut être donné à un développeur pour qu’il puisse créer la base de données correspondante sur un serveur de base de données quelconque.

L’implémentation des bases de données peut être réalisée de façon optimale.

 

 

 

III.2.1 Définition et rôle

  1. Définition : Le MPD est l’implémentation particulière du modèle logique de données(MLD) par un logiciel.
  2. Rôle : Le MPD permet de préciser les systèmes de stockage employés (implémentation du MLD dans le SGBD retenu).

III.2.2 Description des matériels et logiciels

 

La description des matériels et logiciels est subdiviser en 2 grandes parties suivantes :

 La partie matérielle (Hardware)

Etant analyste, développeur, concepteur, programmeur, le matériel utilisé pour la conception et la réalisation de notre application sur la gestion de la pharmacie c’est l’ordinateur. C’est dernier peut se définir étant comme un ensemble des composants électroniques permettant le traitement automatique des informations.

Comme son nom l’indique (Hardware), c’est une partie visible, touchable ou palpable de l’ordinateur.

Exemple : l’unité centrale, les périphériques, etc.

Il existe plusieurs modèles d’ordinateurs qui diffèrent par leurs formes, leurs capacités, leurs tailles, leurs vitesses, leurs fréquences, le nombre des périphériques et aussi par leurs prix.

Ainsi pour notre cas, nous avons utilisé :

Le modèle d’ordinateur portable (PC) de la marque HP qui a un système d’exploitation (SE) de Windows 10 professionnel 64bits, avec une capacité de disque dur de 300 giga octet (Go) et de 2 Ram (mémoire vive), l’imprimante laser HP, clavier azerty, souris compatible Microsoft ; etc…

 La partie logicielle (Software)

C’est aussi une partie invisible, intouchable ou non palpable, une partie purement intelligente de l’ordinateur. C’est la partie permettant le bon fonctionnement de l’ordinateur sans laquelle, l’ordinateur devient un simple joué.

Nous avons utilisé comme logiciels :

  • Anti-virus : smart-protection Smadav 2022 Rev. 14.6 ;
  • Le logiciel de base : Windows 10 professionnel 64bits ;
  • Le logiciel de développement : Wampserver64, Sybase PowerAMC ;
  • Le logiciel d’application : Microsoft office 2013 ;
  • Adobe Reader 9.0 ;
  • Etc …

III.2.3 Apports du SGBD utilisé

III.2.3.1 Définition

Un système de gestion de base de données (SGBD) est un logiciel qui permet d’interagir avec une base de données. Il permet à un utilisateur de définir des données, de consulter la base ou de la mettre à jour.

Parmi les logiciels les plus connus, on peut citer le plus reconnue et utilisé :

  1. MySQL (My Structured Query Lagunage) : c’est un SGBD relationnel libre (licence GPL et commerciale), simple d’accès et très utilisé pour la réalisation de sites Web dynamiques. Depuis la version 4 MySQL implémentent la plupart des fonctions attendues d’un SGBD relationnel ;
  2. Oracle : c’est un SGBD relationnel (et Relationnel-Objet dans ses dernières versions) très connu pour les applications professionnelles ;
  3. SQL serveur : est un SGBD relationnelle d’une licence commerciale et sa disponibilité sous le système d’exploitation Windows. Ce dernier a comme avantage la performance sous Windows et service web ;
  4. Postegre SQL : c’est un SGBD relationnel et relationnel-objet très puissant qui offre une alternative open-source aux solutions commerciales comme Oracle ou IBM ;
  5. Access : c’est un SGBD relationnel Microsoft, qui offre une interface conviviale permettant de concevoir rapidement des applications de petite envergure ou de réaliser des prototypes à moindre frais.

 

 

FIGURE III.12 : Système de gestion de base de données

III.2.3.2 Avantages

 

  • Meilleure sécurité de contrôle ;
  • Meilleur contrôle de la mise à jour et la maintenance des données ;
  • Temps de développement réduit ;  Duplication aisée des documents ;
  • Et application standards.

 

III.2.3.3 Types de SGBD

 

  • Le SGBD hiérarchique : permet de représenter les données sous forme d’une structure d’arborescente d’enregistrements. Cette structure est conçue avec des pointeurs et détermine le chemin d’accès aux données ;

 

 

Figure III.13   : SGBD hiérarchique

  • Le SGBD réseau : permet la description des données en structure de graphe généralisé, conforme aux normes fixées par le groupe CODASYL en 1971 ;
  • Le SGBD relationnel : celui-ci introduit la notion ensembliste de relations dans la représentation des données. Ces relations sont définies comme des tableaux de données à deux dimensions permettant de se prêter des manipulations formelles (Algèbre relationnel) ;

 

Figure III.14 : SGBD relationnelle

  • Le SGBD objet (SGBDOO), les données sont représentées sous formes d’objet au sens donné par le langage orienté objet pour simplifier les données au (sens habituel) sont enregistrer avec les procédures et fonctions qui permet de les manipuler.

 

Figure III.15 : SGBDOO

Au regard de ce qui précède, nous avons porté notre choix sur le SGBD relationnel du type MYSQL qui est assurément le modèle le plus proche du modèle naturel de l’organisation de l’information.

III.2.4 Règles de passage du MLD validé au MPD

 

Une fois le système d’information analysé et modélisé en modèle conceptuel de données (MCD), et après être passé par le modèle logique de données (MLD), nous arrivons au modèle physique de données (MPD), il s’agit maintenant de créer la base de données correspondante à l’étude entamée. C’est à ce stade seulement que la base de données choisie intervient.

Le passage du MLD au MPD se fait de façon automatique en fonction du SGBD choisi :

  • Les tables deviennent des fichiers
  • Les attributs deviennent de champs ;
  • Une clé d’accès existe pour chaque fichier.

 

 

 

 

 

 

 

III.2.5 Présentation de la structure de la base de données

 

Une base de données est généralement constituée de tables. Une table est une collection cohérente de données.

On représente habituellement une table sous forme de tableau. Une table va ainsi être constituée de lignes qu’on appelle également entrées et de colonnes.

  • TABLE PHARMACIEN

 

  • TABLE CLIENT

 

  • TABLE ORDONNANCE

 

  • TABLE PRODUIT

 

  • TABLE FOURNISSEUR

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

            CHAPITRE IV : REALISATION DU LOGICIEL

 

IV.1 Implémentation de la base de données

IV.1.1 Choix du SGBD

Notre choix est porté sur MySQL car c’est un système de gestion de base de données relationnel le plus utilisé pour les bases de données afin de gérer les contenus. Le serveur MySQL supporte le langage de requête SQL, le langage standard de choix de SGBD modernes.

IV.1.2 Création de la base de données

 

Voici notre figure de la création de la base de données de la pharmacie en mode console :

 

L’affichage de tables de la base de données :

 

 

 

 

 

 

IV.1.3 Création des tables

Nous avons utilisé le mode console

 IV.1.4 Présentation des relations entre tables

 

 

 

Figure IV.16 : Présentation des relations entre tables

 

IV.2 Programmation

La programmation consiste à structurer l’algorithme, le grouper en modules et à définir des conditions d’enchainement des différentes séquences d’instructions. C’est ainsi que, la construction d’un programme doit obéir un minimum des principes.

Un programme informatique est une suite d’instructions fournies à un ordinateur pour lui permettre à exécuter une tâche bien précise.

IV.2.1 Choix et présentation du langage de programmation

IV.2.1.1 Choix du langage de programmation

 

En égard à la multiplicité de langages de programmation étudiés, nous avons jugé utile de concevoir notre application web pour la gestion de l’entreprise SHALINA avec le Html, CSS, PHP et le JavaScript sous Microsoft office 2013.

IV.2.1.2 Présentation du lange de programmation

 

Nous présentons les langages de programmation utilisés durant la conception de notre application

Pour notre application on s’est basé sur deux parties (design et code)

  1. Design : c’est juste une partie contenant la forme ou l’aspect physique de notre application. Cela nous a permis d’utilisé comme langage :
  • Html (HyperText Markup Language) : il a fait son apparition dès 1991 lors du lancement du Web. Son rôle est de gérer et organiser le contenu. C’est donc en HTML que vous écrirez ce qui doit être affiché sur la page : du texte, des liens, des images, Vous direz par exemple : « Ceci est mon titre, ceci est mon menu, voici le texte principal de la page, voici une image à afficher, etc. ».
  • CSS (Cascading Style Sheets, aussi appelées Feuilles de style) : le rôle du CSS est de gérer l’apparence de la page web (agencement, positionnement, décoration, couleurs, taille du texte…). Ce langage est venu compléter le HTML en 1996.
  • Bootstrap : est une collection d’outils utiles à la création du design de sites et d’applications web. C’est un ensemble qui contient des codes Html et CSS ainsi que extensions JavaScript en option.
  1. Code : la partie code nous a permis de communiquer avec la base de donnée et entre interface.
  • PHP : c’est un plug-in pour Apache qui le rend capable de traiter des pages web dynamiques en PHP. En clair, en combinant Apache et PHP, notre ordinateur sera capable de lire des pages web en PHP.
  • JavaScript : est un langage de programmation de scripts principalement employé dans les pages web interactives et à ce titre est une partie essentielle des applications web. Avec les html et CSS, JavaScript est au cœur des utilisés par les développeurs web.

 

 ENVIRONNEMENT ET OUTILS

  • Visuel studio code : C’est une version réduit de l’environnent officiel de développement Microsoft qui se concentre exclusivement sur l’éditeur de code source autonome qui s’exécute sur Windows, MacOs et linux. Le meilleur choix pour JavaScript et les développeurs web etc…

 

 

 

Figure IV.17 Présentation de l’environnement de visuel studio.

 

  • Serveur local Wampserver : est un programme qui fonctionne sous Windows. Ce programme permet d’avoir accès à :
  • MYSQL qui est un système de gestion de base de données relationnelle (SGBDR) fonctionnant sous Windows et Linux. Il fait partie des logiciels de gestion de base de données les plus utilisées au monde, autant par le grand public (applications web principalement) que par des professionnels, en concurrence avec Oracle, Informix et Microsoft SQL Server.

 

 

Figure IV.18 : Présentation de Wampserver

IV.2.3   Présentation des résultats

IV.2.3.1 Principales formulaires

La conception des interfaces de l’application est une étape très importante car toutes les interactions avec le cœur de l’application passent à travers ces interfaces. On doit alors guider l’utilisateur avec les messages d’erreurs et de notification si besoin, ainsi présenter un système complet.

Dans cette partie, nous allons présenter quelques interfaces de l’application répondant aux recommandations ergonomiques de compatibilité, de guidage, de clarté, d’homogénéité et de souplesse. Nous avons choisi l’administration comme utilisateur vu qu’il présente à travers ces interactions la majeure partie des principales fonctionnalités de l’application.

  • FORMULAIRE D’OUVERTURE

Pour accéder au formulaire d’ouverture de l’application, l’utilisateur doit taper dans la barre de recherche d’un navigateur web : localhost/seydou/tb

 

Figure IV.18 : formulaire d’ouverture

 

 

 

 

 

FORMULAIRE D’AUTHENTIFICATION

En cliquant sur se connecter à partir de formulaire ci-haut, le formulaire d’authentification s’ouvre. Ce formulaire permet à l’utilisateur de s’authentifier avec son nom et son mot de passe.

 

Figure IV.19 : Présentation de formulaire d’authentification

  • FORMULAIRE LOGIN

Ce formulaire login permet d’avoir l’accès au formulaire d’accueil d’administration, une fois cliqué sur se connecter sur le formulaire d’ouverture, l’utilisateur doit cliquer sur stock produit pour avoir l’accès au formulaire login

!

Figure IV.20 : présentation de formulaire login

FORMULAIRE D’ACCEUIL D’ADMINISTRATION

 

 

Figure IV.21 : présentation de formulaire d’accueil d’administration

 

  • FORMULAIRE DE STOCK PRODUIT

 

 

Figure IV.22 : Présentation de formulaire de stock produit FORMULAIRE DE MENU PRINCIPAL

 

Figure IV.23 : Présentation de Menu principal

 

  • FORMULAIRE D’ACCEUIL CLIENT

 

Figure IV.24 : présentation de formulaire d’accueil client FORMULAIRE D’ACCEUIL PRODUIT

 

Figure IV.25 : présentation d’accueil de produit

  • FORMULAIRE DE COMMANDE

 

 

 

Figure IV.26 : présentation de formulaire de commande

 

  • FORMULAIRE D’ETAT DE SORTIE

 

 

 

Figure IV.27 : présentation de formulaire d’état de sortie

 

 

 

Quelques codes sources

 

<!DOCTYPE html>

<html lang= »en »>

<head>

<meta charset= »utf-8″>

<meta content= »width=device-width, initial-scale=1.0″ name= »viewport »>

<title>SHALINA PHARMA</title>

<meta content= » » name= »description »>

<meta content= » » name= »keywords »>

<!– Favicons –>

<link href= »assets/img/apple-touch-icon.png » rel= »apple-touch-icon »>

<!– Google Fonts –>

<link href= »https://fonts.googleapis.com/css?family=Open+Sans:300,300i,400,400i,600,

600i,700,700i|Roboto:300,300i,400,400i,500,500i,600,600i,700,700i|Poppins:30

0,300i,400,400i,500,500i,600,600i,700,700i » rel= »stylesheet »>

<!– Vendor CSS Files –>

<link href= »assets/vendor/animate.css/animate.min.css » rel= »stylesheet »>

<link href= »assets/vendor/aos/aos.css » rel= »stylesheet »>

<link href= »assets/vendor/bootstrap/css/bootstrap.min.css » rel= »stylesheet »>

<link href= »assets/vendor/bootstrap-icons/bootstrap-icons.css » rel= »stylesheet »>

<link href= »assets/vendor/boxicons/css/boxicons.min.css » rel= »stylesheet »>

<link href= »assets/vendor/fontawesome-free/css/all.min.css » rel= »stylesheet »>

<link href= »assets/vendor/glightbox/css/glightbox.min.css » rel= »stylesheet »>

<link href= »assets/vendor/swiper/swiper-bundle.min.css » rel= »stylesheet »>

 

<!– Template Main CSS File –>

<link href= »assets/css/style.css » rel= »stylesheet »>

<link rel= »stylesheet » href= »./assets/css/pharma.css »>

  • Template Name : Medicio – v4.2.0
  • Template URL : https://bootstrapmade.com/medicio-free-bootstrap-theme/
  • Author: BootstrapMade.com
  • License : https://bootstrapmade.com/license/

 

</head>

 

<body>

 

<!– ======= Top Bar ======= –>

CONCLUSION GENERALE

 

Nous voici à la fin de notre travail de cycle, qui constitue un couronnement de notre parcours de graduat. Tout au long de ce travail, nous avons présenté les différentes étapes ayant conduit à la mise en œuvre d’une application web dédiée à la gestion de (vente, produit, Stock) au sein de la pharmacie SHALINA à Kinshasa.

Ce travail a pour objectif de concevoir et mettre en œuvre une application web interactive, fiable, conviviale et facile à intégrer dans l’environnement de travail des pharmacies.

Dans le premier chapitre, nous avons parlé de l’étude d’opportunité d’où nous avons représenté l’entreprise pour connaitre les nécessités ou non de l’informatisation, nous avons commencé à recenser les difficultés que rencontres le personnel de la pharmacie afin d’apporter la solution adéquate et spécifier ainsi les besoins.

Dans le deuxième et troisième chapitre, nous avons parlé sur la conception du système organisationnel et informatisé, d’où nous avons utilisé la méthode Merise. Cette méthode nous a permis d’analyser les besoins et la conception de notre application web via les différents modèles de développement.

Pour enfin réaliser l’application, nous avons utilisé les outils tels que le Visuel Studio Code, Wampserver, on se basé sur deux parties (design et code), la première partie Design qui est une partie qui contient la forme ou l’aspect physique de notre application. Cela nous a permis d’utilisé comme langage HTML, CSS et BOOTSRAP, et la deuxième partie Code permet de communiquer avec la base de données et entre interface, Cela nous a permis aussi d’utilisé le PHP et JAVASCRIPT comme langage.

Ce travail a fait l’objet d’une une expérience intéressante très bénéfique pour nous. En effet il nous a permis d’enrichir nos connaissances théoriques et compétences dans le domaine de la conception et de la programmation.  En ajoutant ceci, la mise en application des connaissances acquises tout au long de nos études.

En plus, c’était une bonne occasion pour réaliser un travail concret avec des objectifs clairs et bien définis. Ce travail nous a également permis de nous familiariser avec l’environnement de travail et de la vie professionnelle.

Sur ce, nous ne prétendons pas avoir tout fait, ni avoir tout dit le dernier mot sur ce travail. Toutefois, nous comptons approfondir ce travail dans un avenir très proche et que vos remarques et suggestions seront les bienvenues.

                                                      Bibliographie

 

  1. Ouvrages
    • P, Gestion financière de l’entreprise, paris, Dunod, 1989
    • CYRIL GRUAU, Conception d’une Base de données. 17 octobre

2005/Corrigé 13 juillet 2006

  • MORIESP et PICOTY, Accès 2003, Guidé de formation avec exercices et cas pratique, paris 2004. P90
  1. Notes de cours
    • MVIMBUDULU, Analyse et systèmes de gestion de Base de Données, G2 Informatique, UNIKIN/Sciences 2O19-2O20
    • MBUYI EUGENE, Base de Données, G3 Informatique, UNIKIN/Sciences. Edition 2019-2020
    • KASORO M. Nathanaël, Cours de MAI La méthode MERISE, G3

Informatique/ ISS/KIN 2012-2013

  • Mémoires et travaux de de fin de cycles
    • MUBESALA MABAYA Daniel, Mise en place d’une application clientserveur pour la Gestion de stocks de produits pharmaceutique. Cas SHALINA, TFC G3 Info/Sciences, UNIKIN 2018-2019
    • KUTA job, Conception et réalisation d’une application web pour la gestion des produits cosmétiques. Cas d’héritage cosmétique, TFC G3 Info_ ISIPA/KIN 2013
    • KAZAKA Joël, Mise en place d’une application pour la gestion des mariages dans la commune de Ngaba, TFC G3 Info/Sciences, UNIKIN 2O19-2020
  1. Sites web
    • http : memoireonline, consulté le 13/01/2022
    • http : fr.wikipedia.org, consulté le 20/01/2022
    • http : idéematic.com, consulté le 10/02/2022
    • http : shalina.com, consulté le 13/O2/2022
    • http : cours-gratuit.comm.mcc, consulté le 10/03/2022
    • http :           supinfo-projects.com/fr/2004/concept_bdd/1/,             consulté          le 08/04/2022

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Table des matières

Epigraphe …………………………………………………………………………………………………………………………. 1 Dédicace ………………………………………………………………………………………………………………………………. 2 Remerciements ……………………………………………………………………………………………………………………. 3 Quelques abréviations utilisées ……………………………………………………………………………………………. 4 Liste de figures et tableaux utilisées …………………………………………………………………………………….. 5

INTRODUCTION GENERALE …………………………………………………………………………………………….. 7

  1. Généralités ………………………………………………………………………………………………………………… 7
  2. Présentation du sujet ……………………………………………………………………………………………………….. 7
  3. Choix et intérêt du sujet …………………………………………………………………………………………. 8
  • Choix du sujet …………………………………………………………………………………………………………. 8
  • Intérêt du sujet ………………………………………………………………………………………………………. 8
    • Intérêt personnel ……………………………………………………………………………………………….. 8
    • Intérêt académique et scientifique …………………………………………………………………. 8
    • Intérêt Social ………………………………………………………………………………………………………. 8
  1. Problématique et hypothèse …………………………………………………………………………………. 8
  • Problématique ……………………………………………………………………………………………………….. 8
  • Hypothèse ………………………………………………………………………………………………………………. 9
  1. Délimitation du sujet ………………………………………………………………………………………………. 9
  • Délimitation dans le temps ………………………………………………………………………………….. 9
  • Délimitation dans l’espace …………………………………………………………………………………. 10
  1. Méthodes et techniques utilisées ……………………………………………………………………….. 10

6.1 Méthodes ……………………………………………………………………………………………………………….. 10

  • Méthode Analytique …………………………………………………………………………………………. 10
  • Méthode Historique …………………………………………………………………………………………. 10
  • Méthode Merise ………………………………………………………………………………………………… 10
  • Technique d’interview (entretient) ………………………………………………………………….. 11
  • Technique d’observation ………………………………………………………………………………… 11
  • Technique de documentation ………………………………………………………………………… 11
    1. Difficultés rencontrés …………………………………………………………………………………………… 11
    2. Subdivision du travail …………………………………………………………………………………………… 12 CHAPITRE I : ETUDE D’OPPORTUNITE ……………………………………….. Erreur ! Signet non défini.

I.1 Analyse de l’existant …………………………………………………………………………………………….. 13

I.1.1 Présentation de l’entreprise SHALINA …………………………………………………………. 13

  • Historique ………………………………………………………………………………………………………… 13
  • Situation Géographique ………………………………………………………………………………. 13

I.1.2 Objectifs et activités de l’entreprise SHALINA ……………………………………………. 14

  • Objectifs …………………………………………………………………………………………………………… 14
  • Activités …………………………………………………………………………………………………………… 14
  • Organigramme général de l’entreprise SHALINA …………………………………………. 15
  • Organigramme spécifique ……………………………………………………………………………….. 16
  • Etudes de structures et des postes …………………………………………………………………. 16
  • Etudes de documents ……………………………………………………………………………………….. 18
  • Présentation de moyens utilisés …………………………………………………………………….. 19 a. Moyens humains ……………………………………………………………………………………………………. 19
  1. Moyens matériels…………………………………………………………………………………………………… 19

I.1.8 Modèle conceptuel de communication …………………………………………………………. 20 a. Introduction ……………………………………………………………………………………………………………. 20

  1. Le flux entre services ……………………………………………………………………………………………. 21
  2. Narration de la circulation des informations ………………………………………………….. 22

I.1.9 ETUDE DU SCHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS …………….. 22

I.2 CRITIOUE DE L’EXISTANT ……………………………………………………………………………….. 23

  • ………………………………………………………………………………………………………. 23
  • Critique du schéma de circulation des informations ………………………………… 23
  • Critique des documents ……………………………………………………………………………….. 23
    1. Critique sur les moyens humains ………………………………………………………………………. 23
    2. Critique sur les moyens matériels ……………………………………………………………………… 24

I.3 PROPOSITION DES SOLUTIONS ET CHOIX DE LA MEILLEURE …………….. 24

SOLUTION …………………………………………………………………………………………………………………… 24

I.3.1 Proposition des solutions ………………………………………………………………………………… 24

  1. Solution manuelle ……………………………………………………………………………………………… 24
  2. Solution informatique sans modification de structure …………………………………. 24
  3. Solution informatique avec modification de structure …………………………………. 24

I.3.2 CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION ………………………………………………………. 25 CHAPITRE II : CONCEPTION DU SYSTEME D’INFORMATION ……………………………………… 26

ORGANISATIONNEL (SIO) ………………………………………………………………………………………………. 26 II.1 Modèle Conceptuel des Données (MCD)………………………………………………………….. 26

II.1.1 Introduction ……………………………………………………………………………………………………… 26 II.1.2 Dictionnaire des données ………………………………………………………………………………. 27 II.1.3 Graphe de couverture minimale …………………………………………………………………… 29 II.1.4 Schéma Entité-Association ……………………………………………………………………………. 29 II.2.1 Introduction ……………………………………………………………………………………………………… 31

II.3 Modèle Organisationnel des Données (MOD) ……………………………………………….. 33

II.3.1 Formalité …………………………………………………………………………………………………………… 33 II.3.2 Présentation du modèle organisationnel des données ……………………………. 34 II.4 Modèle Organisationnel des Traitements ……………………………………………………… 35

  • Formalité …………………………………………………………………………………………………………… 35
  • Présentation du modèle organisationnel des Traitements …………………….. 36 CHAPITRE III : CONCEPTION DU SYSTEME D’INFORMATION ……………………………………. 37

INFORMATISE (SII) ………………………………………………………………………………………………………….. 37 III.1 Modèle logique des données (MLD)………………………………………………………………… 37

III.1.1 Prise en compte des besoins des utilisateurs ……………………………………………. 37 a. Requêtes ………………………………………………………………………………………………………………….. 37

  1. Etats………………………………………………………………………………………………………………………. 38 III.1.2 Choix de type de base de données …………………………………………………………… 38 III.1.2.2 Définition ………………………………………………………………………………………………….. 38 III.1.2.3 Types de Base de données ……………………………………………………………………… 39 III.1.3 Règles de passage du MCD global au MLD brut ……………………………………. 39 III.1.4 Vérification et normalisation …………………………………………………………………… 40 III.1.5 Présentation du modèle logique de données validé …………………………….. 41 III.2 Modèle physique de données (MPD) …………………………………………………………… 41 III.2.2 Description des matériels et logiciels …………………………………………………….. 42 III.2.3 Apports du SGBD utilisé …………………………………………………………………………… 43
    • Définition ………………………………………………………………………………………………….. 43
    • Avantages …………………………………………………………………………………………………….. 44 III.2.3.3 Types de SGBD ………………………………………………………………………………………… 44 III.2.4 Règles de passage du MLD validé au MPD ……………………………………………. 45

III.2.5 Présentation de la structure de la base de données ……………………………. 46

CHAPITRE IV : REALISATION DU LOGICIEL …………………………………………………………………. 48 IV.1 Implémentation de la base de données …………………………………………………………. 48 IV.1.1 Choix du SGBD ………………………………………………………………………………………………… 48 IV.1.2 Création de la base de données …………………………………………………………………… 48 IV.1.3 Création des tables …………………………………………………………………………………………. 49 IV.1.4 Présentation des relations entre tables ……………………………………………………… 50 IV.2 Programmation …………………………………………………………………………………………………. 50

IV.2.1 Choix et présentation du langage de programmation …………………………….. 50

IV.2.1.1 Choix du langage de programmation …………………………………………………… 50 IV.2.1.2 Présentation du lange de programmation ………………………………………….. 51 IV.2.3.1 Principales formulaires …………………………………………………………………………. 53 Quelques codes sources ………………………………………………………………………………………… 59 CONCLUSION GENERALE …………………………………………………………………………………… 62 Bibliographie ………………………………………………………………………………………………………….. 63