ENCRAGE INSTRUMENTAL DU LANGAGE DANS LA
TELECOMMUNICATION AFRICAINE TRADITIONNELLE, LE CAS DU PEUPLE SONGYE.
Gauthier NGOYI NTAMBUE, Dhéridia TSHITE MULENDA et Francis KATAMBUE MUKIYA
RESUME
Cette réflexion est conçue dans l’optique de recenser les instruments de musique qui ont concouru à la télécommunication chez le peuple songye, les présenter dans un outil scientifique en vue d’éviter la perte due aux nombreuses interprétations de la tradition orale africaine.
La télécommunication était attestée chez ce peuple depuis longtemps grâce aux instruments de musique.
Il ressort donc que la télécommunication n’est pas une notion abstraite chez ce peuple. La notion de distance communicationnelle était déjà une préoccupation qui avait de solution car, des instruments étaient déjà conçus, soit pour la communication et la musique, soit pour la musique ou soit pour exclusivement la télécommunication.
Cette télécommunication devenait un art, car il n’était pas à n’importe qui de modeler l’instrument afin de véhiculer un message, ni non plus d’en fabriquer.
De manière prouvée, ce peuple était développé en matière ; la communication devenait classique, car elle s’apprenait par initiation. Néanmoins la miniaturisation et modernisation seront vite tranchées par l’occident. Ce qui l’a fragilisé. Le siècle de technologie à la pointe, surtout par l’acculturation l’obligeant à accueillir ce qui est prêt.
INTRODUCTION
Le professeur Cnockaert définit le langage comme : « l’instrument et le support de la créativité artistique grâce aux propriétés sensibles et matérielles : la sonorité des mots, le rythme qu’il permet d’élaborer par le biais des séquences syntaxiques, les images que l’association des mots peut susciter. [1]
Le langage instrumental qui se veut une littérature s’inscrit dans la ligne de production des facultés émotives et imaginatives d’un homme qui s’exprime par le recours aux ressources artistiques du langage.
Ce langage instrumental participe donc à la gratuité de l’art et de l’amour du beau avant d’être fonctionnel.
Le langage instrumental est essentiellement poétique, parce qu’il recourt à la poésie et se définit comme: « art d’évoquer et de suggérer les sensations, les impressions et les émotions les plus vives par l’union intime des sons, des rythmes, des harmonies.[2]
Cette définition est essentiellement lyrique, parce qu’elle considère le langage instrumental comme pouvait s’exprimer aussi par des expressions non littéraires : la musique, le cinéma et la peinture.
0. Définitions des concepts de base
Le langage instrumental est un art d’évoquer et de suggérer les sensations. Le mot télécommunication, instrument et musique qui sont à l’affiche de notre investigation méritent d’être éclairés. Maxi poche et Pierre Larousse les définissent respectivement :
0.1. La télécommunication est perçue comme l’ensemble des moyens de communication à distance.
0.2. L’instrument est un appareil propre à produire des sons musicaux.
0.3. La musique est un art de combiner les sons que produisent les instruments ou la (les) voix humaine (s), c’est aussi une suite des sons agréables à l’oreille.[3]
Les moyens, les techniques ainsi que la combinaison des sons n’ont pas échappé à l’Afrique traditionnelle en général et aux Songye en particulier. Ce dernier en a fait grandement usage et, pour ne pas perdre ce patrimoine culturel de haut niveau qui est en pleine perdition, force nous a été donnée d’en faire un inventaire et un repérage hors-pair en vue de sa conservation dans la tradition écrite dans nos bibliothèques ainsi que nos musées pour les générations futures. C’est dans cette ligne qu’il faut renforcer l’idée ou l’adage devenu courant : « un vieux qui meurt est une bibliothèque qui brûle ».[4]
Des recherches similaires ont été effectuées par des chercheurs comme Maitre Titinga Fréderic PACERE au Burkina Faso et Niangoura BOUAH en Côte d’Ivoire sont pour des théories nouvelles sur le langage tambouriné : la bendrologie pour l’un et la drummologie pour l’autre.
Il importe de signifier que la télécommunication appartient à la littérature orale qui est la plus ancienne et la plus importante, car pratiquée depuis des siècles. Elle se définit comme :
*Pour Gaston CANU, « la littérature orale, par définition est une littérature parlée et non écrite. » (in Contes mossi actuels, éditions IFAN, Dakar, 1969, p.327.)
*Pour ENO BELINGA Samuel Martin, « on peut définir la littérature orale comme, d’une part, l’usage esthétique du langage non écrit et, d’autre part l’ensemble des connaissances et des activités qui s’y rapportent. » (In La
littérature orale africaine, éditions Saint Paul, Paris, 1978, p.7.)
*Pour le Pr. KAM Sié Alain de l’Université de Ouagadougou, « la littérature africaine orale, parlée par essence, est l’ensemble de tout ce qui a été dit généralement de façon esthétique, conservé et transmis verbalement, par un peuple et qui touche la société entière dans tous ses aspects. »
La littérature orale comprend les contes, les épopées, les mythes, les légendes, les chants, les textes sacrés, les proverbes, les devises, les devinettes, et dans ce cadre, la télécommunication.
Son domaine est vague et imprécis et nous assistons de nos jours à des débats qui portent sur l’élargissement du domaine de la littérature orale.
PREMIERE PARTIE : TENTATIVE DE CLASSIFICATION DES INSTRUMENTS
DE TELECOMMUNICATION ET DE MUSIQUE TRADITIONNELS CHEZ LE PEUPLE SONGYE
Ce peuple avant d’accéder à la télécommunication moderne utilisait certains instruments de musique ayant deux tons (bas et haut) sur lesquels le batteur communiquait le message en récitant le nom des concernés ou destinateur, puis suivait le message après comme s’il s’agissait en d’autres cas d’envoyer le message à une centaine des kilomètres, l’instrument n’avait peut-être pas le son pouvant atteindre une distance très éloignée, on trouvait des batteurs dans chaque village qui chaque fois qu’un message venant d’ailleurs était perçu, pouvaient à leur tour les reprendre de façon identique, de village en village jusqu’à sa destination.
En dehors des instruments, en cas de deuil par exemple, le cri servait beaucoup parce que la femme qui pouvait crier, citait au même moment le nom du décédé et suivait par la liste des noms et lieux des concernés ou membres, même la nuit, les passant pouvaient apporter la fameuse nouvelle à la destination.
Cette tâche n’était pas du tout aisé de suite de difficultés entre autres : La mobilisant d’une multitude à véhiculer un même message ;
tout le monde n’étant pas habilité de jouer sur les instruments de musique, la communication lointaine devenait un double domaine d’art (fabrication de l’outil et sa manipulation) et initiatique. Loin de penser à la fabrication de l’outil.
A partir de la télécommunication, on peut faire une classification des instruments de musique suivant le rôle joué par chaque instrument, ainsi nous parlerons de :
1.1.1. Outils (instruments) afférent principalement à la télécommunication ;
1.1.2. Outils (instruments de communication ; 1.1.3. Outils (instruments de musique seulement).
1.1.1. LES OUTILS OU INSTRUMENTS AFFÉRENT PRINCIPALEMENT A LA TÉLÉCOMMUNICATION
De ces instruments, on cite :
Lunkufi [lũku : fi]
Kyondo [kjÕdo] lokolé en langues congolaises non songye comme le lingala.
Mpandaala [pãda : la]
1.1.2. LES INSTRUMENTS DE COMMUNICATION
Il s’agit de la communication selon que ces outils n’ont pas de sons pouvant atteindre une distance éloignée (d’un village à l’autre), mais dans un même village, la communication est assurée, on cite :
- le cor de chasse (kapudi ka bampibwe » [kapudi ka bãpi : bwe]
- le,kidjibu [kidibu] ;
- le grelot (Nkyelebende), [kjelebẽde]
- lubembo [lubẽbo]
1.1.3. LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE SEULEMENT
Ces instruments ont joué un grand rôle dans la musique que dans la téléphonie chez le peuple songye.
Nous avons :
- Esaka [esakɑ]
- Etumba [etũba]
- Kasaashi ka nsele ou dikembe [kasa : ʃi ka sele dikẽbe]
- Kisaashi kikata ou Kindaala [kisa : ʃi kikata, kĩda :la]
- Kitobo (Kadindula) [kitobo] [kadĩdula]
- Luntanta [lũtãta]
- Luyamba [lujãba]
- Mpuita [pwi :ta]
- Mukwasa [mukwa :sɑ]
- Munyenga [muɲeȠa]
Deuxième partie : Présentation et explication des divers instruments traditionnels de communication et de musique songye
2.1.Instruments de télécommunication
2.1.1. LE LUNKUFI (LUNKUMBI)
Description de l’outil :
Comme on peut le voir, l’outil est fabriqué à partir d’une racine d’un arbre spécifique laquelle est trouée et dont la forme est bien atténuée par l’artiste, les deux baguettes servent aux battements ou percussion pour produire des sons.
Le batteur le porte à l’épaule, c’est le pourquoi de l’existence de cette ceinture.
Origine de l’outil :
L’origine de cet instrument est tetela, du nom de « lokombe » et le batteur « Tonda ». Ainsi chez les Songye on l’appellera : « lunkufi », certains « lunkumbi » ; le batteur : « Ntunda ». Morphologiquement,
Fonction de l’outil dans la télécommunication :
Cet instrument a exercé la fonction capitale dans la télécommunication songye. En cas d’urgence, la télécommunication sûre et rapide pouvait être réalisée par le lunkufi de façon que le batteur modelait une récitation du nom du destinataire en syllabes sur les deux tons différents, puis transmet le message toujours en le coupant en syllabes, un batteur à un village proche ayant saisi transmet le message au destinataire s’il est de ce village, dans le cas contraire, il prend aussi son lunkufi et transmet le message par l’intermédiaire. Cela se faisait dans un clin d’œil et le message atteignait sa destination.
Fonction du lunkufi dans la musique :
En musique, cet instrument pouvait aider à la combinaison des sons attrayants et divertissants. Quant aux rythmes, on peut citer quelques-uns connus tels que :
- « bongo nkoyi » : utilisé pour l’intronisation d’un chef coutumier. Exemple : bongo nkoyi, fika, fika. (ce rythme fait connaitre aux gens qu’un candidat est cérémonie d’intronisation coutumière.)
- « kikombe » : pour un grand divertissement d’une danse joyeuse des mélomanes.
- « kasema » : un rythme annonçant ou parlant le pourquoi de la rencontre du jour, il communique le mobile d’une rencontre.
Quelques interdits :
En tant qu’outil africain, le lunkufi a d’énormes interdits parmi lesquels quelques-uns peuvent être retenus :
- N’être jamais posé par terre en position de bas vers le haut
- Celui qui apporte l’argent en récompense du batteur doit l’introduire audedans.
- Le batteur qui retire de l’argent de son instrument doit toujours y laisser un certain montant, jamais y laisser bredouille.
2.1.2. LE KYONDO (lokolé)
Il est un instrument de musique à percussion. Un tronc d’arbre tel le mulela, le mpafu, kipwengyese creusé au-dedans et modelé avec deux baguettes (mishimpo) enduites de caoutchouc. Il a servi presque dans tous les trois groupes d’instruments :
- Télécommunication ; Communication et,
En télécommunication, les méthodes et modalité de transmission du message sont identiques à celle de lunkufi, c’est-à-dire ; on cite le nom du destinataire en deux tons et en syllabes.
En communication, dans un même village, dans le cadre de religion par exemple, on communique aux chrétiens ou on les avise sur l’heure de rendezvous « tentekyesh’Efile, tentekyesh’Efile bakupangile, saa tayilombananga, fwayi milongo mpole mpole. » c’est-à-dire ; souviens-toi du créateur, venez nombreux et rapidement.
Dans le cadre de la musique, on le catégorise en trois :
- Le munkoyi (de grandeur moyenne) ;
- Le mudikadika (petit et d’un ton haut)
- Le kyondo (le gros au ton bas comme le tam-tam)
C’est un instrument de musique à embouchure, c’est-à-dire ; à souffler de l’air avec la bouche. C’est une corne de bête dont le bout est coupé et troué en son milieu où la bouche est mise avec les doigts on bouche parfois comme une flûte et produit un son explosif sur deux tons (bas et haut).
Dans la télécommunication, il était utilisé dans la cour royale quand il fallait communiquer un message émanent de la cour. Il retentissait en deux tons différents. La formule est toujours la même.
Dans la chasse
Le chasseur soufflait pour effrayer les bêtes qui pouvaient s’enfuir en prenant la direction de ceux qui ont les armes.
2.2.LES INSTRUMENTS DE COMMUNICATION CHEZ LES PEUPLES SONGYE
2.2.1. LE COR DE CHASSE
Il est un instrument à embouchure, fabriqué en terre argileuse soit un roseau de « mutondo ou kafungufungu muci».
Il est utilisé sous deux formes :
- Le « kamponde » et,
- Le lusembele
- Kamponde : les chasseurs se communiquent un rendez-vous par cet instrument. Pendant la chasse, le surveillant du chien sonne le cor pour alerter le début, pour appeler un chasseur qui semble être perdu, pour rapprocher le chien trop éloigné. Après ils l’utilisent au retour pour se glorifier. Exemple : « mikuba nsenga pididi, mikuba nsenga pididi, ipula kaleese, ipula kaleese, kwi bintu kuno, kwi bintu kuno. » c’est-à-dire : la terre est gorgée de sang (x2), ôte les feuillages sur le feu, il y a des choses ici (x2).
Remarque : ce langage sifflé, appartenant à un groupe d’individu, on l’entend et ne le comprend pas par certaines techniques et codé. Exemple : « ngaa meema a mukanda » ; de l’encre relative au papier, or il signifie : « les conditions sont favorables pour la chasse » c’est peut-être après pluie.
- Lelusembele : beaucoup plus utilisé pour enthousiasmer les chiens.
2.2.2. LE LUBEMBO
Fabriqué en cuivre, utilisant une baguette sur ce deux (l’un a un son bas et l’autre un son haut), aidant à communiquer. Cet instrument s’utilisait dans la cour royale pour annoncer certaines cérémonies : cas d’intronisation d’un chef ou des jumeaux.
2.3.LES INSTRUMENTS DE MUSIQUE CHEZ LE PEUPLE SONGYE
2.3.1. L’ESAKA
Sur un morceau de calebasse, on a tissé des lianes et on a renfermé quelques graines ou moellons à l’intérieur. Pour produire le son musical, on l’agite tenu par à la main par une manche.
2.3.2. LE TAM-TAM (ETUMBA, en Kisongye)
Un tronc d’arbre creusé sur lequel, une peau est tannée. Selon la grandeur et l’accompagnement, on en distingue trois comme peut suggérer les dessins : (etumba, mutumbi et kibaase).
Bien modelé par les mains, leur vibrations pousse le danseur d’aller jusqu’à terre en dansant.
2.3.3. LA GUITARE (LUSEESE, KISAASHI, KINDAALA)
C’est un instrument à corde pincées.
2.3.4. LE DROUM (KITOBO ou KADINDULA)
C’est une moitié d’une calebasse à laquelle, les cordes pincées sont tirées par les doigts. Pour produire un son retentissant, ce morceau est posé sur un récipient ou vase.
2.3.5. LE LUNTANTA
C’est un roseau flexible auquel une corde est liée et tirant les deux bouts avec une baguette, on tapote sur la corde où la bouche est posée et ouverte avec marmottage, alors un son harmonieux est produit.
2.3.6. LE LUYAMBA
Luyamba est un assemblage des lianes tissées et formant un fon bouché ayant le bras ou manches, avec quelques grains ou moellons à l’intérieur. Son agitation avec des mains produit un son rythmé.
2.3.7. LE LIKEMBE (KASAASHI KA NSELE ou DIKEMBE)
Sur des bois en forme de boite, on lie quelques taillures en long obtenues de rameau de palmier ou raphia. L’instrument est en fin tenu en main pour manipuler avec le pouce en tirant chacune des taillures.
2.3.8. LE MPWITA
C’est une calebasse dont on troue ou entrée, une peau est tannée bien. A celle-ci, un morceau de bambou est attaché à la base de la calebasse, un trou d’une grandeur dépassant un point par où la main trempée dans l’eau entre pour tirer tout en frôlant ce morceau de bambou et produit donc un bruit de basse musicale.
2.3.9. LE MUNYENGA
En fer, l’artiste forgeron a rassemblé les morceaux et les renferme tout en y mettant des grains. Ce petit bois pointu, les mains tiennent en fin pour les secouer avec rythme pour produire un son.
En matière naturelle en boules (fruits troués) traversés par des baguettes en bois dont les grains s’entrechoquant par agitation font du bruit.
2.3.10. LE MUKWASA
Ce sont les deux baguettes frappées l’une à l’autre dans l’accompagnement de n’importe quel instrument. Parfois un seul bâton est percuté sur un instrument.
Les instruments de musique traditionnels songye ont joué des rôles à savoir : de télécommunication, de communication et de musique. Ainsi, un seul pouvait soit remplir plusieurs catégories, soit se retrouver dans une seule.
Certains sont devenus rares et inexploités, les autres sont encore en usage réduit.
Après cet inventaire non exhaustif des instruments de musique, il importe de présenter le bilan.
CONCLUSION
Ce travail qui touche à sa fin par cette note, était conçu dans le cadre de recenser les instruments de musique qui ont concouru à la télécommunication chez le peuple songye, les présenter dans un outil scientifique en vue d’éviter la perte due aux nombreuses interprétations de la tradition orale africaine.
La télécommunication était attestée chez ce peuple depuis longtemps grâce aux instruments de musique.
Il ressort donc que la télécommunication n’est pas une notion abstraite chez ce peuple. La notion de distance communicationnelle était déjà une préoccupation qui avait de solution car, des instruments étaient déjà conçus, soit pour la communication et la musique, soit pour la musique ou soit pour exclusivement la télécommunication.
Cette télécommunication devenait un art, car il n’était pas à n’importe qui de modeler l’instrument afin de véhiculer un message, ni non plus d’en fabriquer.
De manière prouvée, ce peuple était développé en matière ; la communication devenait classique, car elle s’apprenait par initiation. Néanmoins la miniaturisation et modernisation seront vite tranchées par l’occident. Ce qui l’a fragilisé. Le siècle de technologie à la pointe, surtout par l’acculturation l’obligeant à accueillir ce qui est prêt.
Que le peuple songye ne de baisse pas les bras en laissant disparaitre ce patrimoine culturel dans le cadre de musique folklorique. Il doit chercher tous les moyens à moderniser ces instruments afin de concourir au marché du donnée et du recevoir.
Notes bibliographiques Ouvrages de consultation
- Maxi poche, et, Pierre Larousse, 1970 Ouvrages de référence
- CNOCKAERT ; Littérature négro-africaine, panorama historique et textes choisis, collection Boboto, C.R.P. KINSHASA 1986 p. 9
Articles scientifiques
- Gaston CANU, « la littérature orale, par définition est une littérature parlée et non écrite. » (in Contes mossi actuels, éditions IFAN, Dakar, 1969, p.327.)
- ENO BELINGA Samuel Martin, « on peut définir la littérature orale comme, d’une part, l’usage esthétique du langage non écrit et, d’autre part l’ensemble des connaissances et des activités qui s’y rapportent. » in La littérature orale africaine, éditions Saint Paul, Paris, 1978, p.7.
Webographie
- http://www.openeducationbf.com : Histoire de littérature négroafricaine, cours de seconde et de première, OPEN (Organisation pour la Promotion de l’Education Nationale au Burkina Faso) emailopenededucationbf.com
(Site visité le 30-12-2016 à 14h 10’ TU). Notes de cours
- Mfumu NGOYI, notes de littérature orale 2004-2005 (inédites).
[1] A. CNOCKAERT ; Littérature négro-africaine, panorama historique et textes choisis, collection Boboto, C.R.P. KINSHASA 1986 p. 9
[2] idem
[3] Maxi poche , et, Pierre Larousse, 1970
[4] HAMPATE BA, cité par CT Mfumu NGOYI, notes de littérature orale 2004-2005 (inédites)